James Brown
Hello la compagnie 8) ,
Etant présentement en train d'écouter "Love Power Peace" , le live de James Brown enregistré en 1971 à l' Olympia, voulais vous demander lequel de ces deux albums live avait votre préférence , entre celui ci et le non moins mythique-voire plus- live à l' Apollo....
Etant présentement en train d'écouter "Love Power Peace" , le live de James Brown enregistré en 1971 à l' Olympia, voulais vous demander lequel de ces deux albums live avait votre préférence , entre celui ci et le non moins mythique-voire plus- live à l' Apollo....
Je ne peux choisir car je les adore tout les deux. Cependant je pourrais dire que l'appolo 62 dépasse le cadre de James Brown. Le rapport qu'il a avec le public est fabuleux et je retiens aussi l'aspect révolutionnaire de la musique.
Concernant l'olympia je trouve que le groupe de "jeunes" avec notamment Bootsy Collins apporte quelque chose de particulier.
Concernant l'olympia je trouve que le groupe de "jeunes" avec notamment Bootsy Collins apporte quelque chose de particulier.
Un peu comme jam : difficile de donner UN avis ...
Disons que l'Appolo convient quand tu veux écouter le James-Soul, plus années 60, tandis que l'Olympia permet de se plonger dans le James-Funk des années 70 (et notamment 1973, THE année Blaxploitation au cours de laquelle toutes les bases funk que j'aime ont été posées)
C'est tout ce que je peux dire ...
Disons que l'Appolo convient quand tu veux écouter le James-Soul, plus années 60, tandis que l'Olympia permet de se plonger dans le James-Funk des années 70 (et notamment 1973, THE année Blaxploitation au cours de laquelle toutes les bases funk que j'aime ont été posées)
C'est tout ce que je peux dire ...
ouais c'etait bien.
Non mais sans plus , on sent que le truc est rodé depuis des millions d'années.
Contrairement a ses cheveux la foule n'est pas restée statique, y'avait vraiment de l'ambiance, bon un peu racaille-land devant (voir même beaucoup).
Il a chanté que ses vieux tubes (tant mieux car je connais pas du tout ses nouveaux morceaux...)
Ben sinon le papy il a la forme encore, il nous a fait de beaux petits pas de danse, il avait 2 especes de danseuses siliconées de partout qui gigotaient.
Mais c'etait je trouve quand même assez kitch: les musiciens on aurait dit un mélange de la croisière s'amuse et des musclés, les deux danseuses tout droit sorties du Texas, mais le top du ponpon c'etait la boule à facette au plafond...
A part ca le charisme de Mr Brown est toujours bel et bien présent quand on le voit pour la première fois.
je suis contente j'ai vu James Brown pour la première fois de ma vie et j'en garderai tout un bon souvenir malgré le coup qu'il nous a fait: il a pas voulu faire de rappel le salaud malgré l'ambiance survoltée de la salle, alors j'ai trouvé ce coup la dégueulasse, il aurait pu faire un petit rappel ce radin!
Allez c'est pas grave je lui pardonne quand meme on a passé un bon moment meme si ca n'a pas duré tres longtemps (1h20!), en plus il nous a serré la main sur sex machine (YEAH j'ai serré la main du Godfather of the soul!!! je me laverai pas les mains ce soir!)
Non mais sans plus , on sent que le truc est rodé depuis des millions d'années.
Contrairement a ses cheveux la foule n'est pas restée statique, y'avait vraiment de l'ambiance, bon un peu racaille-land devant (voir même beaucoup).
Il a chanté que ses vieux tubes (tant mieux car je connais pas du tout ses nouveaux morceaux...)
Ben sinon le papy il a la forme encore, il nous a fait de beaux petits pas de danse, il avait 2 especes de danseuses siliconées de partout qui gigotaient.
Mais c'etait je trouve quand même assez kitch: les musiciens on aurait dit un mélange de la croisière s'amuse et des musclés, les deux danseuses tout droit sorties du Texas, mais le top du ponpon c'etait la boule à facette au plafond...
A part ca le charisme de Mr Brown est toujours bel et bien présent quand on le voit pour la première fois.
je suis contente j'ai vu James Brown pour la première fois de ma vie et j'en garderai tout un bon souvenir malgré le coup qu'il nous a fait: il a pas voulu faire de rappel le salaud malgré l'ambiance survoltée de la salle, alors j'ai trouvé ce coup la dégueulasse, il aurait pu faire un petit rappel ce radin!
Allez c'est pas grave je lui pardonne quand meme on a passé un bon moment meme si ca n'a pas duré tres longtemps (1h20!), en plus il nous a serré la main sur sex machine (YEAH j'ai serré la main du Godfather of the soul!!! je me laverai pas les mains ce soir!)
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Merci pour la review Oxane... Chose promise, chose due... mais qd même 1 H 20 à ce prix là... :roll:
Enfin çà restera un grand souvenir pour vous, c'est clair :lol: Tu m'as bien fait rire avec ta description
Y'en a d'autres qui y sont allés
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Salut,
j'y etais aussi. J'avais payé ma place au premier rang 90 euros. Ca n'a pas empeché ceux de derriere de venir se mettre devant nous. passons.Une premiere partie, on a eu le droit a une chanteuse folk seule avec sa guitare. Petit set tranquille mais legerement soporiphique. Passons. Au tour de James. boule a facette, groupe deguisé comme Bob Quibel. 2 percusionnistes, un batteur, 2 guitaristes (dont un excellent, je n'ai pas retenu son nom) , 3 cuivres, 3 choristes, , 1 back qui secondera JB vocalement s'il a du mal a pousser ses cris legendaires , 2 danseuses legerement vetues et un public dechainé. Ce qu'on ne pourra jamais enlevé a James c'est son charisme et sa capacité a rassembler dans une salle de concert a la fois des anciens, ceux qui l'ont ecouté durant les 60's et 70's, des gens a l'air "huppé" et des racailles. Le show commence. Le set-list est annoncé dés le depart. James arrive sur scene, grand sourire, coupe impeccable, costume rouge. Impeccable.
Oxane avait un appereil photo. Au bout de 3 photos, un vigile lui a demandé d'arreter, sinon il allait "intervenir". Tout le monde avait un appareil photo (numerique ou portable) et il y a eu tres peu d'"interventions". Passons. Le show commence par par "Make It Funky" et continue sur "Good Foot". Il n'enchainera que classiques sur classiques. Les musiciens ont droit a de tres longs solos. James ira plusieurs derriere un synthés, mais pas de réels solos de sa part. Le son etait nickel, mais losque la musique etait arrétée et que JB nous parlait , on avait du mal a comprendre ce qu'il disait. Si bien que lorsqu'il avait demandé une minute de silence pour "brother Ray", toute la salle a applaudit! On a aussi eu le droit a quelques mots en Francais ("Mon Coeur est francais" entre autres).
Les classiques s'enchainent (Man's World, I Got You, Try Me, quelques mesures seulement de "Cold Sweat" "Mother Popcorn"....). Puis , l'inevitable Sex Machine. version d'une bonne dizaine de minutes, il vient nous serrer la main, s'amuse bien avec ses choristes, va au piano, fais venir sur scene des gens qui l'accompagnent sur sa tournée (dont un qui ressemble a Patrick Topaloff) pour chanter et danser. C'etait bon enfant, ca frolait le n'importe quoi aussi. Le public est chauffé a blanc. Puis........ FINI. Plus rien. On regarde nos montre, le concert avait commencé il y a 80/90 mn. JB n'a pas quitté la scene un instant, pas de changement de costume, et apres Sex Machine, il ne nous a pas semblé avoir entendu "Thank you, goodnight". Alors on attend. On ettend. On crie. Les Musiciens sont partis. On se dit que tout le monde va revenir. Pour au moins un rappel. Je m'attendais a¨I got The Feeling", "Cold Sweat", "Mother Popcorn" et surtout "Papa's Got A Brand New Bag". Mais non. La crampe. il est parti. Le public siffle et hue les roadies qui desinstallent le matos. Je ne savais pas trop quoi pensé a la fin du concert. Je m'attendais a voir un papy incapable de faire un pas, je me suis retrouvé devant un bonhomme encore capable de faire de jolis choses, mais bon, il n'est pas allé jusqu'au grand ecart. La voix est la meme, sans les cris. Son back s'est dechainé a sa place sur Sex Machine. Mais l'ensemble semblait trop trop bien huilé. Je n'ai pas senti de réelle spontaneité. Mais bon, le positif l'emporte sur le negatif malgré la brieveté du show. Au moins, je pourrais dire , si on me le demande, "ouai j'l'ai vu, il m'a serré la pince".
j'y etais aussi. J'avais payé ma place au premier rang 90 euros. Ca n'a pas empeché ceux de derriere de venir se mettre devant nous. passons.Une premiere partie, on a eu le droit a une chanteuse folk seule avec sa guitare. Petit set tranquille mais legerement soporiphique. Passons. Au tour de James. boule a facette, groupe deguisé comme Bob Quibel. 2 percusionnistes, un batteur, 2 guitaristes (dont un excellent, je n'ai pas retenu son nom) , 3 cuivres, 3 choristes, , 1 back qui secondera JB vocalement s'il a du mal a pousser ses cris legendaires , 2 danseuses legerement vetues et un public dechainé. Ce qu'on ne pourra jamais enlevé a James c'est son charisme et sa capacité a rassembler dans une salle de concert a la fois des anciens, ceux qui l'ont ecouté durant les 60's et 70's, des gens a l'air "huppé" et des racailles. Le show commence. Le set-list est annoncé dés le depart. James arrive sur scene, grand sourire, coupe impeccable, costume rouge. Impeccable.
Oxane avait un appereil photo. Au bout de 3 photos, un vigile lui a demandé d'arreter, sinon il allait "intervenir". Tout le monde avait un appareil photo (numerique ou portable) et il y a eu tres peu d'"interventions". Passons. Le show commence par par "Make It Funky" et continue sur "Good Foot". Il n'enchainera que classiques sur classiques. Les musiciens ont droit a de tres longs solos. James ira plusieurs derriere un synthés, mais pas de réels solos de sa part. Le son etait nickel, mais losque la musique etait arrétée et que JB nous parlait , on avait du mal a comprendre ce qu'il disait. Si bien que lorsqu'il avait demandé une minute de silence pour "brother Ray", toute la salle a applaudit! On a aussi eu le droit a quelques mots en Francais ("Mon Coeur est francais" entre autres).
Les classiques s'enchainent (Man's World, I Got You, Try Me, quelques mesures seulement de "Cold Sweat" "Mother Popcorn"....). Puis , l'inevitable Sex Machine. version d'une bonne dizaine de minutes, il vient nous serrer la main, s'amuse bien avec ses choristes, va au piano, fais venir sur scene des gens qui l'accompagnent sur sa tournée (dont un qui ressemble a Patrick Topaloff) pour chanter et danser. C'etait bon enfant, ca frolait le n'importe quoi aussi. Le public est chauffé a blanc. Puis........ FINI. Plus rien. On regarde nos montre, le concert avait commencé il y a 80/90 mn. JB n'a pas quitté la scene un instant, pas de changement de costume, et apres Sex Machine, il ne nous a pas semblé avoir entendu "Thank you, goodnight". Alors on attend. On ettend. On crie. Les Musiciens sont partis. On se dit que tout le monde va revenir. Pour au moins un rappel. Je m'attendais a¨I got The Feeling", "Cold Sweat", "Mother Popcorn" et surtout "Papa's Got A Brand New Bag". Mais non. La crampe. il est parti. Le public siffle et hue les roadies qui desinstallent le matos. Je ne savais pas trop quoi pensé a la fin du concert. Je m'attendais a voir un papy incapable de faire un pas, je me suis retrouvé devant un bonhomme encore capable de faire de jolis choses, mais bon, il n'est pas allé jusqu'au grand ecart. La voix est la meme, sans les cris. Son back s'est dechainé a sa place sur Sex Machine. Mais l'ensemble semblait trop trop bien huilé. Je n'ai pas senti de réelle spontaneité. Mais bon, le positif l'emporte sur le negatif malgré la brieveté du show. Au moins, je pourrais dire , si on me le demande, "ouai j'l'ai vu, il m'a serré la pince".
pense bien et tout ira bien.
Je rejoins les avis du dessus... Gerard Drouot style et malgré une place au premier rang (à 90 euros, tu payes quand même pour avoir un certain confort), les 4 (seulement 4 ?) mecs de la sécurité n'ont rien géré. A peine 5 minutes, et l'allée devant le premier rang était bondée de zoulous qui se seraient crus dans un pogo... 2 heures à se faire piétiner et à humer les bonnes odeurs de shit. C'est le Palais des Congrès ou Bercy ?
C bien d'avoir vos avis sur 1 concert de James mais O faites si vous vouliez payer 90 Euro et etre traité comme des rois il fallait alleer à un concert de Sylvie Vartan.Il y avait "des Zoulou ça puait le shit" c'est quoi ces commentaire???
Merci qd meme à Chak et son vrai REport
FUnk: Ca veut dire sale odeur, odeur de sueur entre autre....
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Comme Doriel, je m'attendais a mieux au niveau de l'organisation. le prix etaient degressif en fonction de la place dans la salle. On s'etait empressé de commander au prix maximal ces places au premier rang pour pouvoir apprecier le concert. Payer 90 euros pour etre au premier rang, et voir tout ceux de derrieres qui avaient payés beaucoup moins se mettre devant nous, ca nous a un peu "géné". Pour l'histoire de la fumette, les gars de la securité ne se genaient pas pour demander a des personnes isolées ou a des dames d'eteindre leur cigarette a peine allumée sous pretexte que c'etait interdit. Mais quand c'etait un groupe de jeunes qui fumaient du shit et qui foutaient le boxon, ils ne disaient absolument rien. Meme chose pour les photos.poppy a écrit :C bien d'avoir vos avis sur 1 concert de James mais O faites si vous vouliez payer 90 Euro et etre traité comme des rois il fallait alleer à un concert de Sylvie Vartan.Il y avait "des Zoulou ça puait le shit" c'est quoi ces commentaire???
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Ouais çà, çà m'aurait GRAVE enervé... :twisted: Ah ces vigiles.................... Zèle d'un côté et laissez aller innaceptable de l'autre...Chak a écrit :Comme Doriel, je m'attendais a mieux au niveau de l'organisation. le prix etaient degressif en fonction de la place dans la salle. On s'etait empressé de commander au prix maximal ces places au premier rang pour pouvoir apprecier le concert. Payer 90 euros pour etre au premier rang, et voir tout ceux de derrieres qui avaient payés beaucoup moins se mettre devant nous, ca nous a un peu "géné". Pour l'histoire de la fumette, les gars de la securité ne se genaient pas pour demander a des personnes isolées ou a des dames d'eteindre leur cigarette a peine allumée sous pretexte que c'etait interdit. Mais quand c'etait un groupe de jeunes qui fumaient du shit et qui foutaient le boxon, ils ne disaient absolument rien. Meme chose pour les photos.poppy a écrit :C bien d'avoir vos avis sur 1 concert de James mais O faites si vous vouliez payer 90 Euro et etre traité comme des rois il fallait alleer à un concert de Sylvie Vartan.Il y avait "des Zoulou ça puait le shit" c'est quoi ces commentaire???
Merci qd meme à Chak et son vrai REport
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De plus, même si c'est brut de décoffrage, tu payes pour être devant, la moindre des choses c'est qu'on ait un avantage à le faire... et qu'on en ait pour son argent...
Pour la clope ou le shit pareil... Pendant 1 H 30 tu peux t'en passer... C'est pas non fumeur le Palais des Congrès ?? Après c'est toujours pareil, quelques énergumènes imposent leur loi et en plus faut pas se plaindre ou le dire :roll:
Désolé Poppy, mais le Palais des Congrès, ça reste une salle assise avec des catégories de places selon les prix. Par forcément adapeté pour une musique qui bouge, mais c'est une autre histoire... J'irai voir Clinton le 21, et je sais pourquoi j'ai payé : des places dans la fosse où il fait chaud et ça bouge. Ce qui ne me dérange aucunement... mais quand tu paies plus cher, c'est pour un privilège.poppy a écrit :C bien d'avoir vos avis sur 1 concert de James mais O faites si vous vouliez payer 90 Euro et etre traité comme des rois il fallait alleer à un concert de Sylvie Vartan.Il y avait "des Zoulou ça puait le shit" c'est quoi ces commentaire???
Merci qd meme à Chak et son vrai REport
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Remember Prince au Bataclan en 2002 ? tu avais beau être membre, les vigiles t'emmerdaient tout autant pour te laisser entrer.
Pour le reste du show, Chak a dit l'essentiel... et il a vu plus de choses que moi aussi apparemment. James en forme, sympa de la voir au keyboard. Après, ça faisait show un peu trop huilé, façon centième représentation de suite à Las Vegas...
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Je te comprends, je crois que j'ai enfin compris comment arrêter mes photos à la David Hamilton :roll: mais çà fonctionne encore pas à tous les coups parce qu'en plus j'ai du mal à ne pas bouger en concertoxane a écrit :voila une photo a peu près potable que j'ai prise lors du concert, j'ai vraiment du mal avec le numerique, faut que quelqu'un me donne des cours!
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Bah...le flou artistique est plutôt bien maitrisé...=)oxane a écrit :voila une photo a peu près potable que j'ai prise lors du concert, j'ai vraiment du mal avec le numerique, faut que quelqu'un me donne des cours!
Bon cela n'a pas de rapport avec le concert au palais des congrès mais comme ce post traite de James Brown...
Un album de James Brown vient d'être édité en CD et est dans les bacs (trouvé à la FNAC). Apparement il s'agit de sa première édition en CD.
Il s'agit de Soul On Top paru en 1969.
L'album se veut un album de Jazz. James y est accompagné par l'orchestre de Louie Bellson avec des arrangements d'Oliver Nelson.
On y trouve aussi Maceo Parker crédité au tenor et préposé aux solos.
Parmi les titres on trouve notamment : Everyday I Have The Blues, It's a Man's Man's Man's World, Papa's Got A Brand New Bag, There Was A Time.
Bref un évènement pour les amoureux de James Brown.
Un album de James Brown vient d'être édité en CD et est dans les bacs (trouvé à la FNAC). Apparement il s'agit de sa première édition en CD.
Il s'agit de Soul On Top paru en 1969.
L'album se veut un album de Jazz. James y est accompagné par l'orchestre de Louie Bellson avec des arrangements d'Oliver Nelson.
On y trouve aussi Maceo Parker crédité au tenor et préposé aux solos.
Parmi les titres on trouve notamment : Everyday I Have The Blues, It's a Man's Man's Man's World, Papa's Got A Brand New Bag, There Was A Time.
Bref un évènement pour les amoureux de James Brown.
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Ca vient de sortir et ça ressemble étonnemment à The other side of the pillow, broken heart again, you and me, Mellow du ONA live.
On sait où Prince s'inspire
En prime, de somptueux solos de Maceo.
On sait où Prince s'inspire
En prime, de somptueux solos de Maceo.
Peut être qu'un jour Prince fera un album avec un Big Band.dafonk a écrit :Ca vient de sortir et ça ressemble étonnemment à The other side of the pillow, broken heart again, you and me, Mellow du ONA live.
On sait où Prince s'inspire
En prime, de somptueux solos de Maceo.
Je viens de trouver cet album c'est une merveille!
Plus que les solos de Maceo c'est la confrontation entre James et cet orchestre qui est passionnante, ça hurle, ça chauffe, on se défie, et puis on se réconcilie dans des ballades languissantes à souhait...
Oliver Nelson qui dirige l'orchestre et qui a écrit les arrangements est un grand du Jazz (voire "the blues and the abstract truth") cette rencontre fructueuse avec James brown montre une fois de plus combien des genres à priori un peu éloignés peuvent s'apporter...
Il y a évidemment d'autres exemples : Prince et Clare Fischer...
On peut se demander si Prince a rencontré des gens à sa hauteur depuis...
Mais ceci est un autre Topic
Plus que les solos de Maceo c'est la confrontation entre James et cet orchestre qui est passionnante, ça hurle, ça chauffe, on se défie, et puis on se réconcilie dans des ballades languissantes à souhait...
Oliver Nelson qui dirige l'orchestre et qui a écrit les arrangements est un grand du Jazz (voire "the blues and the abstract truth") cette rencontre fructueuse avec James brown montre une fois de plus combien des genres à priori un peu éloignés peuvent s'apporter...
Il y a évidemment d'autres exemples : Prince et Clare Fischer...
On peut se demander si Prince a rencontré des gens à sa hauteur depuis...
Mais ceci est un autre Topic
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JAMES BROWN
gettin’down to it
Un plongeon dans les racines jazz du “Godfather of Soul”dans un album majestueusement remasterisé…tout simplement indispensable !
A la fin des années 60, James Brown devient la première star du funk et bientôt une légende de ce nouveau style qui inspirera tous les principaux mouvements musicaux actuels. Avant d’être surnommé "Mr Dynamite", James Brown débute sa carrière comme chanteur au sein du quartet "Gospel Starlighters" dirigé par Bobby Byrd. Mais il quitte rapidement le gospel pour s’orienter vers le jazz et le Rythme and Blues comme le démontre son premier album Please Please Please enregistré en 1955.
En 1969, James Brown enregistre avec le Dee Felice Trio l’excellent album Gettin’down to it, marquant ainsi un premier pas vers le Funk. Cet album réédité par Verve Music est l’occasion de découvrir the Godfather dans un répertoire jazz et soul mais déjà résolument funky. La dynamique reprise du légendaire Sunny de Wes Montgomery en duo avec Marva Whitney ou encore la version entêtante de Cold Sweat témoignent d’une vraie révolution dans le rythme. A noter l’excellente reprise du tube de Frank Sinatra Strangers in the night, et l’ambiance presque acid jazz du morceau There was a time.
Résolument moderne et d’une qualité sonore impeccable, Gettin’down to it est incontournable pour tous les amateurs de cette icône du funk.
J'ai lu d'autres critiques, cet album ressorti est meme parfois disque de la semaine!!
gettin’down to it
Un plongeon dans les racines jazz du “Godfather of Soul”dans un album majestueusement remasterisé…tout simplement indispensable !
A la fin des années 60, James Brown devient la première star du funk et bientôt une légende de ce nouveau style qui inspirera tous les principaux mouvements musicaux actuels. Avant d’être surnommé "Mr Dynamite", James Brown débute sa carrière comme chanteur au sein du quartet "Gospel Starlighters" dirigé par Bobby Byrd. Mais il quitte rapidement le gospel pour s’orienter vers le jazz et le Rythme and Blues comme le démontre son premier album Please Please Please enregistré en 1955.
En 1969, James Brown enregistre avec le Dee Felice Trio l’excellent album Gettin’down to it, marquant ainsi un premier pas vers le Funk. Cet album réédité par Verve Music est l’occasion de découvrir the Godfather dans un répertoire jazz et soul mais déjà résolument funky. La dynamique reprise du légendaire Sunny de Wes Montgomery en duo avec Marva Whitney ou encore la version entêtante de Cold Sweat témoignent d’une vraie révolution dans le rythme. A noter l’excellente reprise du tube de Frank Sinatra Strangers in the night, et l’ambiance presque acid jazz du morceau There was a time.
Résolument moderne et d’une qualité sonore impeccable, Gettin’down to it est incontournable pour tous les amateurs de cette icône du funk.
J'ai lu d'autres critiques, cet album ressorti est meme parfois disque de la semaine!!
Modifié en dernier par GlamSlam le 08 juin 2006, 19:50, modifié 1 fois.
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ce disque est dispo a la fnac, je l'ai meme vu a la fnac de rosny 2
il est en telechargement sur itunes music store...
Je ne l'ai pas, et je suis content que tu en parles car je me demandai quand quelqu'un le ferait.. Mais apparement peu de nos amis du forum l'ont ecouté, ou ont eu envie de nous donner leur avis
Je profite de ton sujet piur parler de 2 livres :
James Brown, l'Amérique noire, la Soul & le Funk
et
I Feel Good
les avez vous lu ? un avis ?
Raphy
ps: il y a aussi l'anecdotique mais sympathique, car fourni avec 2 CD
il est en telechargement sur itunes music store...
Je ne l'ai pas, et je suis content que tu en parles car je me demandai quand quelqu'un le ferait.. Mais apparement peu de nos amis du forum l'ont ecouté, ou ont eu envie de nous donner leur avis
Je profite de ton sujet piur parler de 2 livres :
James Brown, l'Amérique noire, la Soul & le Funk
et
I Feel Good
les avez vous lu ? un avis ?
Raphy
ps: il y a aussi l'anecdotique mais sympathique, car fourni avec 2 CD
J'ai lu le livre de Florent Mazzoleni. Il est superbement illustré avec beaucoup de photos. Il essaye de faire un lien entre James Brown et le reste de la musique afro-américaine. Ainsi, je n'ai pas appris que des trucs sur James Brown. Je le conseille.
Je viens de recevoir l'autre livre I Feel Good son autobiographie. Pas encore lu.
Je viens de recevoir l'autre livre I Feel Good son autobiographie. Pas encore lu.
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De ce que j'en ai entendu à sa sortie, on y découvre la facette plus Jazz de James Brown
http://www.funkhome.com/viewtopic.php?t=2468
J'ai récupéré l'album ce matin pour voir... seulement j'ai des gros soucis de micro en ce moment et donc c'est pas gagné pour arriver à écouter voir même graver pour l'écouter ailleurs :roll:
De même j'ai acheté le 1er bouquin proposé mais je suis hyper lente à lire et comme j'ai pas fini ma précédente lecture, j'ai pas commencé celui là et je ne peux donc pas juger le contenu... Mais en tout cas c'est un très bel objet : les illustrations sont d'époque et hyper fournies et il parait (là encore merci les Funkhomer ) qu'il vaut le coup...
http://www.funkhome.com/viewtopic.php?t=2261
http://www.funkhome.com/viewtopic.php?t=2468
J'ai récupéré l'album ce matin pour voir... seulement j'ai des gros soucis de micro en ce moment et donc c'est pas gagné pour arriver à écouter voir même graver pour l'écouter ailleurs :roll:
De même j'ai acheté le 1er bouquin proposé mais je suis hyper lente à lire et comme j'ai pas fini ma précédente lecture, j'ai pas commencé celui là et je ne peux donc pas juger le contenu... Mais en tout cas c'est un très bel objet : les illustrations sont d'époque et hyper fournies et il parait (là encore merci les Funkhomer ) qu'il vaut le coup...
http://www.funkhome.com/viewtopic.php?t=2261
Je viens de finir la lecture de I Feel Good, son autobiographie.
Pour ceux qui apprécient James Brown je le conseille. Même si je n'ai pas trouvé le livre super cela reste un témoignage d'un musicien que je considère comme étant l'un des plus importants.
Mais le personnage déborde le cadre de la musique : son implication dans la communauté afro-américaine en témoigne. Néanmoins, ses commentaires plutôt élogieux sur des présidents comme Reagan ou G.W.Bush sont plutôt étonnant. Amibiguité, malice ou sincérité il n'en demeure pas moins un personnage qui a compté dans la reconnaissance des afro-américains au USA.
Mais pour revenir à la musique, j'ai retenu l'importance du 1er temps qu'il a instauré et qu'il considère comme une marque de fabrique du Funk.
Prince est brievement évoqué : "Regardez Prince, regardez Michael Jackson, je les aime beaucoup l'un et l'autre, mais je sais que si je n'avais pas défriché le terrain avant eux, ils ne seraient pas les superstars qu'ils sont devenus, en particulier pour le public blancs".
Pour ceux qui apprécient James Brown je le conseille. Même si je n'ai pas trouvé le livre super cela reste un témoignage d'un musicien que je considère comme étant l'un des plus importants.
Mais le personnage déborde le cadre de la musique : son implication dans la communauté afro-américaine en témoigne. Néanmoins, ses commentaires plutôt élogieux sur des présidents comme Reagan ou G.W.Bush sont plutôt étonnant. Amibiguité, malice ou sincérité il n'en demeure pas moins un personnage qui a compté dans la reconnaissance des afro-américains au USA.
Mais pour revenir à la musique, j'ai retenu l'importance du 1er temps qu'il a instauré et qu'il considère comme une marque de fabrique du Funk.
Prince est brievement évoqué : "Regardez Prince, regardez Michael Jackson, je les aime beaucoup l'un et l'autre, mais je sais que si je n'avais pas défriché le terrain avant eux, ils ne seraient pas les superstars qu'ils sont devenus, en particulier pour le public blancs".
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J'ai lu des sommités soul parler d'une autobio bourrée d'erreurs chronologiques et/ou de traduction, ce que je serais incapable de confirmer. En revanche beaucoup de bien a été dit du livre de Mazzoleni et j'abonde en ce sens, il y a une sorte de suspense dans le récit qui amène à l'émergence du funk car l'auteur prend le temps de planter le décor de l'Amérique des années 50 et 60, cette dernière décennie étant considérée comme l'âge d'or de l'artiste. De fait on pourra regretter que Mazzoleni ne s'attarde pas sur les 70's et que le bouquin finisse un peu en eau de boudin (rapide conclusion sur le revival deep funk), mais l'ensemble est très instructif, truffé de références discographiques et superbement illustré. Pour l'anecdote Prince y est présenté comme la vedette la plus créative de sa génération, malgré la hantise de l'auteur pour les années 80. Finalement je vois moins cet ouvrage comme une biographie que comme un récit de la musique populaire afro-américaine, et je le conseillerais volontiers pour Noêl
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a ne pas rater
James Brown à Couleur Café (03/04/2006)
Le parrain de la soul a confirmé sa venue pour la 17e édition du festival
BRUXELLES La programmation des festivals de l'été commence progressivement à s'affiner. Vendredi, on a ainsi appris que James Brown avait confirmé sa venue sur le site de Tour et Taxis à l'occasion de Couleur Café 2006. Un invité de choix! Le parrain de la soul, mentor des Prince et autres Michael Jackson, devrait se produire sur la plus grande des trois scènes. La prestation est attendue avec impatience.
Organisé les 30 juin ainsi que les 1er et 2 juillet 2006, Couleur Café devrait comme chaque année faire grimper la température sur Bruxelles. À quelques jours des départs en vacances, beaucoup souhaitent d'abord se vider l'esprit et le nourrir d'une sonorité chaleureuse. Outre James Brown, dernier arrivé sur la liste des invités, il y aura également les Saïan Supa Crew qui viendront défendre leur dernier album pour la seconde fois sur une scène de la capitale. Les Bruxellois auront droit au parrain de la soul mais également à George Clinton, parrain du funk, maître à sampler des rappeurs d'aujourd'hui. Sergent Garcia sera également de la partie et ce ne sera pas une première pour lui à Tour et Taxis. Cali, dernier arrivé sur la scène française, auteur, compositeur (pour Jane Birkin notamment), interprète, ne devrait pas passer inaperçu. Burning Spear ou encore la légende Gilberto Gil seront fortement appréciés par le public. Pour les plus jeunes, place à Gabriel Rios dont le charme sera une arme fatale.
Couleur Café, les 30 juin, 1er et 2 juillet 2006 sur le site de Tour et Taxis. Infos: www.couleurcafe.be (à partir du 10 avril). À noter que les organisateurs recherchent quelque 500 bénévoles pour les trois jours.
James Brown à Couleur Café (03/04/2006)
Le parrain de la soul a confirmé sa venue pour la 17e édition du festival
BRUXELLES La programmation des festivals de l'été commence progressivement à s'affiner. Vendredi, on a ainsi appris que James Brown avait confirmé sa venue sur le site de Tour et Taxis à l'occasion de Couleur Café 2006. Un invité de choix! Le parrain de la soul, mentor des Prince et autres Michael Jackson, devrait se produire sur la plus grande des trois scènes. La prestation est attendue avec impatience.
Organisé les 30 juin ainsi que les 1er et 2 juillet 2006, Couleur Café devrait comme chaque année faire grimper la température sur Bruxelles. À quelques jours des départs en vacances, beaucoup souhaitent d'abord se vider l'esprit et le nourrir d'une sonorité chaleureuse. Outre James Brown, dernier arrivé sur la liste des invités, il y aura également les Saïan Supa Crew qui viendront défendre leur dernier album pour la seconde fois sur une scène de la capitale. Les Bruxellois auront droit au parrain de la soul mais également à George Clinton, parrain du funk, maître à sampler des rappeurs d'aujourd'hui. Sergent Garcia sera également de la partie et ce ne sera pas une première pour lui à Tour et Taxis. Cali, dernier arrivé sur la scène française, auteur, compositeur (pour Jane Birkin notamment), interprète, ne devrait pas passer inaperçu. Burning Spear ou encore la légende Gilberto Gil seront fortement appréciés par le public. Pour les plus jeunes, place à Gabriel Rios dont le charme sera une arme fatale.
Couleur Café, les 30 juin, 1er et 2 juillet 2006 sur le site de Tour et Taxis. Infos: www.couleurcafe.be (à partir du 10 avril). À noter que les organisateurs recherchent quelque 500 bénévoles pour les trois jours.
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Pour moi la grande news c'est surtout Clinton, qui est déjà programmé dans 3 festivals européens l'été prochain (dont Roskilde). Je sens bien un petit passage par Montreux (dont une rumeur évoque, une fois de plus, la présence de notre petit génie). Réponse à la fin du mois avec la sortie des programmes de Paléo et de Montreux. Enfin, pour ne pas être off topic, je me ferais bien un petit concert de James l'été prochain... et de Clinton.... et de Prince....GlamSlam a écrit : Les Bruxellois auront droit au parrain de la soul mais également à George Clinton, parrain du funk, maître à sampler des rappeurs d'aujourd'hui.
- Le nouveau clip postmoderne des Raggumbians est online! A ne pas louper: http://www.raggumbians.net/
Mr dynamite au sommet de son art....
with Bobby Byrd.Collins Bro.Vicky Anderson and fred wesley...
James Brown - Olympia Theatre Paris 71 !!!!!
http://youtube.com/watch?v=AS7-Mnhdi-A
http://youtube.com/watch?v=vrF650DFSx8
http://youtube.com/watch?v=nebBzSdTmDY
http://youtube.com/watch?v=cfOm6Pk7Rrk
http://youtube.com/watch?v=uMg5Kcvhnxg
http://youtube.com/watch?v=_IqRMWDsW6s
+live tv meme periode, meme band de la muerte...,UNE TUERIE!!!!!!! 8O
Sex Machine / Soul Power
http://youtube.com/watch?v=__eOCQrxnDM
with Bobby Byrd.Collins Bro.Vicky Anderson and fred wesley...
James Brown - Olympia Theatre Paris 71 !!!!!
http://youtube.com/watch?v=AS7-Mnhdi-A
http://youtube.com/watch?v=vrF650DFSx8
http://youtube.com/watch?v=nebBzSdTmDY
http://youtube.com/watch?v=cfOm6Pk7Rrk
http://youtube.com/watch?v=uMg5Kcvhnxg
http://youtube.com/watch?v=_IqRMWDsW6s
+live tv meme periode, meme band de la muerte...,UNE TUERIE!!!!!!! 8O
Sex Machine / Soul Power
http://youtube.com/watch?v=__eOCQrxnDM
Modifié en dernier par bootsy le 09 avril 2006, 18:10, modifié 1 fois.
James Brown and Sammy Davis Jr.
8O James teaches Sammy how you get funky. They dance to "There was a Time :lol:
http://youtube.com/watch?v=wcFQCxYpZK8
8O James teaches Sammy how you get funky. They dance to "There was a Time :lol:
http://youtube.com/watch?v=wcFQCxYpZK8
Petit report excellent.....
James Brown - Ain't it Funky Now (Soul Deep)
http://www.youtube.com/watch?v=fiDrIO8GXJc 8O
James Brown - Ain't it Funky Now (Soul Deep)
http://www.youtube.com/watch?v=fiDrIO8GXJc 8O
http://www.youtube.com/watch?v=ojyoR-EF ... p%20Bootsy
Une version de "Sunny" à l'oympia 71.
WONDERFUL.
Une version de "Sunny" à l'oympia 71.
WONDERFUL.
James Brown Live 73 Goodfoot / Soul Power / Make it funky 8)
James Brown with the band in 1973. Two drummers.
http://www.youtube.com/watch?v=fgu5MqmY4S4 8)
James Brown Live 76 Medley (James Brown on Soul Train 1976 with Lynn Collins Sweet Charles and the band) 8)
http://www.youtube.com/watch?v=Etz13auc0sc
James brown live 68 "There was a time"
http://www.youtube.com/watch?v=sIx-zVVZFZA
James Brown with the band in 1973. Two drummers.
http://www.youtube.com/watch?v=fgu5MqmY4S4 8)
James Brown Live 76 Medley (James Brown on Soul Train 1976 with Lynn Collins Sweet Charles and the band) 8)
http://www.youtube.com/watch?v=Etz13auc0sc
James brown live 68 "There was a time"
http://www.youtube.com/watch?v=sIx-zVVZFZA
je te conseille celui ci ..excellent et a prix funky !!!!!!jam a écrit :Encore merci Bootsy. Le moins que je puisse dire c'est qu'il ne fait pas le clown sur scène.
Conseilles-tu des enregistrements concerts de lui qui circulent en DVD ?
http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/B ... 16-9461764
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1 grand performer qui part...
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...à qui le tour parmi les tenants de la mémoire noire ? (James était aussi un activiste, comme Ali)
Prince encore une fois orphelin...
J'espère qu'il sera célébré dans les médias comme il se doit. C'est un artiste et une figure essentielle, fondatrice, de la musique du vingtième siècle. Rest in peace (ou bonne réincarnation Mr Brown).
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Le mien non plus................. Arrrrrrhhhhhhhh j'ai appris çà ce matin et l'ironie a voulu qu'on ait changé notre logo y'a 2/3 jours pour en mettre un plus en rapport avec les fêtes et c'est James en père Noël... Des fois les coincidencesKodjo a écrit :Sans James Brown, ce forum n'existerait pas. (Tout à fait Dafonk )
Documentaire posté ici par Raphy il y a 2 ou 3 ans.
James Brown, the Politics of Soul :
http://broadband.wgbh.org/quicktime/politicsofsoul/
ENORME PERTE évidemment... Mais il a tellement marqué la musique que de toute façon, il RESTERA !
J'espère que notre "ami commun" nous fera un hommage spécial à Las Vegas dans les prochains jours.
Merci pour tous ces hommages il le mérite !!!!!
Aujourd'hui j'ai écouté
Puis je me suis dit que j'allais commencer par le début
J'ai aussi visionné une partie du concert dont parles Kodjo (à propos mets tu dans tes valises When We Were Kings).
Dur fin d'année avec les disparitions de figures légendaires de la musique noire américaine Homesick James (13 décembre), Jay McShann (7 décembre), Robert Lockwood Jr (21 novembre), Ruth Brown (17 novembre). L'influence de ces noms sur la musique fut moindre que celle de James Brown mais je profite de ce topic pour les signaler.
Puis je me suis dit que j'allais commencer par le début
J'ai aussi visionné une partie du concert dont parles Kodjo (à propos mets tu dans tes valises When We Were Kings).
Dur fin d'année avec les disparitions de figures légendaires de la musique noire américaine Homesick James (13 décembre), Jay McShann (7 décembre), Robert Lockwood Jr (21 novembre), Ruth Brown (17 novembre). L'influence de ces noms sur la musique fut moindre que celle de James Brown mais je profite de ce topic pour les signaler.
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Respect pour la musique de James Brown... le père fondateur du Funk.
J'espère que Prince saura continuer à faire vivre sa musique sur scène... Il me semble qu'aujourd'hui c'est l'artiste qui a la plus grande légitimité pour le faire.
J'espère que Prince saura continuer à faire vivre sa musique sur scène... Il me semble qu'aujourd'hui c'est l'artiste qui a la plus grande légitimité pour le faire.
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Un grand artiste et un grand activiste s'en est allé...
"Rock n' Roll is the most brutal, ugly, desperate, vicious form of expression it has been my misfortune to hear"
Frank Sinatra
Frank Sinatra
Lu sur le site de Maceo Parker
"Thank you to all
Thanks to everyone who sent in condolences on the passing of James Brown. Maceo deeply appreciates your thoughts at this time.
As always Maceo wants to thank you for your support, and says: "Don't you forget: We Love You". "
"Thank you to all
Thanks to everyone who sent in condolences on the passing of James Brown. Maceo deeply appreciates your thoughts at this time.
As always Maceo wants to thank you for your support, and says: "Don't you forget: We Love You". "
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j'ai été dégouté a mort quand j'ai entendu ça le 25 au matin, a tel point que je n'ai plus rien feté, j'ai ecouté du James Brown en buvant du vin a sa memoire
RIP JAmes, t'étais le meilleur a tout point de vue
SAY IT LOUD, i'M BLACK AND I'M PROUD a fond en son honneur 8)
RIP JAmes, t'étais le meilleur a tout point de vue
SAY IT LOUD, i'M BLACK AND I'M PROUD a fond en son honneur 8)
Le Live indispensable du Godfather : Love Power Peace Live In Paris 1971 With The JB's !!!!
Une tuerie..... 8O 8O
ici par exemple...:http://www.amazon.fr/gp/offer-listing/B ... 90-0852434
Et le coffret de la muerte!!!!!
Startime 4 cds !!!!
a 29.99 eur ...sur la f....com
Une tuerie..... 8O 8O
ici par exemple...:http://www.amazon.fr/gp/offer-listing/B ... 90-0852434
Et le coffret de la muerte!!!!!
Startime 4 cds !!!!
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Modifié en dernier par bootsy le 26 décembre 2006, 19:17, modifié 2 fois.
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merci Bootsy, la setlist ets terrible, hje vais essayer de me procurer ca d'urgence !!bootsy a écrit :Le Live indispensable du God father : Love Power Peace Live In Paris 1971 With The JB's !!!!
Une tuerie..... 8O 8O
ici par exemple...:http://www.amazon.fr/gp/offer-listing/B ... 90-0852434
1. Intro Écouter
2. Brother Rapp Écouter
3. Ain't It Funky Now Écouter
4. Georgia On My Mind Écouter
5. It's A New Day Écouter
6. Bewildered Écouter
7. Sex Machine Écouter
8. Try Me Écouter
9. Medley : Papa's Got A Brand New Bag/ I Got You/ I Got The Feelin' Écouter
10. Give It Up Or Turnit A Loose Écouter
11. It's A Man's Man's Man's World Écouter
12. Please Please Please Écouter
13. Sex Machine (Reprise) Écouter
14. Super Bad Écouter
15. Get Up, Get Into It, Get Involved Écouter
16. Soul Power Écouter
17. Get Up, Get Into It, Get Involved (Finale) Écouter
A signaler ce formidable site avec la discographie de James Brown, la reproduction des pochettes et les tracklist des albums.
http://www.funky-stuff.com/jamesbrown/disco.htm
Du coup j'ai fais quelques achats sur le site dustygroove. Pas mal de références disponibles en CD ou/et en LP.
http://www.dustygroove.com/browse.php?i ... =14&go.y=8
J'en profite pour resignaler l'ouvrage et l'autobiographie
Rien de telle que la musique mais ces ouvrages me semblent un complément intéressant. C'est par exemple dans le livre de Mazzoleni (superbement illustré avec de nombreux documents) que j'ai appris que James Brown avait produit 4 titres dont une version religieuse du titre Try Me, baptisé pour l'occasion Try Me Father.
Deux de ces titres sont disponibles sur le disque
http://www.funky-stuff.com/jamesbrown/disco.htm
Du coup j'ai fais quelques achats sur le site dustygroove. Pas mal de références disponibles en CD ou/et en LP.
http://www.dustygroove.com/browse.php?i ... =14&go.y=8
J'en profite pour resignaler l'ouvrage et l'autobiographie
Rien de telle que la musique mais ces ouvrages me semblent un complément intéressant. C'est par exemple dans le livre de Mazzoleni (superbement illustré avec de nombreux documents) que j'ai appris que James Brown avait produit 4 titres dont une version religieuse du titre Try Me, baptisé pour l'occasion Try Me Father.
Deux de ces titres sont disponibles sur le disque
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ça m'a écoeuré j'ecoutais radioclassique le 25 au matin la conne des infos dit "il était autant connu pour sa musique que pour ses deboires judiciaires" ou un truc comme ça, quand cette crevure de sinatra est mort on s'est pas apesanti sur ses saloperies + graves que celle de James, bon Prinçou va marquer cet événement à sa façon, reste à attendre..
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Mouais, c'est un mauvais exemple, pour ma part, je n'aime pas insulter les morts quelquesoit ce qu'ils ont été et multiples reportages ainsi que diverses biographies n'épargnent pas Frankie. Franchement qui ignore aujourd'hui ses liens avec Giancana et autres Rosselli and Who f.... cares!topaz a écrit :quand cette crevure de sinatra est mort on s'est pas apesanti sur ses saloperies *
Pour ma part je n'oublie pas par exemple que Sinatra a payé les obsèques de Sammy Davis Jr...
Pourtant lors de la mort de Ray Charles, les médias n'ont pas parlé de son passé d'héroinomane, quand Luther Vandross est mort, personne n'a fait allusion pour son statut de star closeted et de sa présence dans une voiture quand un jeune producteur de r&b est mort. Et pourtant quand Gainsbourg (artiste Blanc) est mort, on a eu droit à des tartines sur ses frasques en tant que Gainsbarre... Alors artiste Noir ou Blanc, les médias ressortiront toujours du linge sale et je déplore également cela...
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Un bien triste Noel, pour cette année, notre Godfather a laissé le Funk orphelin, comme fut le grand Ray Charles pour la Soul. Il restera toujours avec nous, en mon sens il n'est pas vraiment mort, puisque il nous a laisser tant de choses...
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1971 Hot pants
1971 Revolution of the mind
1972 There it is
1972 Get on the good foot
1973 Black Caesar
1973 Slaughter's big rip off
1973 The Payback
1974 Hell
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J'ai réécouté "In The Jungle Groove"... une tuerie aussi cet album
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+ 10 000Purple Girl a écrit :Mouais, c'est un mauvais exemple, pour ma part, je n'aime pas insulter les morts quelquesoit ce qu'ils ont été et multiples reportages ainsi que diverses biographies n'épargnent pas Frankie. Franchement qui ignore aujourd'hui ses liens avec Giancana et autres Rosselli and Who f.... cares!topaz a écrit :quand cette crevure de sinatra est mort on s'est pas apesanti sur ses saloperies *
Pour ma part je n'oublie pas par exemple que Sinatra a payé les obsèques de Sammy Davis Jr...
Pourtant lors de la mort de Ray Charles, les médias n'ont pas parlé de son passé d'héroinomane, quand Luther Vandross est mort, personne n'a fait allusion pour son statut de star closeted et de sa présence dans une voiture quand un jeune producteur de r&b est mort. Et pourtant quand Gainsbourg (artiste Blanc) est mort, on a eu droit à des tartines sur ses frasques en tant que Gainsbarre... Alors artiste Noir ou Blanc, les médias ressortiront toujours du linge sale et je déplore également cela...
Sinatra avait des relations déplorables mais ça ne l'empêchait pas d'être un très grand artiste. On sait tous qu'être dans l'entourage de James Brown ce n'était pas tous les jours roses humainement parlant, c'était quand même une légende absolue de la musique du XXème siècle qui a posé les fondations de la musique qu'on adore tous ici.
Mon album de chevet :
Concert à l'Olympia de 71 avec un groupe de folie : Deux batteries, Les frères Collins (Boosty et Catfish), Wesley, Bobby Bird..
Ca chauffe dans tous les coins, c'est du funk en acier trempé avec de purs moments de grâce..
La version de Sex machine est à tomber. Vous en aviez marre de ce titre entendu encore et encore? Attendez de vous plonger dans ces 10 min et plus de combats de guitares rythmiques qui vont amener l'auditeur jusqu'à l'épuisement total. Ce dernier ne dit qu'une seule chose à la fin du titre : "encore... encore... "
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Sinatra avait des relations déplorables mais ça ne l'empêchait pas d'être un très grand artiste.
mais je suis d'accord c'est juste que j'ai l'impression qu'il ya 2 poids 2 mesures - j'aurais préféré que James Brown soit en Suisse et que Jauni soit.. ( vous imaginez le bourrage de crane que ça va être au fait.)
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La musique perd une de ses "pierres angulaires"... C'est un héritage considérable que M. James BROWN nous laisse, et c'est à travers celui ci, qu'il continue de vivre..............
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"Clap your hands, stomp your feet, in the jungle groove, in the jungle groove..."calhounsquare a écrit :J'ai réécouté "In The Jungle Groove"... une tuerie aussi cet album
La version de "Give it up turn it loose" agrémentée de percus, est vraiment.......................................percutante :roll: . C'est un album qui "transpire" toute sa rage.
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Vu aujourd'hui sur TV5 monde, la cérémonie des obsèques de james Brown. Grande émotion. Brown reposant dans son cercueil ouvert, le visage apaisé, avec tout autour de lui un orchestre jouant ses morceaux devant des centaines de personnes. Michael jackson était là, plus amaigri que jamais. Brown aurait dit on souhaité sa présence à ses cotés s'il mourrait un jour. Pas Prince donc. Ce qui tendrait encore à confirmer nos soupçons: à savoir que Brown n'aimait guère Prince. En tout cas beaucoup d'émotion à le voir ainsi couché sans un geste, lui qu'on a toujours vu s'agitant, dansant, se contorsionnant avec une énergie qu'on croyait immortelle. Brown est mort. Il reste désormais sly, clinton stevie et prince . Dieu merci.
" il a mis du beatles sur du funk, c'est ça la grande idée' bashung
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il a bien fait vu que James Brown ne l'aimait pas d'apres le topic un peu plus basStoned a écrit :Michael Jackson était présent aux obsèques, pas Prince, retenu à Vegas, et ça aussi, ça restera. Dommage...
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J'ai trouvé cette cérémonie très glauque. Je saisque ça se fait, mais le cerceuil ouvert devant des centaines de personnes, Michael Jackson qui l'embrace, un des chanteurs qui chantaient devant lui comme s'il était vivant...
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Enfin, Sly est mal parti ! :roll:reflection a écrit : Brown est mort. Il reste désormais sly, clinton stevie et prince . Dieu merci.
Stevie fatigue...
Le grand George est increvable, certes !
Mais Jackson n'est pas encore mort.... En tout cas, Prince reste le mieux placé pour interpréter Brown maintenant.
Alan Leeds qui avant de travailler avec Prince fut manager de James Brown évoque sa mémoire dans son 'myspace'.
"27 déc. 2006 00:00
SKATES LIVES! The Godfather And The Pupil
Humeur actuelle : Like No Other
James Brown's first professional gig was in 1953, probably at Bill's Rendezvous in Toccoa, Georgia. His final performance was November 14, 2006, as he was honored by the U.K. Music Hall Of Fame in London. There aren't enough calculators in the world to add up all the gigs and travel miles during the 53 years in between. Enough, though, that he became, second only to Muhammad Ali, the most recognizable African American on this planet. No, we didn't do polls in Taiwan, Lagos, Croatia, Guadeloupe, Saigon or Tel Aviv - but he played all those places!
We who knew and once worked for him always thought he'd die on a stage. The old vaudeville joke was shine a flashlight and he'd do 10 minutes! But what bigger worldwide stage is there than Christmas Morn? None of us will forget where we were and what day it was we when we heard the news.
In 1966 James wrote and sang "Let's Make This Christmas Mean Something This Year". It's known that he'd been unhappy lately with where the world was headed and how his beloved country was doing. He wasn't alone. This year, all around me I sensed a lack of Christmas spirit, including mine. But by the end of Monday's unexpected events, I had discovered a humble gratitude for the many blessings in my life. In 2006 James Brown made THIS Christmas mean something this year.
Everybody's asking me if I had known he was sick. I didn't. Few did. Turns out he had been ailing for a few weeks but chose to ignore it. My friend and James' manager Charles Bobbit said he showed up in Atlanta on Saturday looking weary and drawn. He had lost weight and his voice was weakened by congestion. Maybe he knew how sick he was and simply preferred spending his last days in gen-pop instead of stuck to a hospital bed.
James hated sickness. In fact, he hated being around sick people. He saw sickness as a weakness and usually willed himself through any colds or flu he might catch on the road. The only time I got seriously fired during my years on his payroll was over me getting sick. In 1971 in Cincinnati I caught a cold that turned into what was probably pneumonia. I've never been as sick before or since – fever, strep throat, couldn't eat or keep even fluids down. After a few days I learned that lack of food or drink tends to weaken a man. By my second week in bed, too sick to even get to a doctor's office, James lost patience. We used to get our payroll wired from the tour receipts on the road and when Friday came, no pay. Finally my girl friend got Bobbit on the phone who reluctantly reported that the boss had told him, "If Mr. Leeds is too sick to go to work, tell him I'm too sick to pay him." I can't honestly say impending unemployment was the motivation, but soon I was on the mend. After another couple weeks in the penalty box I was healthy enough to confront JB at a gig in nearby Dayton. After a bit of humble pie and the display of enough energy to convince him I was a healthy horse to bet on, I got my job back.
The other time I almost got fired was because he got sick. During a particularly grueling series of one nighters he caught a flu bug. It was a fall weekend and he had spent the night at the Americana Hotel in New York following a show somewhere in New Jersey. He was scheduled to play Providence, Rhode Island, an hour away on the Lear Jet. I was home in Cincinnati, appreciating a rare weekend of girl friend and football. Early Sunday I got a call from Danny Ray warning me that JB was probably too sick to perform that night and for me to remain on stand-by. Around Noon Bobby Byrd called to report that James couldn't even walk from his bed to the bathroom. He couldn't eat or drink…full of fever. Sounded like what I had had. The big payback? Byrd said that the doctor had just given JB an antibiotic and ordered 48 hours bed rest. Cautiously I asked Bobby, "so you think I should cancel tonight's show in Providence?"
"No doubt", he assured me, explaining that James' wife Dee Dee was on her way up from Georgia to nurse the boss back to health and there was no way in the world this man could perform. "Don't worry 'bout a thing," said Byrd. "He can't even talk or walk, how's he gonna sing and dance?".
And so I began the arduous task of contacting the road manager, our local promoter, the venue manager, radio and TV stations advertising the gig etc. etc. Football was raging in the background on the TV in my living room but the only score I knew was how many people in Providence I was unable to reach. Mind you, this was a Sunday in the pre-cell phone era. Businesses and switchboards were closed. By about 4 o'clock I was satisfied that everybody in Providence who needed to know the show was cancelled was in the process of changing their plans for the night. Radio directed ticket holders to get refunds at their point of purchase and the venue was sending home ushers, ticket takers and security. Road manager Freddie Holmes stood by for directions on where to take the band next. We still didn't know where or when JB would be able to resume the tour.
After a deep breath I decided to call the Americana and check on my ailing boss. Dee Dee answered the phone in his suite. I caught myself speaking softly, as if my voice in the phone could have somehow disturbed James. "Oh man, I'm glad you're there Mrs. Brown. How is he?"
"How IS he?", Dee Dee shouted. "How would I know? He left for the gig before I even got here!"
Out of the corner of my eye I saw what would have been a game winning field goal fade short of the goalposts and the Bengals walk dejectedly off the field. I envied them. At least they had another game a week later. I was convinced I would NEVER have another show. My girl friend saw my face and asked what happened, probably fearing I had just received some horrid news about JB's condition. I remember saying to her, "in about 90 minutes this phone is gonna ring and it's gonna be the ugliest call Cincinnati Bell ever carried on their wires."
Meanwhile I frantically tried reaching everybody in Providence to reverse the cancellation - assuring everyone that James Brown would indeed be there. They must have thought I was a moron. But I didn't care what they thought. I cared what JB thought. And it was bound to be worse than "moron".
Sure enough the phone rang. The raspy voice was an uncharacteristic monotone. "Mr. Leeds, are you a doctor"? Not the question I expected. But like a….. um……… moron……I answered him, "no".
"Mr. Leeds I know you're not a doctor. And you know you're not a doctor. Son, I love you for caring about me like that. But I already got a doctor and I don't even listen to him."….his voice began escalating. "SO WHY DO YOU THINK I'M GONNA LISTEN TO YOU???!!!! DON'T YOU NEVER MAKE NO DECISION LIKE THAT UNLESS YOU HEAR IT FROM ME…AND ONLY ME!"
"But Mr. Brown, " I sheepishly responded. "Mr. Byrd said you……". He cut me off abruptly.
"Was Mr. Byrd sick? Is Mr. Byrd a doctor? If YOU were sick you gonna trust your life to Bobby Byrd? Shoot, you know he sings 'I Need Help'. Why you gonna go to a man who already needs help?? I love both you all but now I gotta do a show feelin' like this to half an empty auditorium. I think YOU'RE the one that's sick." And he hung up.
I didn't get fired that time which illustrates the difference between his sickness and that of others. From that day on, ANY time someone told me about any of his ailments, I refused to listen and just asked, "are you a doctor?" I'm mad that after last Monday, I'll never be able to ask that again.
James Brown was about a lot of things to a lot of different people. But to those of us who passed through his inner circle, he was about family. It wasn't always a warm and fuzzy, or even functional family. But it was family. He was that crabby patriarch who'd seldom give you what you wanted but usually give you what you needed. He'd mock your performance and curse your efforts but if you ever needed to "come home" the door was always open.
I met him as a pimply-faced teenage rookie radio disc jockey, interviewing him for my show in Richmond, Va. I was so awestruck at being in his presence that I secretly recorded our pre-interview conversation as he asked me about my radio station and career aspirations, all the while bragging about his new (!) single, "Papa's Got A Brand New Bag". I humbly explained I merely had an hour on the air per day and was just an apprentice, but he waved me off and said, "you sure are hip man and you got the PRIME time, baby! I GOT to know you. You're gonna be ruling radio in Richmond before long."
Of course I left there on cloud nine. Years later, when I went to work for him I realized he pretty much praised disc jockeys like that in every town. I also realized that most of them left him feeling as special as I had that hot Summer day in 1965.
We stayed in touch. I visited his shows whenever he was within a few hundred miles of Richmond becoming a frequently seen face backstage in Washington, Norfolk and Pittsburgh. Gradually I struck what would prove to be life long friendships with the varied characters who rode the JB tour bus – Bobby Byrd, Danny Ray, Gertrude Saunders, St. Clair Pinckney, Fred Wesley, Vicki Anderson, Jabo Starks, Johnny Terry, Baby Lloyd and Buddy Nolan. After I swapped my radio gig for a couple years in college, I was still welcome backstage – the guys treated me like a loyal mascot and James treated me like a Godson. He kept me on the King Records mailing list so that I got all his new records the day before they came out. A week after his tour of Viet Nam, my brother Eric and I sat up with him into the wee hours listening to his unique viewpoint of the war, the government's treatment of his voluntary tour behind the lines and everything else under the sun. After "Say It Loud – I'm Black And Proud" hit the market he spent hours holding court in a cold arena dressing room, explaining it's significance, not just to blacks but to whites who needed to "recognize". Explaining that it was up to "liberated" whites like me to spread the Gospel in the white community, because civil rights was about white ignorance more than about hate.
By then I was convinced that I wanted a career in music. No, not just music, black music. But I couldn't have picked a worse time. In the immediate post-civil rights years, the black music industry was focused on taking control of itself – erasing the decades of institutionalized exploitation at the hands of mostly white record companies, managers, agents and promoters. Atlantic Records' Gerry Wexler had been unceremoniously chased out of a prominent black music convention. Veteran r&b record exec Marshall Seahorn had been mugged and beaten by thugs. The message was clear. But the Godfather saw it differently. "Of course we gotta control our industry. And a lot of old cats gotta go. But pretty soon we'll have enough control to relax. And then the brothas will recognize we need white cats like you who got it together and respect this music of ours if we're ever gonna get it outa the ghetto. Don't listen to them angry cats, just understand them. Meanwhile you come over here with me, there's a place for you."
James Brown wasn't my only friend in the industry. I had come to know several key record execs and many artists. Jerry Butler used to call and play his new demos over the phone asking my opinion on singles choices. I used to drive Joe Tex and Arthur Conley to gigs when they were in Richmond. Otis Redding and Sam and Dave let me promote their local shows to earn some extra cash. Two of the Manhattans crashed with me at my girl friends house after a night of rum, weed and many laughs. But Mr. Brown offered me a JOB.
Mr. Brown. Mister Brown. From the day I met him, backstage he was always Mr. Brown – never James. Deejays, friends and wannabes called him James. But one of the initiations into the inner circle was the unequivocal exchange of James for Mister. It was reciprocal. I went from Alan to Mr. Leeds. It was a transition we had both gradually made even before I joined his payroll. I didn't quite understand why but somehow, among all the other "misters" backstage it seemed normal. When questioned about the odd formality, he'd tell outsiders "it's a respect thing".
There was a lot about Mr. Brown that wasn't easy to understand. But, contrary to popular belief, he was sometimes open to explanation. As an employee, I had to carefully pick my spots and choose my words carefully so they couldn't come back to haunt me when our relationship flipped back to employer-employee. But if we were riding to an airport after a gig and the days business had been put away, sometimes I would revert to being a fan and casually pick his brain. One such night it was, "…so what's with the mister deal?"
"Alan" (he'd sometimes revert too, it was the Godfather in him), "Alan, until I was 20 years old all I was ever called was Jimmy. My name was never Jimmy. It was James. But nobody saw no James. They saw Jimmy. Now if they didn't see no James, you KNOW they didn't see no mister. See, if we all call each other mister, then it makes it much harder for anyone else to call us by any other name. When I took over my own business, I knew I had to have the respect of someone runnin' a business. They might still wanna call me Jimmy but if they wanted to book the James Brown Show, they were gonna have to deal with Mr. Brown."
He was right. We could be pulling into a venue for a gig and the cop at the backstage driveway would stop the car until he recognized the star behind the wheel. James….sorry, Mr. Brown….could have just pulled past him but invariably he'd stop, roll down the window and greet the cop as if he remembered him from previous shows in whatever town we happened to be in. Just as invariably the cop would smile, extend his hand and say, "welcome back MR. Brown".
1970 cracker cops…..and it was MR. Brown! You see I didn't understand the South either. I had lived in Virginia but it wasn't the South South. I had most of the typically liberal, even radical views of a Jewish Yankee. We didn't know how much the common men of the South had in common - regardless of color. They worked the same land; ate the same food; drank the same moonshine; prayed to the same God; even shared the same drawl.
One of my first promotion assignments was to fly to Mobile, Alabama, to set up an upcoming one-nighter. Though I didn't realize until I got off the plane and began counting the men in business khakis or workingmen's overalls, the way I was dressed might as well have included a neon sign that said "Yankee". I caught a cab to the Municipal Auditorium and a meeting with the venue director, a died-in-the-wool good ol' boy who eventually became a legend in the arena business named Buddy Clewis. Buddy had on a short sleeved white shirt with a rumpled collar and a thin bow tie. His reddish round little nose reminded me of W.C. Fields. Clewis looked like a bartender in a Western movie, all he needed were the garters on his sleeves. Behind his desk, a huge Confederate flag hung on his wall aside a framed photo of Buddy hugging Gov. George Wallace. Before I said a word, thoughts of all the civil rights workers who went missing in the swamps of Alabama and Mississippi rushed through my head. Clewis stood and extended his hand.
"Well, well, I do declare. Who'd ever thought ol' Mr. Brown woulda sent a Yankee white boy down here to see ol' Buddy", he drawled. By now I was probably shaking. But there was that mister thing.
"Mr. Leeds, let's you and I see how we can make some money with ol' Mr. Brown. Mr. Brown's been awful good to Mobile and ol' Buddy. If we lucky, he'll be good to you too."
Talk about confused! At that point I was ready to re-think the K.K.K. and picket any showing of IN THE HEAT OF THE NIGHT. Fact is, I soon learned one of James' first lessons of show promotion. When the show sold out, always throw a tip to the building director. They were usually city employees, on a modest salary but they had the authority to book the venue as they saw fit. Having them on board afforded the James Brown Show first crack at the most lucrative dates and a host of favors in local promotion. Business was business, and BUDDY Clewis was delighted to be in business with MR. Brown.
It didn't take long to realize how the "mister thing" also contributed to the pride I felt in being part of the Brown organization. We were also required to wear dark suits and ties whenever in a business environment – even the band! The band could be in the midst of a string of one-nighters, living on the bus for days on end but they'd be expected to disembark in a suit and tie. Hair had to be in place - a doo rag in public was never an option. Difficult as it must have been to present themselves properly after a long, cramped bus ride, their pride in their appearance was intoxicating. That band got off that bus, day in and day out, with a strut that was the envy of every musician in black music. I love a photo saxophonist-band leader Pee Wee Ellis contributed to Fred Wesley's book, HIT ME, FRED. You see Pee Wee, Maceo Parker, Fred Wesley, Clyde Stubblefield and St. Clair Pinckney hanging out around a huge oil can in a lot next to a modest rural motel of some sort – the kind of backwoods place they'd get stuck staying in when the tour hit the "B" and "C" markets back in the day. It's a typical scene of Americana except for one thing. These proud young black musicians are dressed to kill. Imagine the reaction of the motel clerk when they arrived to check in. Imagine the reaction of the sister behind the counter when they invaded the local soul food joint for that rare shot at a real meal. Imagine the effect on the opening acts when the band preened through the hallways to the stage. Elitest? Damn right. Cult-like? Maybe. But it was family. And James Brown was proud of his family.
(See photo in "my pics")
Years later when I was working as tour manager for Prince as PURPLE RAIN blew up, James insisted that Prince's tour should follow his by a week or so. He said he'd help hype our tour by promoting it during his gigs. He offered the idea as a helpful favor. I chose not to point out that Prince was already selling out arenas and Brown was then stuck on the 1980's rock club circuit. But when MTV interviewed James and asked him how he felt about his protégés, Prince and Michael Jackson, outselling him he told them Prince's success was largely due to the fact that, "he's got some of my old staff over there. Namely Alan Leeds". The interview didn't play very well with my bosses in the Prince camp but far be it from me to deprive a Godfather of his family pride.
In 1992 Mr. Brown and I shared a Grammy with Universal Records' executive Harry Weinger and writers Nelson George and Cliff White for the liner notes to the STAR TIME box set. I'm not sure I even knew there was a Grammy for liner notes until a friend called to tell me I was nominated. After we won, I asked JB to sign a copy of the booklet. He wrote, "….Alan. Think Family……Thanks for helping with OUR Grammy". If my house ever catches fire, that booklet (not the Grammy) is the first thing I grab.
For someone so attached to mister, Brown was a man of many nicknames. Mr. Dynamite. The Hardest Working Man In Show Business. Soul Brother #1. Godfather Of Soul. My brother reminded me yesterday that our favorite nickname for him wasn't one the public shared. I think promotion rep Buddy Nolan coined it in 1967. We called him "Skates". All you have to do is watch him glide across the screen in the T.A.M.I. show to understand why. But I suppose Godfather is, after all, the most fitting. Godfather is beyond mister.
In the past forty eight hours I've reflected on just how different the world would have been were it not for James Brown. But for this purpose, I also had to recognize just how different I would have been were it not for James Brown. He taught me how to listen to and understand the music I love. He taught me how to have hope when there is no hope. He taught me that if you believe in yourself, sooner or later someone else will believe in you too. He taught me about race. He taught me about this country and its many faces. He taught me that real life should be a dictionary without the word quit. He taught me about extended family. He knew a lot about my parents and how supportively and lovingly they raised me and Eric but still dedicated another album I contributed to with, "To my nephew in blood and adopted son".
The world mourns the loss of a Godfather. But I celebrate the memory of MY Godfather.
ALAN LEEDS, 12/26/06
"
"27 déc. 2006 00:00
SKATES LIVES! The Godfather And The Pupil
Humeur actuelle : Like No Other
James Brown's first professional gig was in 1953, probably at Bill's Rendezvous in Toccoa, Georgia. His final performance was November 14, 2006, as he was honored by the U.K. Music Hall Of Fame in London. There aren't enough calculators in the world to add up all the gigs and travel miles during the 53 years in between. Enough, though, that he became, second only to Muhammad Ali, the most recognizable African American on this planet. No, we didn't do polls in Taiwan, Lagos, Croatia, Guadeloupe, Saigon or Tel Aviv - but he played all those places!
We who knew and once worked for him always thought he'd die on a stage. The old vaudeville joke was shine a flashlight and he'd do 10 minutes! But what bigger worldwide stage is there than Christmas Morn? None of us will forget where we were and what day it was we when we heard the news.
In 1966 James wrote and sang "Let's Make This Christmas Mean Something This Year". It's known that he'd been unhappy lately with where the world was headed and how his beloved country was doing. He wasn't alone. This year, all around me I sensed a lack of Christmas spirit, including mine. But by the end of Monday's unexpected events, I had discovered a humble gratitude for the many blessings in my life. In 2006 James Brown made THIS Christmas mean something this year.
Everybody's asking me if I had known he was sick. I didn't. Few did. Turns out he had been ailing for a few weeks but chose to ignore it. My friend and James' manager Charles Bobbit said he showed up in Atlanta on Saturday looking weary and drawn. He had lost weight and his voice was weakened by congestion. Maybe he knew how sick he was and simply preferred spending his last days in gen-pop instead of stuck to a hospital bed.
James hated sickness. In fact, he hated being around sick people. He saw sickness as a weakness and usually willed himself through any colds or flu he might catch on the road. The only time I got seriously fired during my years on his payroll was over me getting sick. In 1971 in Cincinnati I caught a cold that turned into what was probably pneumonia. I've never been as sick before or since – fever, strep throat, couldn't eat or keep even fluids down. After a few days I learned that lack of food or drink tends to weaken a man. By my second week in bed, too sick to even get to a doctor's office, James lost patience. We used to get our payroll wired from the tour receipts on the road and when Friday came, no pay. Finally my girl friend got Bobbit on the phone who reluctantly reported that the boss had told him, "If Mr. Leeds is too sick to go to work, tell him I'm too sick to pay him." I can't honestly say impending unemployment was the motivation, but soon I was on the mend. After another couple weeks in the penalty box I was healthy enough to confront JB at a gig in nearby Dayton. After a bit of humble pie and the display of enough energy to convince him I was a healthy horse to bet on, I got my job back.
The other time I almost got fired was because he got sick. During a particularly grueling series of one nighters he caught a flu bug. It was a fall weekend and he had spent the night at the Americana Hotel in New York following a show somewhere in New Jersey. He was scheduled to play Providence, Rhode Island, an hour away on the Lear Jet. I was home in Cincinnati, appreciating a rare weekend of girl friend and football. Early Sunday I got a call from Danny Ray warning me that JB was probably too sick to perform that night and for me to remain on stand-by. Around Noon Bobby Byrd called to report that James couldn't even walk from his bed to the bathroom. He couldn't eat or drink…full of fever. Sounded like what I had had. The big payback? Byrd said that the doctor had just given JB an antibiotic and ordered 48 hours bed rest. Cautiously I asked Bobby, "so you think I should cancel tonight's show in Providence?"
"No doubt", he assured me, explaining that James' wife Dee Dee was on her way up from Georgia to nurse the boss back to health and there was no way in the world this man could perform. "Don't worry 'bout a thing," said Byrd. "He can't even talk or walk, how's he gonna sing and dance?".
And so I began the arduous task of contacting the road manager, our local promoter, the venue manager, radio and TV stations advertising the gig etc. etc. Football was raging in the background on the TV in my living room but the only score I knew was how many people in Providence I was unable to reach. Mind you, this was a Sunday in the pre-cell phone era. Businesses and switchboards were closed. By about 4 o'clock I was satisfied that everybody in Providence who needed to know the show was cancelled was in the process of changing their plans for the night. Radio directed ticket holders to get refunds at their point of purchase and the venue was sending home ushers, ticket takers and security. Road manager Freddie Holmes stood by for directions on where to take the band next. We still didn't know where or when JB would be able to resume the tour.
After a deep breath I decided to call the Americana and check on my ailing boss. Dee Dee answered the phone in his suite. I caught myself speaking softly, as if my voice in the phone could have somehow disturbed James. "Oh man, I'm glad you're there Mrs. Brown. How is he?"
"How IS he?", Dee Dee shouted. "How would I know? He left for the gig before I even got here!"
Out of the corner of my eye I saw what would have been a game winning field goal fade short of the goalposts and the Bengals walk dejectedly off the field. I envied them. At least they had another game a week later. I was convinced I would NEVER have another show. My girl friend saw my face and asked what happened, probably fearing I had just received some horrid news about JB's condition. I remember saying to her, "in about 90 minutes this phone is gonna ring and it's gonna be the ugliest call Cincinnati Bell ever carried on their wires."
Meanwhile I frantically tried reaching everybody in Providence to reverse the cancellation - assuring everyone that James Brown would indeed be there. They must have thought I was a moron. But I didn't care what they thought. I cared what JB thought. And it was bound to be worse than "moron".
Sure enough the phone rang. The raspy voice was an uncharacteristic monotone. "Mr. Leeds, are you a doctor"? Not the question I expected. But like a….. um……… moron……I answered him, "no".
"Mr. Leeds I know you're not a doctor. And you know you're not a doctor. Son, I love you for caring about me like that. But I already got a doctor and I don't even listen to him."….his voice began escalating. "SO WHY DO YOU THINK I'M GONNA LISTEN TO YOU???!!!! DON'T YOU NEVER MAKE NO DECISION LIKE THAT UNLESS YOU HEAR IT FROM ME…AND ONLY ME!"
"But Mr. Brown, " I sheepishly responded. "Mr. Byrd said you……". He cut me off abruptly.
"Was Mr. Byrd sick? Is Mr. Byrd a doctor? If YOU were sick you gonna trust your life to Bobby Byrd? Shoot, you know he sings 'I Need Help'. Why you gonna go to a man who already needs help?? I love both you all but now I gotta do a show feelin' like this to half an empty auditorium. I think YOU'RE the one that's sick." And he hung up.
I didn't get fired that time which illustrates the difference between his sickness and that of others. From that day on, ANY time someone told me about any of his ailments, I refused to listen and just asked, "are you a doctor?" I'm mad that after last Monday, I'll never be able to ask that again.
James Brown was about a lot of things to a lot of different people. But to those of us who passed through his inner circle, he was about family. It wasn't always a warm and fuzzy, or even functional family. But it was family. He was that crabby patriarch who'd seldom give you what you wanted but usually give you what you needed. He'd mock your performance and curse your efforts but if you ever needed to "come home" the door was always open.
I met him as a pimply-faced teenage rookie radio disc jockey, interviewing him for my show in Richmond, Va. I was so awestruck at being in his presence that I secretly recorded our pre-interview conversation as he asked me about my radio station and career aspirations, all the while bragging about his new (!) single, "Papa's Got A Brand New Bag". I humbly explained I merely had an hour on the air per day and was just an apprentice, but he waved me off and said, "you sure are hip man and you got the PRIME time, baby! I GOT to know you. You're gonna be ruling radio in Richmond before long."
Of course I left there on cloud nine. Years later, when I went to work for him I realized he pretty much praised disc jockeys like that in every town. I also realized that most of them left him feeling as special as I had that hot Summer day in 1965.
We stayed in touch. I visited his shows whenever he was within a few hundred miles of Richmond becoming a frequently seen face backstage in Washington, Norfolk and Pittsburgh. Gradually I struck what would prove to be life long friendships with the varied characters who rode the JB tour bus – Bobby Byrd, Danny Ray, Gertrude Saunders, St. Clair Pinckney, Fred Wesley, Vicki Anderson, Jabo Starks, Johnny Terry, Baby Lloyd and Buddy Nolan. After I swapped my radio gig for a couple years in college, I was still welcome backstage – the guys treated me like a loyal mascot and James treated me like a Godson. He kept me on the King Records mailing list so that I got all his new records the day before they came out. A week after his tour of Viet Nam, my brother Eric and I sat up with him into the wee hours listening to his unique viewpoint of the war, the government's treatment of his voluntary tour behind the lines and everything else under the sun. After "Say It Loud – I'm Black And Proud" hit the market he spent hours holding court in a cold arena dressing room, explaining it's significance, not just to blacks but to whites who needed to "recognize". Explaining that it was up to "liberated" whites like me to spread the Gospel in the white community, because civil rights was about white ignorance more than about hate.
By then I was convinced that I wanted a career in music. No, not just music, black music. But I couldn't have picked a worse time. In the immediate post-civil rights years, the black music industry was focused on taking control of itself – erasing the decades of institutionalized exploitation at the hands of mostly white record companies, managers, agents and promoters. Atlantic Records' Gerry Wexler had been unceremoniously chased out of a prominent black music convention. Veteran r&b record exec Marshall Seahorn had been mugged and beaten by thugs. The message was clear. But the Godfather saw it differently. "Of course we gotta control our industry. And a lot of old cats gotta go. But pretty soon we'll have enough control to relax. And then the brothas will recognize we need white cats like you who got it together and respect this music of ours if we're ever gonna get it outa the ghetto. Don't listen to them angry cats, just understand them. Meanwhile you come over here with me, there's a place for you."
James Brown wasn't my only friend in the industry. I had come to know several key record execs and many artists. Jerry Butler used to call and play his new demos over the phone asking my opinion on singles choices. I used to drive Joe Tex and Arthur Conley to gigs when they were in Richmond. Otis Redding and Sam and Dave let me promote their local shows to earn some extra cash. Two of the Manhattans crashed with me at my girl friends house after a night of rum, weed and many laughs. But Mr. Brown offered me a JOB.
Mr. Brown. Mister Brown. From the day I met him, backstage he was always Mr. Brown – never James. Deejays, friends and wannabes called him James. But one of the initiations into the inner circle was the unequivocal exchange of James for Mister. It was reciprocal. I went from Alan to Mr. Leeds. It was a transition we had both gradually made even before I joined his payroll. I didn't quite understand why but somehow, among all the other "misters" backstage it seemed normal. When questioned about the odd formality, he'd tell outsiders "it's a respect thing".
There was a lot about Mr. Brown that wasn't easy to understand. But, contrary to popular belief, he was sometimes open to explanation. As an employee, I had to carefully pick my spots and choose my words carefully so they couldn't come back to haunt me when our relationship flipped back to employer-employee. But if we were riding to an airport after a gig and the days business had been put away, sometimes I would revert to being a fan and casually pick his brain. One such night it was, "…so what's with the mister deal?"
"Alan" (he'd sometimes revert too, it was the Godfather in him), "Alan, until I was 20 years old all I was ever called was Jimmy. My name was never Jimmy. It was James. But nobody saw no James. They saw Jimmy. Now if they didn't see no James, you KNOW they didn't see no mister. See, if we all call each other mister, then it makes it much harder for anyone else to call us by any other name. When I took over my own business, I knew I had to have the respect of someone runnin' a business. They might still wanna call me Jimmy but if they wanted to book the James Brown Show, they were gonna have to deal with Mr. Brown."
He was right. We could be pulling into a venue for a gig and the cop at the backstage driveway would stop the car until he recognized the star behind the wheel. James….sorry, Mr. Brown….could have just pulled past him but invariably he'd stop, roll down the window and greet the cop as if he remembered him from previous shows in whatever town we happened to be in. Just as invariably the cop would smile, extend his hand and say, "welcome back MR. Brown".
1970 cracker cops…..and it was MR. Brown! You see I didn't understand the South either. I had lived in Virginia but it wasn't the South South. I had most of the typically liberal, even radical views of a Jewish Yankee. We didn't know how much the common men of the South had in common - regardless of color. They worked the same land; ate the same food; drank the same moonshine; prayed to the same God; even shared the same drawl.
One of my first promotion assignments was to fly to Mobile, Alabama, to set up an upcoming one-nighter. Though I didn't realize until I got off the plane and began counting the men in business khakis or workingmen's overalls, the way I was dressed might as well have included a neon sign that said "Yankee". I caught a cab to the Municipal Auditorium and a meeting with the venue director, a died-in-the-wool good ol' boy who eventually became a legend in the arena business named Buddy Clewis. Buddy had on a short sleeved white shirt with a rumpled collar and a thin bow tie. His reddish round little nose reminded me of W.C. Fields. Clewis looked like a bartender in a Western movie, all he needed were the garters on his sleeves. Behind his desk, a huge Confederate flag hung on his wall aside a framed photo of Buddy hugging Gov. George Wallace. Before I said a word, thoughts of all the civil rights workers who went missing in the swamps of Alabama and Mississippi rushed through my head. Clewis stood and extended his hand.
"Well, well, I do declare. Who'd ever thought ol' Mr. Brown woulda sent a Yankee white boy down here to see ol' Buddy", he drawled. By now I was probably shaking. But there was that mister thing.
"Mr. Leeds, let's you and I see how we can make some money with ol' Mr. Brown. Mr. Brown's been awful good to Mobile and ol' Buddy. If we lucky, he'll be good to you too."
Talk about confused! At that point I was ready to re-think the K.K.K. and picket any showing of IN THE HEAT OF THE NIGHT. Fact is, I soon learned one of James' first lessons of show promotion. When the show sold out, always throw a tip to the building director. They were usually city employees, on a modest salary but they had the authority to book the venue as they saw fit. Having them on board afforded the James Brown Show first crack at the most lucrative dates and a host of favors in local promotion. Business was business, and BUDDY Clewis was delighted to be in business with MR. Brown.
It didn't take long to realize how the "mister thing" also contributed to the pride I felt in being part of the Brown organization. We were also required to wear dark suits and ties whenever in a business environment – even the band! The band could be in the midst of a string of one-nighters, living on the bus for days on end but they'd be expected to disembark in a suit and tie. Hair had to be in place - a doo rag in public was never an option. Difficult as it must have been to present themselves properly after a long, cramped bus ride, their pride in their appearance was intoxicating. That band got off that bus, day in and day out, with a strut that was the envy of every musician in black music. I love a photo saxophonist-band leader Pee Wee Ellis contributed to Fred Wesley's book, HIT ME, FRED. You see Pee Wee, Maceo Parker, Fred Wesley, Clyde Stubblefield and St. Clair Pinckney hanging out around a huge oil can in a lot next to a modest rural motel of some sort – the kind of backwoods place they'd get stuck staying in when the tour hit the "B" and "C" markets back in the day. It's a typical scene of Americana except for one thing. These proud young black musicians are dressed to kill. Imagine the reaction of the motel clerk when they arrived to check in. Imagine the reaction of the sister behind the counter when they invaded the local soul food joint for that rare shot at a real meal. Imagine the effect on the opening acts when the band preened through the hallways to the stage. Elitest? Damn right. Cult-like? Maybe. But it was family. And James Brown was proud of his family.
(See photo in "my pics")
Years later when I was working as tour manager for Prince as PURPLE RAIN blew up, James insisted that Prince's tour should follow his by a week or so. He said he'd help hype our tour by promoting it during his gigs. He offered the idea as a helpful favor. I chose not to point out that Prince was already selling out arenas and Brown was then stuck on the 1980's rock club circuit. But when MTV interviewed James and asked him how he felt about his protégés, Prince and Michael Jackson, outselling him he told them Prince's success was largely due to the fact that, "he's got some of my old staff over there. Namely Alan Leeds". The interview didn't play very well with my bosses in the Prince camp but far be it from me to deprive a Godfather of his family pride.
In 1992 Mr. Brown and I shared a Grammy with Universal Records' executive Harry Weinger and writers Nelson George and Cliff White for the liner notes to the STAR TIME box set. I'm not sure I even knew there was a Grammy for liner notes until a friend called to tell me I was nominated. After we won, I asked JB to sign a copy of the booklet. He wrote, "….Alan. Think Family……Thanks for helping with OUR Grammy". If my house ever catches fire, that booklet (not the Grammy) is the first thing I grab.
For someone so attached to mister, Brown was a man of many nicknames. Mr. Dynamite. The Hardest Working Man In Show Business. Soul Brother #1. Godfather Of Soul. My brother reminded me yesterday that our favorite nickname for him wasn't one the public shared. I think promotion rep Buddy Nolan coined it in 1967. We called him "Skates". All you have to do is watch him glide across the screen in the T.A.M.I. show to understand why. But I suppose Godfather is, after all, the most fitting. Godfather is beyond mister.
In the past forty eight hours I've reflected on just how different the world would have been were it not for James Brown. But for this purpose, I also had to recognize just how different I would have been were it not for James Brown. He taught me how to listen to and understand the music I love. He taught me how to have hope when there is no hope. He taught me that if you believe in yourself, sooner or later someone else will believe in you too. He taught me about race. He taught me about this country and its many faces. He taught me that real life should be a dictionary without the word quit. He taught me about extended family. He knew a lot about my parents and how supportively and lovingly they raised me and Eric but still dedicated another album I contributed to with, "To my nephew in blood and adopted son".
The world mourns the loss of a Godfather. But I celebrate the memory of MY Godfather.
ALAN LEEDS, 12/26/06
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au moins ca a permis a Jackson de se souvenir qu'un jour il a été noirBob l'éponge a écrit :J'ai trouvé cette cérémonie très glauque. Je saisque ça se fait, mais le cerceuil ouvert devant des centaines de personnes, Michael Jackson qui l'embrace, un des chanteurs qui chantaient devant lui comme s'il était vivant...
s'il devrait prendre un nom de chanteur celebre je le verrais bien s'apeller Barry WHITE :twisted:
Où exactement? Ca m'intéresse.GlamSlam a écrit :il a bien fait vu que James Brown ne l'aimait pas d'apres le topic un peu plus basStoned a écrit :Michael Jackson était présent aux obsèques, pas Prince, retenu à Vegas, et ça aussi, ça restera. Dommage...
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