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La team
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Cet article est rigolo car il semble dire que c'est un fait exceptionnel que des gens aient réussi à pirater des concerts de Prince.
C'est vrai que ça devait être plus dur qu'à Montreux (Un rêve pour ceux qui enregistraient apparemment), et que vu le nombre réduit de personnes c'était plus délicat, mais les plus aguéris n'ont pas considéré ça comme mission impossible.
"Il existe des dizaines de pirates des concerts de Prince" dixit le journaliste.
Oui des dizaines au moins...
C'est vrai que ça devait être plus dur qu'à Montreux (Un rêve pour ceux qui enregistraient apparemment), et que vu le nombre réduit de personnes c'était plus délicat, mais les plus aguéris n'ont pas considéré ça comme mission impossible.
"Il existe des dizaines de pirates des concerts de Prince" dixit le journaliste.
Oui des dizaines au moins...
- Purple-Jerome
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"Be cool Rover... Don't bite nobody"
- bhanlarouge
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Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire, des fois :lol: :lol: :lol:
allez, pour rire on va aller vérifier cette top info...
(on a rien de mieux à faire en cette fin d'août LOL)
allez, pour rire on va aller vérifier cette top info...
(on a rien de mieux à faire en cette fin d'août LOL)
- Vincent2Paris
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hum, news confirmée sur un site américain... et sur Libération en français:Purple-Jerome a écrit :et une connerie, de +, une...
http://fr.news.yahoo.com/77/20090826/te ... 26e03.html
:lol:
A voir, si le gars parlait bien de PRN et pas d'un autre Prince...
- bhanlarouge
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Au secours... 8O 8O 8O
Remarquez pour Obama c'est pain béni, s'il arrive même à amener à lui des indécrottable du non vote comme Prince, tout espoir est permis pour ses réalisations...
Et au fait, question valeur ajoutée, il peut faire quoi, Prince, dans l'équipe d'Obama. Vu comment il gère un business, ils sont pas rendu !
Vont-ils avoir la présence d'esprit de dire "no thanks" ?
Remarquez pour Obama c'est pain béni, s'il arrive même à amener à lui des indécrottable du non vote comme Prince, tout espoir est permis pour ses réalisations...
Et au fait, question valeur ajoutée, il peut faire quoi, Prince, dans l'équipe d'Obama. Vu comment il gère un business, ils sont pas rendu !
Vont-ils avoir la présence d'esprit de dire "no thanks" ?
- Purple-Jerome
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c'est grace a la sortie du nouveau single de Prince. Maintenant la philosophie des democrates c'est "Better With Time"... hmmm pas sûr que ce soit la meilleure chose a faire en ces temps 8)bhanlarouge a écrit :Au secours... 8O 8O 8O
Remarquez pour Obama c'est pain béni, s'il arrive même à amener à lui des indécrottable du non vote comme Prince, tout espoir est permis pour ses réalisations...
Et au fait, question valeur ajoutée, il peut faire quoi, Prince, dans l'équipe d'Obama. Vu comment il gère un business, ils sont pas rendu !
Vont-ils avoir la présence d'esprit de dire "no thanks" ?
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Pareil.dionne a écrit :Ca voudrait dire clairement qu'il n'est plus TJ, faire les 2 est impossible. Du coup j'en viens presque à souhaiter que cette "news" s'avère juste.
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si seulement
est-ce qu'il va enfin soigner cette hanche....s'il n'est plus TJ
si oui, il peut bien aller bouffer avec Obama, et même avec son connard de prédécesseur si il veut!
est-ce qu'il va enfin soigner cette hanche....s'il n'est plus TJ
si oui, il peut bien aller bouffer avec Obama, et même avec son connard de prédécesseur si il veut!
U kinda a cute, U wanna take a bath?
- vivelafrance
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et tant qu'il y est, s'il pouvait manger une bonne côte de boeuf,histoire de se remplumer un peu
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Cette info me laisse perplexe
Quoiqu'il en soit, ça rigole et ça chambre autour de moi...
"Alors ton Prince rejoint Obama ? Il va faire quoi ? Chanter pour les Gi's ? Les pauvres !" Comme un bourrin je répond qu'il va repeindre la maison blanche en noir
Quoiqu'il en soit, ça rigole et ça chambre autour de moi...
"Alors ton Prince rejoint Obama ? Il va faire quoi ? Chanter pour les Gi's ? Les pauvres !" Comme un bourrin je répond qu'il va repeindre la maison blanche en noir
- Vincent2Paris
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mais non, en violetMatthieu Coasne a écrit :Comme un bourrin je répond qu'il va repeindre la maison blanche en noir
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- bhanlarouge
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- Elvis Paisley
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Excellent...
:lol: :lol: :lol:
:lol: :lol: :lol:
Un rappel : Obama était content d'être au 36 ième NAACP IMAGE AWARD :
Voir ici , à 1mn 10 !
http://www.youtube.com/watch?v=68fx8j0-P0U
Voir ici , à 1mn 10 !
http://www.youtube.com/watch?v=68fx8j0-P0U
- bhanlarouge
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J'ai lu dans Web Designer N°10 un article hallucinant sur la prod. musicale actuellement, et/ou comment faire quand on est un artiste et qu'on veut vendre sa musique. Tout y passe, comment s'auto produire, essayer de se faire signer par une major, presser ses propres CD et obtenir un deal de distribution, vendre soi-même sa musique en ligne, comment faire.
A lire absolument. Et comme il est plus en boutique (le 11 vient de sortir), je vais vous le scanner. Ça fait peur... :roll:
A lire absolument. Et comme il est plus en boutique (le 11 vient de sortir), je vais vous le scanner. Ça fait peur... :roll:
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d'avance merci beaucoup !!!!
like me ... thank U https://www.facebook.com/pages/J%C3%A9r ... 8062749621
- Vincent2Paris
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je veux bien le lire aussi, merci d'avance
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Vincent2Paris a écrit :je veux bien le lire aussi, merci d'avance
tu vas arriver à ton but vincent. 8)
" il a mis du beatles sur du funk, c'est ça la grande idée' bashung
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http://d.yimg.com/a/p/sp/getty/bd/fullj ... getty-.jpg
est-ce prince derrière spike lee et grace jones?
Cette photo a été prise recemment à Paris.
http://sports.yahoo.com/nba/photo;_ylt= ... getty-%3A1
Peace
est-ce prince derrière spike lee et grace jones?
Cette photo a été prise recemment à Paris.
http://sports.yahoo.com/nba/photo;_ylt= ... getty-%3A1
Peace
- missjay23
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Absolument.La Mangouste a écrit :http://d.yimg.com/a/p/sp/getty/bd/fullj ... getty-.jpg
est-ce prince derrière spike lee et grace jones?
The angel on my shoulder starts coaching
Bon c'est pas à la télé mais entendu sur jazz radio à l'instant un p'tit speech sur les diverses rumeurs qui ont fait plouf, avec comme semblant d'explications
-Prince est décidemment imprévisible, ingérable, en gros c'est du comme d'hab' quoi
-Il a mal à une hanche depuis quelques semaines (...)
Mais que, oyé oyé, lotusflower enfin sort en édition française, et qu'il pourrait revenir ici dans les prochaines semaines.
Et hop, embrayage sur Dance 4 me.
Donc soyons sans crainte, Jazz radio reste sur le coup! Les pontes du scoop made in Schkopi ont intérêt de faire de même, sinon comment les médias pourront nous informer, hein?
-Prince est décidemment imprévisible, ingérable, en gros c'est du comme d'hab' quoi
-Il a mal à une hanche depuis quelques semaines (...)
Mais que, oyé oyé, lotusflower enfin sort en édition française, et qu'il pourrait revenir ici dans les prochaines semaines.
Et hop, embrayage sur Dance 4 me.
Donc soyons sans crainte, Jazz radio reste sur le coup! Les pontes du scoop made in Schkopi ont intérêt de faire de même, sinon comment les médias pourront nous informer, hein?
http://www.actustar.com/Actualites/3033 ... -septembre
" Il faut prier pour que Prince nous gratifie de concerts "
Même actustar en veut!
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- sexymailletf
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Voilà l'article que l'on trouvera dans le magazine Les Inrockuptibles à paraître le 8 septembre prochain et la journaliste n'y va pas avec le dos de la cuillère !!! Déjà elle place l'album LotusFlow3r en 25è création du maître ... Enfin de bien grands mots pour un article de basse qualité :
"Plus souvent rincé que princier : le vingt cinquième album d'un artiste en chute libre.
A l'origine, ce vingt-cinquième album officiel de l'artiste précédemment connu comme talentueux n'était distribué, au printemps dernier, que sur le net et dans une chaine de grandes surfaces a prix cassé des Etats-Unis. Du disco hard au hard-discount, de leader d'opinion à Leader Price, la dégringolade de Prince ne rend pas heureux : on ne se réjouit pas de l'hébétude, de l'impotence d un type capable d'avoir troussé, fripon, quelques-unes des meilleurs raisons de danser dans les années 80.
Aujourd'hui récupéré par un label francais, Prince en appelle sur cet album à la nostalgie, en alignant une série d'électro-funks rutilants, qui feraient presque illusion si heureusement il y avait une âme et un sexe derrière ces exercices de style. Sa pochette digne de ces peintures aérographes infectes que des gros barbus mystiques imposent au capot de leur Citroën (généralement, des loups ou des indiens aux yeux mi-clos), est à la hauteur de la plupart des chansons : ringardes, navrantes.
Ainsi, le vraiment risible et insipide Chocolate Box, autotuné jusqu'à l'absence, dont le rap mou et frigide, aux métaphores burlesques malgré elles, est à peu près aussi sexy qu'un striptease M6 - tout en refourgant, à usage unique des souvenirs émus, le beat exact de When Doves Cry.
Ainsi U're Gonna C Me, balade poissarde et poisseuse qu' on ne souhaiterait même pas à Fleetwood Mac. Ce qui rend encore plus triste les petits sommets agités de cet album, comme le léger et charnel Valentina, un tube énorme dans un monde juste (80's); ou le tropical Ol'Skool Company, merveille qui aurait fait fureur sur la BO Flashdance.
Pour le reste, pour cette impression dérangeante de contrefaçon, de comédie, interrogeons-nous sur la conversion de Prince, à l 'aube du siècle, aux dogmes fondamentalistes : a-t-on jamais vu un témoin de jéhovah sexy, sensuel, lubrique ? Car aujourd'hui, tout ce qu'il incarnait à ses grandes heures, Prince le mime, le surjoue, pour les besoins de son film : une panoplie de pervers et de paillard comme d'autres enfilent un bleu de chauffe pour aller au turbin.
Les temoins de jéhovah considèrent les autres religions comme l'oeuvre de satan, (principal promoteur du faux culte). En mille gémissements, feulements, râles et laborieuses allégories sexuelles, tous simulés avec la grâce d'une actrice porno de série Z, Prince, lui, assure la promotion du faux culte." - Lucie Dunois.
"Plus souvent rincé que princier : le vingt cinquième album d'un artiste en chute libre.
A l'origine, ce vingt-cinquième album officiel de l'artiste précédemment connu comme talentueux n'était distribué, au printemps dernier, que sur le net et dans une chaine de grandes surfaces a prix cassé des Etats-Unis. Du disco hard au hard-discount, de leader d'opinion à Leader Price, la dégringolade de Prince ne rend pas heureux : on ne se réjouit pas de l'hébétude, de l'impotence d un type capable d'avoir troussé, fripon, quelques-unes des meilleurs raisons de danser dans les années 80.
Aujourd'hui récupéré par un label francais, Prince en appelle sur cet album à la nostalgie, en alignant une série d'électro-funks rutilants, qui feraient presque illusion si heureusement il y avait une âme et un sexe derrière ces exercices de style. Sa pochette digne de ces peintures aérographes infectes que des gros barbus mystiques imposent au capot de leur Citroën (généralement, des loups ou des indiens aux yeux mi-clos), est à la hauteur de la plupart des chansons : ringardes, navrantes.
Ainsi, le vraiment risible et insipide Chocolate Box, autotuné jusqu'à l'absence, dont le rap mou et frigide, aux métaphores burlesques malgré elles, est à peu près aussi sexy qu'un striptease M6 - tout en refourgant, à usage unique des souvenirs émus, le beat exact de When Doves Cry.
Ainsi U're Gonna C Me, balade poissarde et poisseuse qu' on ne souhaiterait même pas à Fleetwood Mac. Ce qui rend encore plus triste les petits sommets agités de cet album, comme le léger et charnel Valentina, un tube énorme dans un monde juste (80's); ou le tropical Ol'Skool Company, merveille qui aurait fait fureur sur la BO Flashdance.
Pour le reste, pour cette impression dérangeante de contrefaçon, de comédie, interrogeons-nous sur la conversion de Prince, à l 'aube du siècle, aux dogmes fondamentalistes : a-t-on jamais vu un témoin de jéhovah sexy, sensuel, lubrique ? Car aujourd'hui, tout ce qu'il incarnait à ses grandes heures, Prince le mime, le surjoue, pour les besoins de son film : une panoplie de pervers et de paillard comme d'autres enfilent un bleu de chauffe pour aller au turbin.
Les temoins de jéhovah considèrent les autres religions comme l'oeuvre de satan, (principal promoteur du faux culte). En mille gémissements, feulements, râles et laborieuses allégories sexuelles, tous simulés avec la grâce d'une actrice porno de série Z, Prince, lui, assure la promotion du faux culte." - Lucie Dunois.
Modifié en dernier par sexymailletf le 04 septembre 2009, 21:31, modifié 4 fois.
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8O :evil:sexymailletf a écrit :Voilà l'article que l'on trouvera dans le magazine Les Inrockuptibles à paraître le 8 septembre prochain et la journaliste n'y va pas avec le dos de la cuillère !!! Déjà elle place l'album LotusFlow3r en 25è création du maître ... Enfin de bien grands mots pour un article de basse qualité :
"Plus souvent rincé que princier: le vingt cinquième album d un artiste en chute libre.
A l'origine, ce vingt-cinquieme album officiel de l'artiste précédemment connu comme talentueux n'était distribué, au printemps dernier, que sur le net et dans une chaine de grandes surfaces a prix cassé des Etats-Unis. Du disco hard au hard-discount, de leader d'opinion à Leader Price, la dégringolade de Prince ne rend pas heureux : on ne se rejouit pas de l'hébétude, de l'impotence d un type capable d avoir troussé, fripon, quelques-unes des meilleurs raisons de danser dans les années 80.
Aujourd'hui recupéré par un label francais, Prince en appelle sur cet album à la nostalgie, en alignant une série d'électro-funks rutilants, qui feraient presque illusion si heureusement il y avait une âme et un sexe derrière ces exercices de style. Sa pochette digne de ces peintures aérographes infectes que des gros barbus mystiques imposent au capot de leur Citroën (généralement, des loups ou des indiens aux yeux mi-clos), est à la hauteur de la plupart des chansons : ringardes, navrantes.
Ainsi, le vraiment risible et insipide Chocolate Box, autotuné jusqu'à l'absence, dont le rap mou et frigide, aux métaphores burlesques malgré elles, est à peu près aussi sexy qu'un striptease M6 - tout en refourgant, à usage unique des souvenirs émus, le beat exact de When Doves Cry.
Ainsi U're Gonna C Me, balade poissarde et poisseuse qu' on ne souhaiterait même pas à Fleetwood Mac. Ce qui rend encore plus triste les petits sommets agités de cet album, comme le léger et charnel Valentina, un tube énorme dans un monde juste (80's); ou le tropical Ol'Skool Company, merveille qui aurait fait fureur sur la Mode Flashdance.
Pour le reste, pour cette impression dérangeante de contrefaçon, de comédie, interrogeons-nous sur la conversion de Prince, à l 'aube du siècle, aux dogmes fondamentalistes : a-t-on jamais vu un témoin de jéhovah sexy, sensuel, lubrique ? Car aujourd'hui, tout ce qu'il incarnait à ses grandes heures, Prince le mime, le surjoue, pour les besoins de son film : une panoplie de pervers et de paillard comme d'autres enfilent un bleu de chauffe pour aller au turbin.
Les temoins de jéhovah considèrent les autres religions comme l'oeuvre de satan, (principal promoteur du faux culte). En mille gémissements, feulements, râles et laborieuses allégories sexuelles, tous simulés avec la grâce d'une actrice porno de série Z, Prince, lui, assure la promotion du faux culte." - Lucie Dunois.
The angel on my shoulder starts coaching
Elle aurait résumé en disant que MPLSound est une merde, au moins ça aurait été concis.
Je suis plutôt de son avis sur le début de l'album, mais je me demande si elle a pas écouté le reste en avance rapide.
Une mauvaise critique dans ce papier toilette de luxe me rassure quelque part.
De toute façon je pense que pour le retour en grâce de prince ici c'est archi-mort. La faute à l'un de déserter les médias, et aux autres de balancer des phrases toutes faites, des mots d'auteur (sic), ça fait bien de casser du TJ en releguant la musique, une oeuvre, un contexte au second plan.
MPLSound est très loin du chef-d'oeuvre certe, mais le biais par lequel il est critiqué ici relêve, une fois de plus, de la facilité et d'une méconnaissance ultime de l'artiste.
Je suis plutôt de son avis sur le début de l'album, mais je me demande si elle a pas écouté le reste en avance rapide.
Une mauvaise critique dans ce papier toilette de luxe me rassure quelque part.
De toute façon je pense que pour le retour en grâce de prince ici c'est archi-mort. La faute à l'un de déserter les médias, et aux autres de balancer des phrases toutes faites, des mots d'auteur (sic), ça fait bien de casser du TJ en releguant la musique, une oeuvre, un contexte au second plan.
MPLSound est très loin du chef-d'oeuvre certe, mais le biais par lequel il est critiqué ici relêve, une fois de plus, de la facilité et d'une méconnaissance ultime de l'artiste.
- bhanlarouge
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En même temps c'est pas faux, ce que raconte ce journaliste (je vais pas me faire des copains LOL).missjay23 a écrit :8O :evil:sexymailletf a écrit :Voilà l'article que l'on trouvera dans le magazine Les Inrockuptibles à paraître le 8 septembre prochain et la journaliste n'y va pas avec le dos de la cuillère !!! Déjà elle place l'album LotusFlow3r en 25è création du maître ... Enfin de bien grands mots pour un article de basse qualité :
"Plus souvent rincé que princier: le vingt cinquième album d un artiste en chute libre.
A l'origine, ce vingt-cinquieme album officiel de l'artiste précédemment connu comme talentueux n'était distribué, au printemps dernier, que sur le net et dans une chaine de grandes surfaces a prix cassé des Etats-Unis. Du disco hard au hard-discount, de leader d'opinion à Leader Price, la dégringolade de Prince ne rend pas heureux : on ne se rejouit pas de l'hébétude, de l'impotence d un type capable d avoir troussé, fripon, quelques-unes des meilleurs raisons de danser dans les années 80.
Aujourd'hui recupéré par un label francais, Prince en appelle sur cet album à la nostalgie, en alignant une série d'électro-funks rutilants, qui feraient presque illusion si heureusement il y avait une âme et un sexe derrière ces exercices de style. Sa pochette digne de ces peintures aérographes infectes que des gros barbus mystiques imposent au capot de leur Citroën (généralement, des loups ou des indiens aux yeux mi-clos), est à la hauteur de la plupart des chansons : ringardes, navrantes.
Ainsi, le vraiment risible et insipide Chocolate Box, autotuné jusqu'à l'absence, dont le rap mou et frigide, aux métaphores burlesques malgré elles, est à peu près aussi sexy qu'un striptease M6 - tout en refourgant, à usage unique des souvenirs émus, le beat exact de When Doves Cry.
Ainsi U're Gonna C Me, balade poissarde et poisseuse qu' on ne souhaiterait même pas à Fleetwood Mac. Ce qui rend encore plus triste les petits sommets agités de cet album, comme le léger et charnel Valentina, un tube énorme dans un monde juste (80's); ou le tropical Ol'Skool Company, merveille qui aurait fait fureur sur la Mode Flashdance.
Pour le reste, pour cette impression dérangeante de contrefaçon, de comédie, interrogeons-nous sur la conversion de Prince, à l 'aube du siècle, aux dogmes fondamentalistes : a-t-on jamais vu un témoin de jéhovah sexy, sensuel, lubrique ? Car aujourd'hui, tout ce qu'il incarnait à ses grandes heures, Prince le mime, le surjoue, pour les besoins de son film : une panoplie de pervers et de paillard comme d'autres enfilent un bleu de chauffe pour aller au turbin.
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Je trouve ça très mal écrit mais pas fondamentalement faux. Elle déteste Chocolate Box et aime Valentina, alors je ne piperai mot.
- jamoftheyear
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Entendu hier sur France Inter, une spéciale Prince est prévue d'ici 3 semaines à un mois dans l'émission de 21h "Sur la route" de Laurent Lavige (avec recherches et témoignages divers...?).
Hier c'était un spécial MJ (l'épisode BAD raconté par Q.Jones,une nouvelle fois évoqué).
http://sites.radiofrance.fr/franceinter/em/surlaroute/
Hier c'était un spécial MJ (l'épisode BAD raconté par Q.Jones,une nouvelle fois évoqué).
http://sites.radiofrance.fr/franceinter/em/surlaroute/
- jamoftheyear
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"Plus souvent rincé que princier: le vingt cinquième album d'un artiste en chute libre."
Ouais bof, je n'ai pas trop eu cette impression à Montreux! :-) La journaliste a dû zapper quelques épisodes live; par contre même si c'est un peu acide, elle n'a pas tort sur certains points.
C'est sûr que certains titres font un peu redite mais il y a toujours son lot de pépites et même plus que ces dernières années. En même temps c'est un triple!
Et je ne les ai lu que rarement mais il me semble que Les inrocks n'ont jamais trop encensé et mis en valeur la "Black music" (même si Prince ne peut être mis dans cette seule catégorie), pas vraiment leur rayon, ni assez connaisseur?
Pat
Ouais bof, je n'ai pas trop eu cette impression à Montreux! :-) La journaliste a dû zapper quelques épisodes live; par contre même si c'est un peu acide, elle n'a pas tort sur certains points.
C'est sûr que certains titres font un peu redite mais il y a toujours son lot de pépites et même plus que ces dernières années. En même temps c'est un triple!
Et je ne les ai lu que rarement mais il me semble que Les inrocks n'ont jamais trop encensé et mis en valeur la "Black music" (même si Prince ne peut être mis dans cette seule catégorie), pas vraiment leur rayon, ni assez connaisseur?
Pat
- sexymailletf
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- Localisation : RAMBOUILLET
Depuis le décès de jackson c'est qu'il n'y a aucun chanteur digne de ce nom d'apres ces journaleux à 2 balles!
Il faut bien minimiser tout ce qui a ete ecrit et dit pendant la periode du procès de pedophilie intenté à jackson, manoeuvre et compagnie en cassant du sucre sur son meilleur ennemi qui n'en etait pas un, veulent faire oublier les dires qu'ils ont prononcés à l'epoque sur jackson, c'est le coté opportuniste de ces pseudos journalistes.
On sera plus là mais dans plusieurs decennies j'en suis sur on reconnaitra enfin le talent et le genie incontestable et unique de prince, et surtout on arretera de le comparer à d'autres artistes, car il est incomparable.
Il faut bien minimiser tout ce qui a ete ecrit et dit pendant la periode du procès de pedophilie intenté à jackson, manoeuvre et compagnie en cassant du sucre sur son meilleur ennemi qui n'en etait pas un, veulent faire oublier les dires qu'ils ont prononcés à l'epoque sur jackson, c'est le coté opportuniste de ces pseudos journalistes.
On sera plus là mais dans plusieurs decennies j'en suis sur on reconnaitra enfin le talent et le genie incontestable et unique de prince, et surtout on arretera de le comparer à d'autres artistes, car il est incomparable.
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Depuis le décès de jackson c'est qu'il n'y a aucun chanteur digne de ce nom d'apres ces journaleux à 2 balles!
Il faut bien minimiser tout ce qui a ete ecrit et dit pendant la periode du procès de pedophilie intenté à jackson, manoeuvre et compagnie en cassant du sucre sur son meilleur ennemi qui n'en etait pas un, veulent faire oublier les dires qu'ils ont prononcés à l'epoque sur jackson, c'est le coté opportuniste de ces pseudos journalistes.
On sera plus là mais dans plusieurs decennies j'en suis sur on reconnaitra enfin le talent et le genie incontestable et unique de prince, et surtout on arretera de le comparer à d'autres artistes, car il est incomparable.
Il faut bien minimiser tout ce qui a ete ecrit et dit pendant la periode du procès de pedophilie intenté à jackson, manoeuvre et compagnie en cassant du sucre sur son meilleur ennemi qui n'en etait pas un, veulent faire oublier les dires qu'ils ont prononcés à l'epoque sur jackson, c'est le coté opportuniste de ces pseudos journalistes.
On sera plus là mais dans plusieurs decennies j'en suis sur on reconnaitra enfin le talent et le genie incontestable et unique de prince, et surtout on arretera de le comparer à d'autres artistes, car il est incomparable.
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Moi quand je lis ce genre d'article, cela me fait bien plaisir car je n'aime pas partager Prince et je rigole de voir ces ignares tenter de pondre leur billet pour une maigre pitance. Et comme je n'ai jamais fait cas ou accorder de crédibilités à la piètre race de journalistes qui nous entourent et bien je suis rassuré. Qu'ils continuent à le juger, je m'en tape l'oignon car moi Prince il me fait encore vibrer il n'y a que ça de vrai.
The truth
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Montreux 2013
Tu fais des centaines de kilomètres, tu achètes des places de concerts à des prix astronomiques pour un artiste soit disant " en chute libre ".bhanlarouge a écrit :En même temps c'est pas faux, ce que raconte ce journaliste (je vais pas me faire des copains LOL).missjay23 a écrit :8O :evil:sexymailletf a écrit :Voilà l'article que l'on trouvera dans le magazine Les Inrockuptibles à paraître le 8 septembre prochain et la journaliste n'y va pas avec le dos de la cuillère !!! Déjà elle place l'album LotusFlow3r en 25è création du maître ... Enfin de bien grands mots pour un article de basse qualité :
"Plus souvent rincé que princier: le vingt cinquième album d un artiste en chute libre.
A l'origine, ce vingt-cinquieme album officiel de l'artiste précédemment connu comme talentueux n'était distribué, au printemps dernier, que sur le net et dans une chaine de grandes surfaces a prix cassé des Etats-Unis. Du disco hard au hard-discount, de leader d'opinion à Leader Price, la dégringolade de Prince ne rend pas heureux : on ne se rejouit pas de l'hébétude, de l'impotence d un type capable d avoir troussé, fripon, quelques-unes des meilleurs raisons de danser dans les années 80.
Aujourd'hui recupéré par un label francais, Prince en appelle sur cet album à la nostalgie, en alignant une série d'électro-funks rutilants, qui feraient presque illusion si heureusement il y avait une âme et un sexe derrière ces exercices de style. Sa pochette digne de ces peintures aérographes infectes que des gros barbus mystiques imposent au capot de leur Citroën (généralement, des loups ou des indiens aux yeux mi-clos), est à la hauteur de la plupart des chansons : ringardes, navrantes.
Ainsi, le vraiment risible et insipide Chocolate Box, autotuné jusqu'à l'absence, dont le rap mou et frigide, aux métaphores burlesques malgré elles, est à peu près aussi sexy qu'un striptease M6 - tout en refourgant, à usage unique des souvenirs émus, le beat exact de When Doves Cry.
Ainsi U're Gonna C Me, balade poissarde et poisseuse qu' on ne souhaiterait même pas à Fleetwood Mac. Ce qui rend encore plus triste les petits sommets agités de cet album, comme le léger et charnel Valentina, un tube énorme dans un monde juste (80's); ou le tropical Ol'Skool Company, merveille qui aurait fait fureur sur la Mode Flashdance.
Pour le reste, pour cette impression dérangeante de contrefaçon, de comédie, interrogeons-nous sur la conversion de Prince, à l 'aube du siècle, aux dogmes fondamentalistes : a-t-on jamais vu un témoin de jéhovah sexy, sensuel, lubrique ? Car aujourd'hui, tout ce qu'il incarnait à ses grandes heures, Prince le mime, le surjoue, pour les besoins de son film : une panoplie de pervers et de paillard comme d'autres enfilent un bleu de chauffe pour aller au turbin.
Les temoins de jéhovah considèrent les autres religions comme l'oeuvre de satan, (principal promoteur du faux culte). En mille gémissements, feulements, râles et laborieuses allégories sexuelles, tous simulés avec la grâce d'une actrice porno de série Z, Prince, lui, assure la promotion du faux culte." - Lucie Dunois.
C'est du masochisme, ça, non ?
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odrade
"Moi quand je lis ce genre d'article, cela me fait bien plaisir car je n'aime pas partager Prince et je rigole de voir ces ignares tenter de pondre leur billet pour une maigre pitance. Et comme je n'ai jamais fait cas ou accorder de crédibilités à la piètre race de journalistes qui nous entourent et bien je suis rassuré. Qu'ils continuent à le juger, je m'en tape l'oignon car moi Prince il me fait encore vibrer il n'y a que ça de vrai."
^ Bien d'accord avec toi !!! Prince me fait vibrer comme avant : je viens de trouver l'Oakland 2002 et je dansais encore sur ma chaise ( :lol: ).
De plus mélanger la religion à un art n'a rien à voir ensemble (l'artiste peut s'en servir pour créer, d'accord aussi)... enfin c'est un peu le mélange qui se fait assez facilement actuellement (et gratuitement par dessus tout) pour éviter de montrer son ignorance sur un artiste.
"Moi quand je lis ce genre d'article, cela me fait bien plaisir car je n'aime pas partager Prince et je rigole de voir ces ignares tenter de pondre leur billet pour une maigre pitance. Et comme je n'ai jamais fait cas ou accorder de crédibilités à la piètre race de journalistes qui nous entourent et bien je suis rassuré. Qu'ils continuent à le juger, je m'en tape l'oignon car moi Prince il me fait encore vibrer il n'y a que ça de vrai."
^ Bien d'accord avec toi !!! Prince me fait vibrer comme avant : je viens de trouver l'Oakland 2002 et je dansais encore sur ma chaise ( :lol: ).
De plus mélanger la religion à un art n'a rien à voir ensemble (l'artiste peut s'en servir pour créer, d'accord aussi)... enfin c'est un peu le mélange qui se fait assez facilement actuellement (et gratuitement par dessus tout) pour éviter de montrer son ignorance sur un artiste.
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Qui est cette Lucie Dunois ?
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Oui voilà - Qui est cette Lucie Dunois ? (de Vincent2Paris) - elle a tout à fait le droit de pondre un article "j'aime ou je n'aime pas" sur Prince, mais ça ne lui permet pas d'être aussi négative. Elle compare vraiment Prince à une m****e des années 2000 (en comparaison des 80s qui n'est pas vraiment le sujet sur lequel elle s'est penchée et pourtant...). OK je comprends que MPLSoUND ne lui plaît pas du tout, mais à lire son article : Prince n'est plus rien !!! Je pense que là sont les limites.2gether a écrit :Dommage d'être si négatif... en donnant une opinion...
Attendez-vous à des déferlantes négatives et d'insultes sur Prince dans les prochaines années.sexymailletf a écrit :Oui voilà - Qui est cette Lucie Dunois ? (de Vincent2Paris) - elle a tout à fait le droit de pondre un article "j'aime ou je n'aime pas" sur Prince, mais ça ne lui permet pas d'être aussi négative. Elle compare vraiment Prince à une m****e des années 2000 (en comparaison des 80s qui n'est pas vraiment le sujet sur lequel elle s'est penchée et pourtant...). OK je comprends que MPLSoUND ne lui plaît pas du tout, mais à lire son article : Prince n'est plus rien !!! Je pense que là sont les limites.2gether a écrit :Dommage d'être si négatif... en donnant une opinion...
Mais combien de fois avons-nous lu ce type d'articles ces 25 dernières années ?
Le monde médiatique est profondément malade.
L'énorme problème avec Prince et les medias, c'est que je ne vois pas un journaliste non-fan faire l'effort aujourd'hui de se coltiner toute la discographie pour un tant soit peu connaître l'artiste et son oeuvre (je ne parle même pas de se déplacer pour le voir Live). On tombe donc inévitablement, même dissimulés sous des dorures stylistiques, dans les clichés et les facilités les plus minables.
Melle à la noix, vous êtes très bien chez les inrocks.
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OK zbouille, je ne demande pas à ce que les journalistes lèchent les bottes du Prince; mais là c'est carrément une descente en flèche.zbouille a écrit :L'énorme problème avec Prince et les medias, c'est que je ne vois pas un journaliste non-fan faire l'effort aujourd'hui de se coltiner toute la discographie pour un tant soit peu connaître l'artiste et son oeuvre (je ne parle même pas de se déplacer pour le voir Live). On tombe donc inévitablement, même dissimulés sous des dorures stylistiques, dans les clichés et les facilités les plus minables.
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Et puis, c'est encore une comparaison d'un personnage des 80s à celui de maintenant... donc pas de suivi dans la carrière de l'artiste; et ça c'est navrant car à mon avis (bien perso) tout journaliste qui ne connait pas son sujet n'a pas à écrire; ou alors fait un article sans avis méga-perso négatif...
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La presse musicale aujourd'hui, n'est ce pas de plus en plus des aspirants écrivains ratés, non musiciens, qui parlent de disques qu'ils n'ont (souvent) pas écoutés, avec le maximum de figures littéraires très lourdes et indigestes ?
La presse musicale aujourd'hui, n'est ce pas assurément plus des passionnés de musique, qui seraient là pour faire le boulot (si tant est que suivre la carrière d'un artiste avec son coeur et ses oreilles, ou au pire lire sa bio wikipédia sur demande pour une pige, soit un travail d'usine) et partager un savoir avec des lecteurs non spécialistes.
Non... Passez votre chemin, la presse musicale est morte avec la naissance d'Internet, de Myspace, de Wikipedia, des forums et des blogs !
J'ajouterais qu'il faut un sacré culot pour titrer "un prince déchu" quand on est aussi insignifiant que Lucie Des Noix.
La presse musicale aujourd'hui, n'est ce pas assurément plus des passionnés de musique, qui seraient là pour faire le boulot (si tant est que suivre la carrière d'un artiste avec son coeur et ses oreilles, ou au pire lire sa bio wikipédia sur demande pour une pige, soit un travail d'usine) et partager un savoir avec des lecteurs non spécialistes.
Non... Passez votre chemin, la presse musicale est morte avec la naissance d'Internet, de Myspace, de Wikipedia, des forums et des blogs !
J'ajouterais qu'il faut un sacré culot pour titrer "un prince déchu" quand on est aussi insignifiant que Lucie Des Noix.
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^ Oh oui elle a des couilles la Lucie de titrer son article ainsi alors que ses arguments sont loin d'être convainquant... et pourtant qui peuvent faire effet (pas chez tout le monde bien-sûr) mais la plupart des lecteurs ne vont pas aller plus loin...
Tu sais V2P, j'ai déjà entendu : "Prince... Mais c'est qui ce mec ?"
Tu sais V2P, j'ai déjà entendu : "Prince... Mais c'est qui ce mec ?"
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En même temps, l'album intéressant et plutôt réussi, c'était Lotusflow3r... Quelle idiotie -une de plus !- de sortir le fadasse Mnplsound, un CD sans prétention, surtout destiné aux vieux fans des sons des années 80...
Maintenant, il semble que la mort de MJ suscite encore plus l'envie de dégommer Prince !... 8O
Il faut se rappeler pour être juste, que la dernière critique d'album des Inrocks concernant Prince était positive, mais il s'agissait de 3121. Un album autrement mieux fichu que ce Mnplsound... :roll:
Maintenant, il semble que la mort de MJ suscite encore plus l'envie de dégommer Prince !... 8O
Il faut se rappeler pour être juste, que la dernière critique d'album des Inrocks concernant Prince était positive, mais il s'agissait de 3121. Un album autrement mieux fichu que ce Mnplsound... :roll:
Mais on s'en branle de ces pisse-vinaigre, pour pouvoir apprécier encore le génie Princier il ne faut plus se baser sur sa production discographique actuelle mais digérer son oeuvre dans sa globalité ou pour ceux qui ont les moyens aller le voir sur scène
J'ai pas besoin d'un critique pour savoir ce que je dois écouter, voir ou lire mais lorsque son avis est bien écrit et documenté j'aime bien confronter mon ressenti au sien.
Je ne vois pas l'intérêt de faire une pleine plage pour descendre un artiste, surtout que ça ne parle pas beaucoup de musique ('le tropical Ol' Skool Company') je sens même que cette femme a pris un grand pied de se faire un grand nom de la musique alors que le Kid, au contraire de ses fans, n'aura jamais connaissance de cet article
J'ai pas besoin d'un critique pour savoir ce que je dois écouter, voir ou lire mais lorsque son avis est bien écrit et documenté j'aime bien confronter mon ressenti au sien.
Je ne vois pas l'intérêt de faire une pleine plage pour descendre un artiste, surtout que ça ne parle pas beaucoup de musique ('le tropical Ol' Skool Company') je sens même que cette femme a pris un grand pied de se faire un grand nom de la musique alors que le Kid, au contraire de ses fans, n'aura jamais connaissance de cet article
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Entièrement d'accord, j'ai connu John Coltrane, M!les Davis ou encore Herbie Hancock... entre autres par un ami et il ne m'a rien dit... si, si... juste "écoute" et là mes avis étaient tous fait par mon propre avis.kickit a écrit :Mais on s'en branle de ces pisse-vinaigre, pour pouvoir apprécier encore le génie Princier il ne faut plus se baser sur sa production discographique actuelle mais digérer son oeuvre dans sa globalité ou pour ceux qui ont les moyens aller le voir sur scène
J'ai pas besoin d'un critique pour savoir ce que je dois écouter, voir ou lire mais lorsque son avis est bien écrit et documenté j'aime bien confronter mon ressenti au sien.
Je ne vois pas l'intérêt de faire une pleine plage pour descendre un artiste, surtout que ça ne parle pas beaucoup de musique ('le tropical Ol' Skool Company') je sens même que cette femme a pris un grand pied de se faire un grand nom de la musique alors que le Kid, au contraire de ses fans, n'aura jamais connaissance de cet article
Prince, ça a été pareil ! Je l'ai connu grâce au broadcast du Syracuse 85 et là je me suis dit : "Lumière"... donc pas besoin de ces personnes, mais je trouve que je suis un peu altruiste et je pense à ceux qui vont lire ça mardi prochain !!!
Ce n'est pas forcément de la bonne pub (même si on considère qu'il n'en a pas besoin) pour notre cher Prince... et puis pour aller plus loin (et pour envenimer le sujet) pour la vente d'albums... Et oui on prône la vente officiel... mais on ne peut pas aller plus loin avec ce genre d'article.
Bref... une chose qui est sûr c'est que je me paierai le MPLSoUND/LotusFlow3r en simple CD pour la pièce (et plus si affinité) !!!
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"le tropical Ol'skool company"? N'importe quoi! Elle a écouté le disque?
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ba on va lui casser la gu**** à cette journaliste !!
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+1 , on a l impression qu elle parle d' un gars qui sort de la star ac . on dirait de la provocation , elle doit regler ses comptes avec quelqu' un , je vois que ça. on aime ou on aime pas mais ses comparaisons sont nul.FunkySteff a écrit :ba on va lui casser la gu**** à cette journaliste !!
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Journal du Dimanche 6 sept
"S'il demeure une authentique bête de scène - voir ses récents concerts à Monaco et Montreux - P représente en revanche tous les symptômes d'un artiste en sérieuse panne d'inspiration. Ce nouvel album, mis en ligne l'année dernière sur son site internet, succède à une série de disques presque anecdotiques au regard de son oeuvre passée. Au menu, neuf chansons enregistrées au cours des sessions de 2006 (3121). Rien de bien nouveau, de très novateur, beaucoup de redites funk-rock daté et ballades souvent sirupeuses, chantées d'une voix triturées au vocoder. On retiendra trois titres réussis: Dance 4 Me, Valentina, Ol'Skool Company. Le Kid de Minneapolis retrouve alors une créativité et un feeling conforme à son statut."
Mouai, comme d'hab. Pas complètement faux, pas complètement très fin non plus. Par contre, 16€ pour 9 titres, ça fait un peu cher quand même!
Tb1
"S'il demeure une authentique bête de scène - voir ses récents concerts à Monaco et Montreux - P représente en revanche tous les symptômes d'un artiste en sérieuse panne d'inspiration. Ce nouvel album, mis en ligne l'année dernière sur son site internet, succède à une série de disques presque anecdotiques au regard de son oeuvre passée. Au menu, neuf chansons enregistrées au cours des sessions de 2006 (3121). Rien de bien nouveau, de très novateur, beaucoup de redites funk-rock daté et ballades souvent sirupeuses, chantées d'une voix triturées au vocoder. On retiendra trois titres réussis: Dance 4 Me, Valentina, Ol'Skool Company. Le Kid de Minneapolis retrouve alors une créativité et un feeling conforme à son statut."
Mouai, comme d'hab. Pas complètement faux, pas complètement très fin non plus. Par contre, 16€ pour 9 titres, ça fait un peu cher quand même!
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Une critique plus objective et pas un règlement de compte . J'appréciethebeautifu1one a écrit :Journal du Dimanche 6 sept
"S'il demeure une authentique bête de scène - voir ses récents concerts à Monaco et Montreux - P représente en revanche tous les symptômes d'un artiste en sérieuse panne d'inspiration. Ce nouvel album, mis en ligne l'année dernière sur son site internet, succède à une série de disques presque anecdotiques au regard de son oeuvre passée. Au menu, neuf chansons enregistrées au cours des sessions de 2006 (3121). Rien de bien nouveau, de très novateur, beaucoup de redites funk-rock daté et ballades souvent sirupeuses, chantées d'une voix triturées au vocoder. On retiendra trois titres réussis: Dance 4 Me, Valentina, Ol'Skool Company. Le Kid de Minneapolis retrouve alors une créativité et un feeling conforme à son statut."
Mouai, comme d'hab. Pas complètement faux, pas complètement très fin non plus. Par contre, 16€ pour 9 titres, ça fait un peu cher quand même!
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c'est une critique de MPLsound non ? les critiques de LotusFlower ont déjà été faite ?
et y'a t'il eu des critiques de l'ensemble des 2 albums réunis ?
et y'a t'il eu des critiques de l'ensemble des 2 albums réunis ?
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+ 1odrade a écrit :
Une critique plus objective et pas un règlement de compte . J'apprécie
J'aurais pu écrire quasiment la même chose...
Mais qui a osé sortir ce CD au lieu de Lotusflow3r !!!??? :evil:
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Un article dans France Soir, truffé d'erreurs mais mieux torché et renseigné que celui des Inrocks (c'est facile en même temps ).
http://www.francesoir.fr/musique/2009/0 ... rince.html
http://www.francesoir.fr/musique/2009/0 ... rince.html
Truffé d'erreurs est un euphémisme!Vincent2Paris a écrit :Un article dans France Soir, truffé d'erreurs mais mieux torché et renseigné que celui des Inrocks (c'est facile en même temps ).
http://www.francesoir.fr/musique/2009/0 ... rince.html
Même pas capable de bien recopier un dossier de presse :evil:
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entendu ce matin 8h30 sur france info : annonce de la sortie des nouveaux albums : MPLSound et lotus flow3r, avec extrait de "feel better, feel good..."
rappel de sa carrière depuis les 90's et son changement de nom , les différents choix de promotion de ses albums depuis ( via le net, ou donné avec les billets de concerts etc.)
( je cite de mémoire )MPLSound : album r'n'b "expérimentale" avec 3 , 4 grosses sucreries
ELIXER : l'album de la nouvelle protégé dont il apprécie la voix , et pas seulement la voix semble t il (petit extrait d'un des titres que je n'ai pas reconnu , vu que je n'ai écouté cette album qu'1 fois...)
LOTUS FLOW3R : l'album de loin le plus équilibré des 3 , à tendance pop rock...
bon, je ne me souviens pas de tout ce qu'elle a dit mais mon impression générale à la fin de la chronique, était qu'elle ne s'était pas trop mouillée sur la critique et avait fait une bonne présentation et laissé une bonne impression sur P. et sa nouvelle production... voili voilou !
ps: j'en profite que je n'écris pas très souvent ici, pour remercier tous ceux et toutes celles qui laissent des liens pour récupérer des boots , images , et vidéos de little big P., ainsi que tous les reportages sur les concerts, qui me soulagent , au moins un peu, de ne pas pouvoir y assister par manque de moyens ... MERCIs !!!
rappel de sa carrière depuis les 90's et son changement de nom , les différents choix de promotion de ses albums depuis ( via le net, ou donné avec les billets de concerts etc.)
( je cite de mémoire )MPLSound : album r'n'b "expérimentale" avec 3 , 4 grosses sucreries
ELIXER : l'album de la nouvelle protégé dont il apprécie la voix , et pas seulement la voix semble t il (petit extrait d'un des titres que je n'ai pas reconnu , vu que je n'ai écouté cette album qu'1 fois...)
LOTUS FLOW3R : l'album de loin le plus équilibré des 3 , à tendance pop rock...
bon, je ne me souviens pas de tout ce qu'elle a dit mais mon impression générale à la fin de la chronique, était qu'elle ne s'était pas trop mouillée sur la critique et avait fait une bonne présentation et laissé une bonne impression sur P. et sa nouvelle production... voili voilou !
ps: j'en profite que je n'écris pas très souvent ici, pour remercier tous ceux et toutes celles qui laissent des liens pour récupérer des boots , images , et vidéos de little big P., ainsi que tous les reportages sur les concerts, qui me soulagent , au moins un peu, de ne pas pouvoir y assister par manque de moyens ... MERCIs !!!
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- Scandalous
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Gros article ce matin dans Ouest-France.
Le journaliste n'est (forcément) pas tendre avec LotusFlow3r, surtout en rappelant que des albums comme Purple Rain, Sign'O'The Times et Love Symbol ont marqué leur époque.
Bria en prend aussi pour son grade. ^^
Le journaliste n'est (forcément) pas tendre avec LotusFlow3r, surtout en rappelant que des albums comme Purple Rain, Sign'O'The Times et Love Symbol ont marqué leur époque.
Bria en prend aussi pour son grade. ^^
Snoop Scratchy Scratch engage la crème de la scène rap new-yorkaise : White MC Wammy, Knock Dumb Dumb Hunter, et le DJ des Would It Fuck My Sister. La production est signée par la méga-star du gangsta rap, Jabbur MC Touchy Touch.
MC WARRIORS 4 LIFE
MC WARRIORS 4 LIFE
On est pas sorti de la purple auberge si les "journalistes" comparent à chaque fois les nouveaux opus avec ceux de l'âge d'or... cela dit cela semble inévitable.Scandalous a écrit :Gros article ce matin dans Ouest-France.
Le journaliste n'est (forcément) pas tendre avec LotusFlow3r, surtout en rappelant que des albums comme Purple Rain, Sign'O'The Times et Love Symbol ont marqué leur époque.
Bria en prend aussi pour son grade. ^^
Et sinon, des bons points quand même dans cet article Scandalous?
Allez, un truc sympa sur Colonized mind au moins...?
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Prince revient aux affaires comme une fleur fanéeScandalous a écrit :Gros article ce matin dans Ouest-France.
Le journaliste n'est (forcément) pas tendre avec LotusFlow3r, surtout en rappelant que des albums comme Purple Rain, Sign'O'The Times et Love Symbol ont marqué leur époque.
Bria en prend aussi pour son grade. ^^
Reuters
Prince sur scène, ici en 2008, reste un moment à ne pas rater : Reuters
Son Lotus Flow3r signe un retour ambitieux, sous la forme d'un triple album. Du Prince classique, pas à la hauteur du compositeur de génie qui a donné le ton dans les années 1980.
Prince pourra-t-il être la star de l'automne ? Le délire entourant la mort de Michael Jackson n'est pas encore retombé, réalimenté par un enterrement orchestré deux mois après le décès et par quelques « flash mob », ces chorégraphies plus ou moins spontanées réalisées par des anonymes dans des lieux publics du monde entier. Son frère ennemi, qui lui a longtemps contesté la couronne de roi de la pop, montre qu'il bouge toujours. Et pour le démontrer, il sort un triple album, rien que ça.
Manque d'âme
Difficile de résumer en quelques lignes le parcours de ce génie. Pour résumer un peu plus de trente ans de carrière, Prince a sorti une trentaine d'albums, frôlant la moyenne hallucinante d'un disque par an. La légende lui prête une sorte de « trouble obsessionnel compulsif » de la composition, avec une montagne de titres prêts d'avance.
Plus que dans la quantité, c'est dans les trouvailles mélodiques et d'arrangements que s'exprime le talent de cet autre amateur de talonnettes. Où en est-il aujourd'hui ? Un peu au même niveau, moyen, comme depuis quinze ans.
Le triptyque propose trois projets autonomes. Le premier, Elixir, apporte une information essentielle : le kid de Minneapolis s'est trouvé une nouvelle égérie. Elle s'appelle Bria Valente, a un regard profond... Et une voix taillée sur mesure pour des mièvreries sirupeuses R'n'B. Outre ce constat, inutile de s'attarder sur le sujet, vraiment sans intérêt. Tout comme cette première galette. A tel point qu'on se demande comment elle a pu atterrir dans un album de Prince.
Plus consistants, les deux autres disques, Lotus Flow3r et MPL Sound, présentent deux facettes connues de l'artiste. Guitares devant, Lotus Flow3r s'appuie sur le toucher de son auteur. Variant les effets, Prince distribue une belle série de ballades. Mais l'ensemble manque d'âme. Il est à peine réveillé par le funk tonitruant de Feel Better, Feel Good, Feel Wonderfull, mené tambour battant, et quelques rocks.
Quant à MPL Sound, le plus généreux des trois CD, il rejoue le funk intransigeant et inspiré imprimé par Prince. Bien mis sur les rails par (There'll Never B) Another Like Me ¯ en français : (il n'y aura jamais) personne comme moi ¯ titre qu'on ne saurait démentir, il poursuit sur sa lancée. Problème : la recette était avant-gardiste il y a vingt ans. On attend d'être scotché au plafond, mais on garde les pieds bien collés au sol. Prince semble avoir perdu le fil. Il a brutalement cessé de nous surprendre. Dommage. Maigre consolation pour les fans, la scène est devenue le dernier refuge de la star. L'endroit où il ne faut la rater sous aucun prétexte.
Josué JEAN-BART.
Enfin un article intelligent :
http://musique.sfr.fr/mag/prince/chroni ... tus-flow3r
C’est le retour du Kid éternel de Minneapolis, sans doute le plus grand performer vivant de la blackitude agitée, avec la sortie de ce nouveau CD en version triple, un trip en trois dimensions où Son Altesse Pourpre se décline successivement en monarque funk (MPL Sound), en suzerain du blues (Lotus Flow3r) puis en éternel pygmalion (Elixir, l’album de sa dernière protégée Bria Valente). Décryptage princier par l'un des spécialistes de l'artiste, l'un des premiers journalistes français à l'avoir suivi depuis ses débuts….
Il signe là son trentième album studio en trente ans de carrière et pourtant, Prince Roger Nelson, le surdoué de Minneapolis, reste à jamais le Kid, un p’tit gars, comme le disait si bien Gainsbourg, malgré ses 51 printemps. Même les gamins géniaux peuvent passer l’arme à gauche, la triste preuve avec Jackson ! Souvenez-vous... De longues années, Prince et le King of pop Michael Jackson se sont affrontés aussi bien sur scène que sur disque. Purple Rain et Thriller se partageaient alors notre monde sonique, à l’instar des Beatles et des Stones de jadis. King of Pop vs Prince. Finalement, ce dernier avait fini par remporter la dernière manche de cette joute de funk brothers, aussi titanesque que fratricide, en jouant 21 shows d’affilée pour inaugurer le O2 Arena de Londres, ce stade de 18 000 places édifié par le promoteur AEG… où justement Michael devait en donner 31 (puis 50 !), pour pulvériser le record de Prince. Hélas, les drogues et la cupidité des hommes ont précipité l’épilogue de ce tournoi et, désormais, le "love symbol" reste seul en lice. Et c’est tout un symbole, justement.
Car Prince n’aurait jamais pu émerger ailleurs qu’à Minneapolis, Minnesota, cette ville jumelle de Saint-Paul qui a vu grandir Dylan et où les très rudes conditions nordiques ont perpétué l’esprit pionnier du partage. Le fameux "cross-over" de Prince est né dans ces passerelles qui relient les buildings du centre-ville par leur premier étage, ces passages étroits où les gens, noirs, blancs, mexicains, irlandais ou polonais sont bien forcés de se croiser lorsqu’il fait 30 degrés en dessous de zéro. Comme au fameux club du First Avenue, bien connu grâce au film Purple Rain. Dans cette ancienne caserne de pompiers reconvertie en club de rock, les groupes de funk étaient toujours les bienvenus. La fusion funk-rock de Prince s’est nourrie de tous ces métissages. Comme si sa musique avait puisé aux sources de la black music de Little Richard (pour la voix haute et la préciosité), de James Brown (pour la présence et la dextérité scénique), de George Clinton (pour le génie funky) et de Stevie Wonder (pour le rare talent de savoir composer seul, arranger, interpréter, jouer et produire).
Mais Prince est un personnage bien plus large qu’une simple addition mathématique. Et son extraordinaire succès planétaire éclipsera, heureusement, sa toute première performance en France au tournant des 80’s face à 222 spectateurs éberlués qui le découvrent avec son slibard en cuir sexy, ses bas résilles et son maxi manteau d’exhibo ! Après ce concert légendaire du Palace, Prince m’avait confirmé que son enfance troublée et que ses rapports chaotiques avec son père avaient aussi durablement marqué sa musique. Pourtant, bien avant les gros riffs rock d’Eddy Van Halen sur Thriller, Prince avait été le tout premier à oser percuter frontalement le rock blanc et le funk ébène.
Après le raz-de-marée Purple Rain, notre Kid achèvera d’imposer son hégémonie planétaire avec ses tournées où, chaque soir, il parvint, au cours de spectaculaires shows marathons, à subjuguer un public survolté. Sur scène, Prince offre un spectacle rare, une totale déflagration d’énergie comme seuls savent la générer les plus grands : Elvis, James, Fela, Stevie, Marvin, Ray ou Michael, des héros que l’on peut compter sur les doigts de la main. Mais dés son second album, Prince en 79, à tout juste 21 ans, il impose ce que Stevie Wonder, Marvin Gaye et Michael Jackson auront mis des années et des années à obtenir après bien des combats : une totale indépendance artistique.
Son Altesse Pourpre édifie alors son royaume de Paisley Park, à la fois bureaux de sa compagnie mais aussi studio d’enregistrement, de répétitions et atelier de confection de ses costumes de scène. Avec son entrée surmontée d’une pyramide pourpre, le complexe situé à Chanhaussen dans la banlieue de Minneapolis était aussi doté d’un sound stage vaste comme une cathédrale où Prince pouvait à loisir tourner ses clips et répéter ses shows. Et sur son label Paisley Park, qui publie alors sous la bannière Warner ses propres albums, il va éditer les projets de ses courtisanes les plus douées, de Vanity 6 à Jill Jones en passant par Sheila E. ou Taja Sevelle, de ses vieux complices comme The Time, la formation de Jimmy Jam et de Terry Lewis ou de ses héros, à l’instar de George Clinton ou de Mavis Staples.
Hélas, entre sa guérilla perpétuelle avec Warner – le Kid se fera même photographier avec le mot "slave" (esclave) inscrit sur son front -, sa gestion approximative et aussi, il faut bien l’admettre, la crise du disque, la multi Prince s’écroule. Toutefois, le roi ne se retrouve pas complètement nu. Prince sait qu’il peut compter sur son talent pour rebondir inlassablement. Il n’a jamais cessé de tourner ni de produire et il passe le cap du troisième millénaire. Aujourd’hui, il ose même à nouveau jouer les talent scouts avec la brune ténébreuse Bria Valente dont l’album Elixir, produit par qui vous savez, figure dans son dernier triple album.
Jazzy et funky, pop et sensuelle, originaire de Minneapolis, Brenda Fuentes avait 17 ans lorsqu’ elle a rencontré le Kid. Ce premier CD, dans la pure lignée des girls de Prince, flirte avec fraîcheur et naïveté du côté de la pop R&B. Quant aux deux albums de notre altesse princière, s’ils ne sont pas aussi géniaux que ceux d’antan, ils restent indubitablement les fruits d’un authentique et solide génie du rythme qui se révèle à travers ses deux facettes. Tout d’abord, Lotus Flow3r, avec ses hommages appuyés à Hendrix ou Santana et son blues-rock incisif, exacerbe son côté pistolero et virtuose de guitar hero. Car, pour ceux qui auraient été tentés de l’oublier, ce petit géant est aussi un instrumentiste prodigue. Et il le prouve !
L’autre visage du Kid s’exprime dans la pulsion funk de MPL Sound, plus proche de son prédécesseur Planet Earth. Il nous entraîne direct dans le combat funk musclé de (There’ll Never B) Another Like Me dont le titre auto-promo prend ici un tout autre sens depuis le départ définitif de Michael. Mais Prince sait aussi se faire crooner charmeur implacable et il le prouve avec ses irrésistibles balades aériennes qui coulent tel le chocolat sur les profiteroles. U’re Gonna C Me, Here et surtout Better With Time laissent ce goût de cacao sur les lèvres. Et c’est sans doute encore, me direz- vous, un fait du Prince…
http://musique.sfr.fr/mag/prince/chroni ... tus-flow3r
C’est le retour du Kid éternel de Minneapolis, sans doute le plus grand performer vivant de la blackitude agitée, avec la sortie de ce nouveau CD en version triple, un trip en trois dimensions où Son Altesse Pourpre se décline successivement en monarque funk (MPL Sound), en suzerain du blues (Lotus Flow3r) puis en éternel pygmalion (Elixir, l’album de sa dernière protégée Bria Valente). Décryptage princier par l'un des spécialistes de l'artiste, l'un des premiers journalistes français à l'avoir suivi depuis ses débuts….
Il signe là son trentième album studio en trente ans de carrière et pourtant, Prince Roger Nelson, le surdoué de Minneapolis, reste à jamais le Kid, un p’tit gars, comme le disait si bien Gainsbourg, malgré ses 51 printemps. Même les gamins géniaux peuvent passer l’arme à gauche, la triste preuve avec Jackson ! Souvenez-vous... De longues années, Prince et le King of pop Michael Jackson se sont affrontés aussi bien sur scène que sur disque. Purple Rain et Thriller se partageaient alors notre monde sonique, à l’instar des Beatles et des Stones de jadis. King of Pop vs Prince. Finalement, ce dernier avait fini par remporter la dernière manche de cette joute de funk brothers, aussi titanesque que fratricide, en jouant 21 shows d’affilée pour inaugurer le O2 Arena de Londres, ce stade de 18 000 places édifié par le promoteur AEG… où justement Michael devait en donner 31 (puis 50 !), pour pulvériser le record de Prince. Hélas, les drogues et la cupidité des hommes ont précipité l’épilogue de ce tournoi et, désormais, le "love symbol" reste seul en lice. Et c’est tout un symbole, justement.
Car Prince n’aurait jamais pu émerger ailleurs qu’à Minneapolis, Minnesota, cette ville jumelle de Saint-Paul qui a vu grandir Dylan et où les très rudes conditions nordiques ont perpétué l’esprit pionnier du partage. Le fameux "cross-over" de Prince est né dans ces passerelles qui relient les buildings du centre-ville par leur premier étage, ces passages étroits où les gens, noirs, blancs, mexicains, irlandais ou polonais sont bien forcés de se croiser lorsqu’il fait 30 degrés en dessous de zéro. Comme au fameux club du First Avenue, bien connu grâce au film Purple Rain. Dans cette ancienne caserne de pompiers reconvertie en club de rock, les groupes de funk étaient toujours les bienvenus. La fusion funk-rock de Prince s’est nourrie de tous ces métissages. Comme si sa musique avait puisé aux sources de la black music de Little Richard (pour la voix haute et la préciosité), de James Brown (pour la présence et la dextérité scénique), de George Clinton (pour le génie funky) et de Stevie Wonder (pour le rare talent de savoir composer seul, arranger, interpréter, jouer et produire).
Mais Prince est un personnage bien plus large qu’une simple addition mathématique. Et son extraordinaire succès planétaire éclipsera, heureusement, sa toute première performance en France au tournant des 80’s face à 222 spectateurs éberlués qui le découvrent avec son slibard en cuir sexy, ses bas résilles et son maxi manteau d’exhibo ! Après ce concert légendaire du Palace, Prince m’avait confirmé que son enfance troublée et que ses rapports chaotiques avec son père avaient aussi durablement marqué sa musique. Pourtant, bien avant les gros riffs rock d’Eddy Van Halen sur Thriller, Prince avait été le tout premier à oser percuter frontalement le rock blanc et le funk ébène.
Après le raz-de-marée Purple Rain, notre Kid achèvera d’imposer son hégémonie planétaire avec ses tournées où, chaque soir, il parvint, au cours de spectaculaires shows marathons, à subjuguer un public survolté. Sur scène, Prince offre un spectacle rare, une totale déflagration d’énergie comme seuls savent la générer les plus grands : Elvis, James, Fela, Stevie, Marvin, Ray ou Michael, des héros que l’on peut compter sur les doigts de la main. Mais dés son second album, Prince en 79, à tout juste 21 ans, il impose ce que Stevie Wonder, Marvin Gaye et Michael Jackson auront mis des années et des années à obtenir après bien des combats : une totale indépendance artistique.
Son Altesse Pourpre édifie alors son royaume de Paisley Park, à la fois bureaux de sa compagnie mais aussi studio d’enregistrement, de répétitions et atelier de confection de ses costumes de scène. Avec son entrée surmontée d’une pyramide pourpre, le complexe situé à Chanhaussen dans la banlieue de Minneapolis était aussi doté d’un sound stage vaste comme une cathédrale où Prince pouvait à loisir tourner ses clips et répéter ses shows. Et sur son label Paisley Park, qui publie alors sous la bannière Warner ses propres albums, il va éditer les projets de ses courtisanes les plus douées, de Vanity 6 à Jill Jones en passant par Sheila E. ou Taja Sevelle, de ses vieux complices comme The Time, la formation de Jimmy Jam et de Terry Lewis ou de ses héros, à l’instar de George Clinton ou de Mavis Staples.
Hélas, entre sa guérilla perpétuelle avec Warner – le Kid se fera même photographier avec le mot "slave" (esclave) inscrit sur son front -, sa gestion approximative et aussi, il faut bien l’admettre, la crise du disque, la multi Prince s’écroule. Toutefois, le roi ne se retrouve pas complètement nu. Prince sait qu’il peut compter sur son talent pour rebondir inlassablement. Il n’a jamais cessé de tourner ni de produire et il passe le cap du troisième millénaire. Aujourd’hui, il ose même à nouveau jouer les talent scouts avec la brune ténébreuse Bria Valente dont l’album Elixir, produit par qui vous savez, figure dans son dernier triple album.
Jazzy et funky, pop et sensuelle, originaire de Minneapolis, Brenda Fuentes avait 17 ans lorsqu’ elle a rencontré le Kid. Ce premier CD, dans la pure lignée des girls de Prince, flirte avec fraîcheur et naïveté du côté de la pop R&B. Quant aux deux albums de notre altesse princière, s’ils ne sont pas aussi géniaux que ceux d’antan, ils restent indubitablement les fruits d’un authentique et solide génie du rythme qui se révèle à travers ses deux facettes. Tout d’abord, Lotus Flow3r, avec ses hommages appuyés à Hendrix ou Santana et son blues-rock incisif, exacerbe son côté pistolero et virtuose de guitar hero. Car, pour ceux qui auraient été tentés de l’oublier, ce petit géant est aussi un instrumentiste prodigue. Et il le prouve !
L’autre visage du Kid s’exprime dans la pulsion funk de MPL Sound, plus proche de son prédécesseur Planet Earth. Il nous entraîne direct dans le combat funk musclé de (There’ll Never B) Another Like Me dont le titre auto-promo prend ici un tout autre sens depuis le départ définitif de Michael. Mais Prince sait aussi se faire crooner charmeur implacable et il le prouve avec ses irrésistibles balades aériennes qui coulent tel le chocolat sur les profiteroles. U’re Gonna C Me, Here et surtout Better With Time laissent ce goût de cacao sur les lèvres. Et c’est sans doute encore, me direz- vous, un fait du Prince…
- Scandalous
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Pour "compléter" le post de Tchoba, je précise que l'article de O.-F. s'accompagne de trois petites pastilles sur les disques que j'ai cités. Donc c'est sûr que le nouveau triple album, comparé à ces trois chef-d'oeuvres, relève du "moyen".
Mais comme le dit ma signature...!
Mais comme le dit ma signature...!
Snoop Scratchy Scratch engage la crème de la scène rap new-yorkaise : White MC Wammy, Knock Dumb Dumb Hunter, et le DJ des Would It Fuck My Sister. La production est signée par la méga-star du gangsta rap, Jabbur MC Touchy Touch.
MC WARRIORS 4 LIFE
MC WARRIORS 4 LIFE
Merci pour les articles!
Le dernier est plus agréable à lire et pas seulement parce qu'il est plus
élogieux.
Ce que je relève c'est que contrairement à ce que je lis ici, rares sont ceux qui s'épanchent sur des titres comme Colonized minds et $, deux des quelques morceaux massif ou tout simplement réussis de l'album.
Bon, trop à fond dedans aujourd'hui, direction sevrage now.
Le dernier est plus agréable à lire et pas seulement parce qu'il est plus
élogieux.
Ce que je relève c'est que contrairement à ce que je lis ici, rares sont ceux qui s'épanchent sur des titres comme Colonized minds et $, deux des quelques morceaux massif ou tout simplement réussis de l'album.
Bon, trop à fond dedans aujourd'hui, direction sevrage now.
- sexymailletf
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Bien vu et à ce propos, il ne devait pas y avoir un SFR show-case ces jours-ci ?VINNIE a écrit :Enfin un article intelligent :
http://musique.sfr.fr/mag/prince/chroni ... tus-flow3r
- reflection
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manu3121 a écrit :une connasse ... :lol:Vincent2Paris a écrit :Qui est cette Lucie Dunois ?
lucie Ducon?
" il a mis du beatles sur du funk, c'est ça la grande idée' bashung
- Rainbow
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pas dans la presse écrite mais cet article trouvé sur la toile (désolée si je me suis encore trompée d'endroit )
http://www.wormee.com/#/planet/editorial/954
:evil:
http://www.wormee.com/#/planet/editorial/954
:evil:
Malheureusement il y a parfois 1 peu de vrai dans tout çà surtout quand Prince s'autocaricature (cf MPLS)!!Rainbow a écrit :pas dans la presse écrite mais cet article trouvé sur la toile (désolée si je me suis encore trompée d'endroit )
http://www.wormee.com/#/planet/editorial/954
:evil:
Là, on est retombé dans la connerie. J'adore " Toujours pas le Roi de la Pop ".Rainbow a écrit :pas dans la presse écrite mais cet article trouvé sur la toile (désolée si je me suis encore trompée d'endroit )
http://www.wormee.com/#/planet/editorial/954
:evil:
C'est Manoeuvre qui a écrit ça, non ?
Quand j'entends parler de génie perdu et que j'écoute LotusFlow3R (je ne parle pas de MPLSound), quand je vois les prestations LIVE, je ne peux pas vraiment dire que Prince a perdu son génie.slimongi a écrit :Malheureusement il y a parfois 1 peu de vrai dans tout çà surtout quand Prince s'autocaricature (cf MPLS)!!Rainbow a écrit :pas dans la presse écrite mais cet article trouvé sur la toile (désolée si je me suis encore trompée d'endroit )
http://www.wormee.com/#/planet/editorial/954
:evil:
Désolé mais sa maîtrise sur scène est prodigieuse.
j'arrive peut être un peu après la bataille, mais :
http://www.lesinrocks.com/musique/musiq ... e-gamelle/
MPLs érienté par les inrocks aujourd'hui...
le pire c'est que tout ce qu'ils avancent est loin d'être faux...
'fin bon, moi j'aime bien chocolate box, pourtant
http://www.lesinrocks.com/musique/musiq ... e-gamelle/
MPLs érienté par les inrocks aujourd'hui...
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'fin bon, moi j'aime bien chocolate box, pourtant
- reflection
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y a que mlpssound de chroniqué, d'ou la déception légitime.
" il a mis du beatles sur du funk, c'est ça la grande idée' bashung
- Vincent2Paris
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C'est Libération et France Info qui taillent un costard aujourd'hui. :roll:
Libé: «Lotusflow3r» et bouquet fané
"Sur cet album, déjà sorti aux Etats-Unis chez Target, Prince est très en deçà de son talent, avec par exemple un Chocolate Box ridicule, une ballade r'n'b U're Gonna C Me qui suit péniblement le style de Maxwell, un de ses admirateurs, et un sautillant Dance With Me. Le funk (There'll Never B) Another Like Me en ouverture aurait pu être à la hauteur s'il n'y avait ce démarrage couinant déjà entendu mille fois..."
Prince, package premium
Prince sort, en France seulement, un pack collector... Prince Lotusflow3r, MPLSound, Bria Valente Elixir Edition limitée de 3 CD (Because) " Il n'y en aura jamais un autre comme moi ! ", chante Prince en ouverture de son vingt-cinquième album, MPLsound, sorti lundi... Prince ne vend plus beaucoup de disques mais, à la limite, ce n'est pas ce qu'il cherche le plus...>>
http://www.liberation.fr/recherche/?q=prince
quelqu'un pour faire un scan ? l'article est en accès payant sur le web
il y a deux articles.
France Info : Peut-on encore attendre quelque chose d’un album de Prince ?
http://www.france-info.com/spip.php?art ... _theme=122
Libé: «Lotusflow3r» et bouquet fané
"Sur cet album, déjà sorti aux Etats-Unis chez Target, Prince est très en deçà de son talent, avec par exemple un Chocolate Box ridicule, une ballade r'n'b U're Gonna C Me qui suit péniblement le style de Maxwell, un de ses admirateurs, et un sautillant Dance With Me. Le funk (There'll Never B) Another Like Me en ouverture aurait pu être à la hauteur s'il n'y avait ce démarrage couinant déjà entendu mille fois..."
Prince, package premium
Prince sort, en France seulement, un pack collector... Prince Lotusflow3r, MPLSound, Bria Valente Elixir Edition limitée de 3 CD (Because) " Il n'y en aura jamais un autre comme moi ! ", chante Prince en ouverture de son vingt-cinquième album, MPLsound, sorti lundi... Prince ne vend plus beaucoup de disques mais, à la limite, ce n'est pas ce qu'il cherche le plus...>>
http://www.liberation.fr/recherche/?q=prince
quelqu'un pour faire un scan ? l'article est en accès payant sur le web
il y a deux articles.
France Info : Peut-on encore attendre quelque chose d’un album de Prince ?
http://www.france-info.com/spip.php?art ... _theme=122
- Matthieu
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Ces derniers jours, dans la presse déchaînée se cotient le moyen, le bof, le pas bon et le bon au sujet de Prince. Faisons avec. On parle de lui un peu partout. J'ai peut-être la mémoire courte mais depuis combien de temps Prince a eu une telle présence dans les médias ? Depuis l'été dernier et Montreux, même si les papiers ne sont pas dithyrambiques, notre petit génie occupe le terrain. Et fait causer ! On m'a demandé où trouver le T-Shirt qu je porte fièrement aujourd'hui , quelle était la différence entre le simple et le triple, et pourquoi il sortait 2 supports, et comment ça je l'avait avant l'été...
C'est plaisant. Prince fait causer, faudrait qu'il vende un peu et... qu'il vienne, tiens !
C'est plaisant. Prince fait causer, faudrait qu'il vende un peu et... qu'il vienne, tiens !
Pourquoi BOF...moi je dis clairement pas BON du tout ce type de Promo, je ne critique pas en soit l'ancien projet de prince LotusFlower qui recèle quelques bonnes chansons,mais alors sortir ce vieux projet et en plus en France uniquement, c'est à ne RIEN y comprendre, maintenant les critiques des différents médias à l'encontre de son disque sont certes exagérées tout en frappant ou cela fait mal, Prince s'autoparodie et n'a plus rien à proposer, il se repose sur son passé et sur son aura(encore)intacte en live pour faire parler de lui, en tant que Fan je n'M pas lire toute cette mauvaise Presse mais je dois bien reconnaître 1 part de vérité dans tout celà!! !!
En me^me temps, la critique principale est sur le côté redite du MplSound, son côté eighties sans invention.slimongi a écrit :Pourquoi BOF...moi je dis clairement pas BON du tout ce type de Promo, je ne critique pas en soit l'ancien projet de prince LotusFlower qui recèle quelques bonnes chansons,mais alors sortir ce vieux projet et en plus en France uniquement, c'est à ne RIEN y comprendre, maintenant les critiques des différents médias à l'encontre de son disque sont certes exagérées tout en frappant ou cela fait mal, Prince s'autoparodie et n'a plus rien à proposer, il se repose sur son passé et sur son aura(encore)intacte en live pour faire parler de lui, en tant que Fan je n'M pas lire toute cette mauvaise Presse mais je dois bien reconnaître 1 part de vérité dans tout celà!! !!
Ben ouais, c'est justement le concept ; le clin d'oeil au passé !
C'est LotusFlow3r qui était le centre de gravité du projet. Et franchement là, on ne peut pas parler de redite. Dommage qu'il n'ait pas été mis en avant.
Et quand il nous a pondu TRC, les mêmes journalistes e plaignaient car cela ne sonnait pas comme du vieux Prince.
Quoi qu'il fasse, il est pris au piège.
^^
Oui tu as raisons, pour moi le coeur du projet est bien LotusFlower qui recèle de sacrés bons morceaux (Boom,colonized mind,wall of berlin, Dreamer..) malheureusement c'est 1 album qui manque 1 peu de cohérence avec 1 immondice comme "77 Beverly park" ou bien "$" ou "4ever"/"love like jazz" qui n'ont pas vraiment leur place sur cet album!!
Oui tu as raisons, pour moi le coeur du projet est bien LotusFlower qui recèle de sacrés bons morceaux (Boom,colonized mind,wall of berlin, Dreamer..) malheureusement c'est 1 album qui manque 1 peu de cohérence avec 1 immondice comme "77 Beverly park" ou bien "$" ou "4ever"/"love like jazz" qui n'ont pas vraiment leur place sur cet album!!
- Elvis Paisley
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Franchement, que ce soit les bonnes, les moyennes ou les mauvaises critiques françaises sur ce triple, une chose est sûre : la presse va mal.
Approximations, erreurs, pompages du dossier de presse en veux-tu en voilà, mémoires qui flanchent et crachage dans la soupe (seront tous là aux concerts, vous inquiétez pas), rien ne nous est épargné.
Au lieu de s'inquiéter du talent soi disant disparu de l'artiste, feraient mieux de se demander pourquoi leurs torchons ne se vendent plus.
Ben, c'est qu'à force de raconter des conneries, ça s'est vu !
Approximations, erreurs, pompages du dossier de presse en veux-tu en voilà, mémoires qui flanchent et crachage dans la soupe (seront tous là aux concerts, vous inquiétez pas), rien ne nous est épargné.
Au lieu de s'inquiéter du talent soi disant disparu de l'artiste, feraient mieux de se demander pourquoi leurs torchons ne se vendent plus.
Ben, c'est qu'à force de raconter des conneries, ça s'est vu !
$ pas sa place? Dans le cadre d'un album rock je trouve au contraire qu'il apporte un peu de légereté dans ce déferlement de guitare rugissante sans dénoter sur le cadre sonore, une sorte de pause pop.slimongi a écrit :^^
... "$" ou "4ever"/"love like jazz" qui n'ont pas vraiment leur place sur cet album!!
Fin du HS.
Elvis a raison sur l'état de la presse, et j'ajouterai que même si Prince pondait un chef-d'oeuvre il serait attaqué sur un autre angle, genre "album prétentieux" "incohérent" gnia gnia... c'est humain après tout, on fait bien pareil ici, à ces deux différences près qu'ici nous n'avons rien à vendre et que dans l'ensemble on sait modestement de qui on parle.
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Prince se prend une gamelle
Plus souvent rincé que princier : le vingt-cinquième album d’un artiste en chute libre. Le Prince déchu déçoit.
A l’origine, ce vingt-cinquième album officiel de l’Artiste Précédemment Connu Comme Talentueux n’était distribué, au printemps dernier, que sur le net et dans une chaîne de grandes surfaces à prix cassés des Etats- Unis. Du disco hard au hard discount, de leader d’opinion à Leader Price, la dégringolade de Prince ne rend pas heureux : on ne se réjouit pas de l’hébétude, de l’impotence d’un type capable d’avoir troussé, fripon, quelques-unes des meilleures raisons de danser dans les années 80.
Aujourd’hui récupéré par un label français, Prince en appelle sur cet album à la nostalgie, en alignant une série d’electro-funks rutilants, qui feraient presque illusion si seulement il y avait une âme et un sexe derrière ces exercices de style.
Sa pochette digne de ces peintures aérographes infectes que des gros barbus mystiques imposent au capot de leur Citroën GS (généralement, des loups ou des Indiens aux yeux mi-clos), est à la hauteur de la plupart des chansons : ringardes, navrantes. Ainsi, le vraiment risible et insipide Chocolate Box, autotuné jusqu’à l’absence, dont le rap mou et frigide, aux métaphores burlesques malgré elles, est à peu près aussi sexy qu’un striptease M6 – tout en refourguant, à usage unique des souvenirs émus, le beat exact de When Doves Cry. Ainsi U’Re Gonna C Me, ballade poissarde et poisseuse qu’on ne souhaiterait même pas à Fleetwood Mac. Ce qui rend encore plus tristes les petits sommets agités de cet album, comme le léger et charnel Valentina, un tube énorme dans un monde juste (80’s), ou le tropical Ol’ Skool Company, merveille qui aurait fait fureur sur la BO de Flashdance.
Pour le reste, pour cette impression dérangeante de contrefaçon, de comédie, interrogeons- nous sur la conversion de Prince, à l’aube du siècle, aux dogmes fondamentalistes : a-t-on jamais vu un témoin de Jéhovah sexy, sensuel, lubrique ? Car aujourd’hui, tout ce qu’il incarnait à ses grandes heures, Prince le mime, le surjoue, pour les besoins de son film : une panoplie de pervers et de paillard comme d’autres enfilent un bleu de chauffe pour aller au turbin. Les témoins de Jéhovah considèrent les autres religions comme l’oeuvre de Satan, “principal promoteur du faux culte”. En mille gémissements, feulements, râles et laborieuses allégories sexuelles, tous simulés avec la grâce d’une actrice porno de série Z, Prince, lui, assure la promotion du faux cul.
Plus souvent rincé que princier : le vingt-cinquième album d’un artiste en chute libre. Le Prince déchu déçoit.
A l’origine, ce vingt-cinquième album officiel de l’Artiste Précédemment Connu Comme Talentueux n’était distribué, au printemps dernier, que sur le net et dans une chaîne de grandes surfaces à prix cassés des Etats- Unis. Du disco hard au hard discount, de leader d’opinion à Leader Price, la dégringolade de Prince ne rend pas heureux : on ne se réjouit pas de l’hébétude, de l’impotence d’un type capable d’avoir troussé, fripon, quelques-unes des meilleures raisons de danser dans les années 80.
Aujourd’hui récupéré par un label français, Prince en appelle sur cet album à la nostalgie, en alignant une série d’electro-funks rutilants, qui feraient presque illusion si seulement il y avait une âme et un sexe derrière ces exercices de style.
Sa pochette digne de ces peintures aérographes infectes que des gros barbus mystiques imposent au capot de leur Citroën GS (généralement, des loups ou des Indiens aux yeux mi-clos), est à la hauteur de la plupart des chansons : ringardes, navrantes. Ainsi, le vraiment risible et insipide Chocolate Box, autotuné jusqu’à l’absence, dont le rap mou et frigide, aux métaphores burlesques malgré elles, est à peu près aussi sexy qu’un striptease M6 – tout en refourguant, à usage unique des souvenirs émus, le beat exact de When Doves Cry. Ainsi U’Re Gonna C Me, ballade poissarde et poisseuse qu’on ne souhaiterait même pas à Fleetwood Mac. Ce qui rend encore plus tristes les petits sommets agités de cet album, comme le léger et charnel Valentina, un tube énorme dans un monde juste (80’s), ou le tropical Ol’ Skool Company, merveille qui aurait fait fureur sur la BO de Flashdance.
Pour le reste, pour cette impression dérangeante de contrefaçon, de comédie, interrogeons- nous sur la conversion de Prince, à l’aube du siècle, aux dogmes fondamentalistes : a-t-on jamais vu un témoin de Jéhovah sexy, sensuel, lubrique ? Car aujourd’hui, tout ce qu’il incarnait à ses grandes heures, Prince le mime, le surjoue, pour les besoins de son film : une panoplie de pervers et de paillard comme d’autres enfilent un bleu de chauffe pour aller au turbin. Les témoins de Jéhovah considèrent les autres religions comme l’oeuvre de Satan, “principal promoteur du faux culte”. En mille gémissements, feulements, râles et laborieuses allégories sexuelles, tous simulés avec la grâce d’une actrice porno de série Z, Prince, lui, assure la promotion du faux cul.
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Ouest France du 07/09/09
Prince revient aux affaires comme une fleur fanée
Son Lotus Flow3r signe un retour ambitieux, sous la forme d'un triple album. Du Prince classique, pas à la hauteur du compositeur de génie qui a donné le ton dans les années 1980.
Prince pourra-t-il être la star de l'automne ? Le délire entourant la mort de Michael Jackson n'est pas encore retombé, réalimenté par un enterrement orchestré deux mois après le décès et par quelques « flash mob », ces chorégraphies plus ou moins spontanées réalisées par des anonymes dans des lieux publics du monde entier. Son frère ennemi, qui lui a longtemps contesté la couronne de roi de la pop, montre qu'il bouge toujours. Et pour le démontrer, il sort un triple album, rien que ça.
Manque d'âme
Difficile de résumer en quelques lignes le parcours de ce génie. Pour résumer un peu plus de trente ans de carrière, Prince a sorti une trentaine d'albums, frôlant la moyenne hallucinante d'un disque par an. La légende lui prête une sorte de « trouble obsessionnel compulsif » de la composition, avec une montagne de titres prêts d'avance.
Plus que dans la quantité, c'est dans les trouvailles mélodiques et d'arrangements que s'exprime le talent de cet autre amateur de talonnettes. Où en est-il aujourd'hui ? Un peu au même niveau, moyen, comme depuis quinze ans.
Le triptyque propose trois projets autonomes. Le premier, Elixir, apporte une information essentielle : le kid de Minneapolis s'est trouvé une nouvelle égérie. Elle s'appelle Bria Valente, a un regard profond... Et une voix taillée sur mesure pour des mièvreries sirupeuses R'n'B. Outre ce constat, inutile de s'attarder sur le sujet, vraiment sans intérêt. Tout comme cette première galette. A tel point qu'on se demande comment elle a pu atterrir dans un album de Prince.
Plus consistants, les deux autres disques, Lotus Flow3r et MPL Sound, présentent deux facettes connues de l'artiste. Guitares devant, Lotus Flow3r s'appuie sur le toucher de son auteur. Variant les effets, Prince distribue une belle série de ballades. Mais l'ensemble manque d'âme. Il est à peine réveillé par le funk tonitruant de Feel Better, Feel Good, Feel Wonderful, mené tambour battant, et quelques rocks.
Quant à MPL Sound, le plus généreux des trois CD, il rejoue le funk intransigeant et inspiré imprimé par Prince. Bien mis sur les rails par (There'll Never B) Another Like Me - en français : (il n'y aura jamais) personne comme moi - titre qu'on ne saurait démentir, il poursuit sur sa lancée. Problème : la recette était avant-gardiste il y a vingt ans. On attend d'être scotché au plafond, mais on garde les pieds bien collés au sol. Prince semble avoir perdu le fil. Il a brutalement cessé de nous surprendre. Dommage. Maigre consolation pour les fans, la scène est devenue le dernier refuge de la star. L'endroit où il ne faut la rater sous aucun prétexte.
Josué JEAN-BART.
Avec dans un encart 3 chroniques élogieuses des albums Purple Rain, SOTT, et Symbol.
Prince revient aux affaires comme une fleur fanée
Son Lotus Flow3r signe un retour ambitieux, sous la forme d'un triple album. Du Prince classique, pas à la hauteur du compositeur de génie qui a donné le ton dans les années 1980.
Prince pourra-t-il être la star de l'automne ? Le délire entourant la mort de Michael Jackson n'est pas encore retombé, réalimenté par un enterrement orchestré deux mois après le décès et par quelques « flash mob », ces chorégraphies plus ou moins spontanées réalisées par des anonymes dans des lieux publics du monde entier. Son frère ennemi, qui lui a longtemps contesté la couronne de roi de la pop, montre qu'il bouge toujours. Et pour le démontrer, il sort un triple album, rien que ça.
Manque d'âme
Difficile de résumer en quelques lignes le parcours de ce génie. Pour résumer un peu plus de trente ans de carrière, Prince a sorti une trentaine d'albums, frôlant la moyenne hallucinante d'un disque par an. La légende lui prête une sorte de « trouble obsessionnel compulsif » de la composition, avec une montagne de titres prêts d'avance.
Plus que dans la quantité, c'est dans les trouvailles mélodiques et d'arrangements que s'exprime le talent de cet autre amateur de talonnettes. Où en est-il aujourd'hui ? Un peu au même niveau, moyen, comme depuis quinze ans.
Le triptyque propose trois projets autonomes. Le premier, Elixir, apporte une information essentielle : le kid de Minneapolis s'est trouvé une nouvelle égérie. Elle s'appelle Bria Valente, a un regard profond... Et une voix taillée sur mesure pour des mièvreries sirupeuses R'n'B. Outre ce constat, inutile de s'attarder sur le sujet, vraiment sans intérêt. Tout comme cette première galette. A tel point qu'on se demande comment elle a pu atterrir dans un album de Prince.
Plus consistants, les deux autres disques, Lotus Flow3r et MPL Sound, présentent deux facettes connues de l'artiste. Guitares devant, Lotus Flow3r s'appuie sur le toucher de son auteur. Variant les effets, Prince distribue une belle série de ballades. Mais l'ensemble manque d'âme. Il est à peine réveillé par le funk tonitruant de Feel Better, Feel Good, Feel Wonderful, mené tambour battant, et quelques rocks.
Quant à MPL Sound, le plus généreux des trois CD, il rejoue le funk intransigeant et inspiré imprimé par Prince. Bien mis sur les rails par (There'll Never B) Another Like Me - en français : (il n'y aura jamais) personne comme moi - titre qu'on ne saurait démentir, il poursuit sur sa lancée. Problème : la recette était avant-gardiste il y a vingt ans. On attend d'être scotché au plafond, mais on garde les pieds bien collés au sol. Prince semble avoir perdu le fil. Il a brutalement cessé de nous surprendre. Dommage. Maigre consolation pour les fans, la scène est devenue le dernier refuge de la star. L'endroit où il ne faut la rater sous aucun prétexte.
Josué JEAN-BART.
Avec dans un encart 3 chroniques élogieuses des albums Purple Rain, SOTT, et Symbol.
- GetWildHornyPony
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Je ne sais pas si la presse va mal, mais tout ce que je sais est que Prince n'est pas un artiste à évaluer comme d'autres artistes ou groupes mondialement connus... Rien de secret, vous savez tous qu'il a quitté Warner pour être libre et c'est là le problème : depuis qu'il est libre, rien ne fonctionne comme avant niveau marketing, promotion etc.Elvis Paisley a écrit :Franchement, que ce soit les bonnes, les moyennes ou les mauvaises critiques françaises sur ce triple, une chose est sûre : la presse va mal.
Approximations, erreurs, pompages du dossier de presse en veux-tu en voilà, mémoires qui flanchent et crachage dans la soupe (seront tous là aux concerts, vous inquiétez pas), rien ne nous est épargné.
Au lieu de s'inquiéter du talent soi disant disparu de l'artiste, feraient mieux de se demander pourquoi leurs torchons ne se vendent plus.
Ben, c'est qu'à force de raconter des conneries, ça s'est vu !
Et pour la presse, franchement, c'est juste l'image que Prince s'est donné. Regardez Madonna, Depeche Mode, U2, etc. il y a des bonnes et peu de mauvaises critiques...
Ce n'est que mon point de vue! Je peux me tromper...
- Purple-Jerome
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ça a été publié ou bien c'est une critique perso ?
"Be cool Rover... Don't bite nobody"
- Purple-Jerome
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ah ok merci. donc autant dire que ça a autant de crédibilité d'une chronique Télérama alors :roll:dionne a écrit :Si tu parles de la critique du post de schaltzmann, c'est celle de lucie Danois des inrocks.Purple-Jerome a écrit :ça a été publié ou bien c'est une critique perso ?
"Be cool Rover... Don't bite nobody"
- MaNu
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Vu sur le site de la radio RAJE
http://www.raje.fr/index.php?id=musique ... a533d7bb7b
Prince
Beaucoup de bruit pour rien
Attisés, comme de nombreux Nîmois, par une rumeur qui grandissait (cf. Midi Libre du 21/08), nous avions préparé l'éventuelle venue de Prince aux arènes de Nîmes sur votre site web par cet article. Vous ratez donc Prince, mais vous avez droit au lot de consolation!
Il y a des moments dans la musique où les légendes se créent et des moments où elles se rencontrent…
Nous sommes en 1983 à l’Apollo Theater de Manhattan (à New York, of course). Ce soir là, un hommage est rendu à James Brown. Dans la salle, 2 spectateurs de choix : Michael Jackson et Prince, qui sont invités tour à tour à rejoindre le King of soul sur scène. Le résultat ? Un moment inoubliable : Michael chante et Prince joue de la guitare sous les yeux de leur parrain (le godfather of soul).
Plus de vingt ans après, le King of soul et le King of pop nous ont quittés mais le Prince est toujours là.
30 ans de carrière, plus de 100 millions d’albums vendus, plus de quarante albums sortis, des doubles albums, des triples albums, des quadruples albums et même des quintuples albums, qui dit mieux ?
Mais le chiffre le plus impressionnant, c’est 20, comme le nombre d’instruments dont il joue, a l'instar de Stevie Wonder. Il enregistre chaque instrument l'un après l'autre pour former la chanson complète comme dans ses 2 derniers albums qui sont téléchargeables sur le site qu’il a créé « LotusFlow3r » (cf. lien ci-dessous).
Musicien avant-gardiste, Prince a su se constituer une grosse base de fans qui répondent toujours présents à chaque concert et à chaque sortie de disque.
En plus de sa propre carrière, Prince a produit pour de nombreux artistes dont Lenny Kravitz, Stewie Wonder, George Clinton, Maceo Parker mais aussi, plus surprenant, pour Madonna et Céline Dion, pour tous les goûts donc…
En tout cas une chose est sure un concert de Prince c’est toujours un événement et nul doute que le petit Prince saura tous nous apprivoiser. Qu’est-ce que signifie "apprivoiser"? C'est une chose trop oubliée dans l’industrie de la musique. Cela signifie créer des liens...
http://www.raje.fr/index.php?id=musique ... a533d7bb7b
Prince
Beaucoup de bruit pour rien
Attisés, comme de nombreux Nîmois, par une rumeur qui grandissait (cf. Midi Libre du 21/08), nous avions préparé l'éventuelle venue de Prince aux arènes de Nîmes sur votre site web par cet article. Vous ratez donc Prince, mais vous avez droit au lot de consolation!
Il y a des moments dans la musique où les légendes se créent et des moments où elles se rencontrent…
Nous sommes en 1983 à l’Apollo Theater de Manhattan (à New York, of course). Ce soir là, un hommage est rendu à James Brown. Dans la salle, 2 spectateurs de choix : Michael Jackson et Prince, qui sont invités tour à tour à rejoindre le King of soul sur scène. Le résultat ? Un moment inoubliable : Michael chante et Prince joue de la guitare sous les yeux de leur parrain (le godfather of soul).
Plus de vingt ans après, le King of soul et le King of pop nous ont quittés mais le Prince est toujours là.
30 ans de carrière, plus de 100 millions d’albums vendus, plus de quarante albums sortis, des doubles albums, des triples albums, des quadruples albums et même des quintuples albums, qui dit mieux ?
Mais le chiffre le plus impressionnant, c’est 20, comme le nombre d’instruments dont il joue, a l'instar de Stevie Wonder. Il enregistre chaque instrument l'un après l'autre pour former la chanson complète comme dans ses 2 derniers albums qui sont téléchargeables sur le site qu’il a créé « LotusFlow3r » (cf. lien ci-dessous).
Musicien avant-gardiste, Prince a su se constituer une grosse base de fans qui répondent toujours présents à chaque concert et à chaque sortie de disque.
En plus de sa propre carrière, Prince a produit pour de nombreux artistes dont Lenny Kravitz, Stewie Wonder, George Clinton, Maceo Parker mais aussi, plus surprenant, pour Madonna et Céline Dion, pour tous les goûts donc…
En tout cas une chose est sure un concert de Prince c’est toujours un événement et nul doute que le petit Prince saura tous nous apprivoiser. Qu’est-ce que signifie "apprivoiser"? C'est une chose trop oubliée dans l’industrie de la musique. Cela signifie créer des liens...