Et pendant ce temps là dans les médias ...

[brian]

Mayte vient d’annoncer que son livre the Most Beautiful, va être adapté en film de fiction… J’espère qu’elle sait bien ce qu’elle fait, parce que avec un sujet aussi casse gueule, on peut s’attendre au pire !

[Elvis Paisley]

Vu la boîte de production choisie, on peut se préparer effectivement au pire !

[Greghost]

C'est pour cela qu'un vrai biopic est nécessaire (comme le ELVIS pr exemple). Ça éviterait ce genre de fantaisie.
L'estate va laisser faire ?

[SIGNO'THETOM]

C'est pour cela qu'un vrai biopic est nécessaire (comme le ELVIS pr exemple). Ça éviterait ce genre de fantaisie.
L'estate va laisser faire ?

Pas sûr que l'Estate laisse faire !!!
Surtout avec Mc Millan l'empêcheur de tourner en rond !

[Gaspard Elliott]

Et pourquoi ne pourrait-il pas y avoir un film d'après le point de vue de Mayte ? Je trouve au contraire que c'est une idée intéressante. La plupart des biopics ne sont que des versions filmées de fiches wikipédia, c'est un genre assez pauvre, comme les Marvel. Je préfère mille fois un film de parti pris pour Mayte, montrant les travers de son mari, plutôt qu'un énième scénario d'ascension/ chute/rédemption prévisible avec un acteur qui ne sait ni chanter ni jouer ni danser.
Je ne suis pas allé voir le biopic d'Elvis mais j'irai voir Priscilla parce que Sofia Coppola m'intéresse plus que Baz Luhrmann.

[AFunkySpaceReincarnation]

Personnellement je n'aime pas les biopics et je ne regarde pas. Encore pour par exemple Henri IV ou Cléopatre ça va, je peux comprendre, mais pour les personnalités de mon époque, j'ai du mal. Je n'arrive pas à me detacher de ce que je connais et tout ce que je vois c'est un type qui joue (souvent mal) un autre. Et en ce que concerne Prince c'est encore pire, je ne peux même pas m'imaginer qqn se faire passer pour The One and Only. Ca va m'énerver je pense Mais ça n'engage que moi et je sais que ce n'est pas très objectif de ma part Peace!

[Sam06]

Bonjour à tous,
Une anecdote que je partage avec plaisir.
Il y’a le fameux manteau blanc en cachemire d’Under the Cherry Moon en vente chez RR auction vendredi et le couturier qui lui a vendu, Claude Bonucci a son magasin proche de mon bureau à Cannes.
Une photos de Prince avec ce manteau est à depuis plusieurs années en vitrine. Samedi, je rentre dans la boutique et informe Mr Bonucci et son fils de la prochaine vente de ce manteau, cité dans plusieurs médias US. Très heureux de l’apprendre, ils me remercient, me montre leur livre d’or avec un cœur et un Love Prince, me raconte quelques anecdotes intéressantes sur lui et sur Jérôme, et me rappelle la fameuse phrase du film où Jérôme montre deux vestes à Prince en lui demandant « Versace or Bonucci ? »…Réponse « of course Bonucci!!! »
Ils gardent le souvenirs de quelqu’un de gentil, respectueux et généreux. Dont ils ont eu souvent des nouvelles.
Je pars sans laisser mes coordonnées en situant approximativement mon lieu de travail.
Aujourd’hui, j’apprends que ce monsieur d’un certain âge a fait tous les bureaux du coin pour me retrouver et me remercier. Après ma visite, ils ont raconté cette histoire a un journaliste de Nice-matin qui est venu hier pour les interviewer et l’article est en fait paru aujourd’hui en pleine page!
Après cette parution, c’est BFM TV qui va venir vendredi!

[Sam06]

Ps: j’aimerais bien poster l’article numérisé par le journal ( format photo) mais je n’ai pas réussi.
Voici le lien de leur site

https://www.nicematin.com/amp/people/un-manteau-du-chanteur-prince-signe-du-tailleur-cannois-claude-bonucci-aux-encheres-885427

[Greghost]

Ps: j’aimerais bien poster l’article numérisé par le journal ( format photo) mais je n’ai pas réussi.
Voici le lien de leur site

https://www.nicematin.com/amp/people/un ... res-885427

Très belle histoire.

[jojo 94]

Bonjour à tous,
Au qu à ou vous ne connaissez par encore voici le lien pour un radio web spéciale Mineapolis sound
A écouter +++
https://fr.play.radioking.com/radio/the ... dio/titres
A vous de me dire ce que vous en pensez.

[117]

À l’instant sur RTL : le coffret DP, édition de luxe a été ajouté dans la valise !
Par contre, je ne connais pas le reste du contenu

[Yazid Manou]

Une vente aux enchères (en ligne) a eu lieu :
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/des- ... s-20231120

[jojo 94]

A voir pour ceux qui n'ont pas encore craqués

https://www.youtube.com/watch?v=RIp_22wReVo

[Yazid Manou]

Excellentes les paroles de Jean-Hugues Anglade dans Vanity Fair (novembre 2023) :

[AFunkySpaceReincarnation]

C'est peut-être pas grand chose, mais je poste quand même les Take That qui one partagé un petit souvenir de Prince. C'est à la 53 ème minute ...
https://youtu.be/ooIUNxzbS3U?si=uvxhOYDXv7tC3kc2

[brian]

J’ai vu la petite vidéo d’autosatisfaction de l’Estate concernant l’année 2023… pour Facebook et Instagram…un montage d’extraits des concerts de la célébration et des concerts du Blu-ray, issu du S. D. D&P… C’est d’un amateurisme terrifiant (images pourries et typo dégueulasse) Bien entendu, ils mettent au même niveau le coffret Deluxe et les deux inédits de la clé USB… ça fait peur pour la suite quand même

[Gaspard Elliott]

Purple Rain adapté en comédie musicale :
https://www.nytimes.com/2024/01/08/thea ... sical.html
https://www.theguardian.com/stage/2024/ ... bs-jenkins
https://www.hollywoodreporter.com/lifes ... 235781333/

[Tinitir]

Encore une problématique judiciaire au sein de l'Estate, entre les membres de Prince Legacy LLC (entre les 2 terribles et les membres de la famille de Prince) :
https://www.billboard.com/business/lega ... 235580400/
On croise les doigts pour que cela ne mette pas un frein aux futures sorties.

[Greghost]

Purple Rain adapté en comédie musicale :
https://www.nytimes.com/2024/01/08/thea ... sical.html
https://www.theguardian.com/stage/2024/ ... bs-jenkins
https://www.hollywoodreporter.com/lifes ... 235781333/

Ça me paraît une bonne idée. À voir la forme et le casting.

[SIGNO'THETOM]

Ca me parait une idée de chiotte... Le début de la fin !
A quand un Biopic ou une série en streaming ?
Le nouvel Estate = Machine à cash !

[Gaspard Elliott]

Les maisons de Prince au fil des ans

AD Magazine, 15 janvier 2024
https://www.admagazine.fr/article/les-maisons-de-prince

Découvrez les demeures à l’image de l’auteur de Purple Rain dans le Minnesota et à travers les États-Unis et au Canada, jusqu’aux Bahamas.

Les maisons de Prince au fil des ans
Prince restera à jamais associé au Minnesota : c'est ici qu'il est né, a grandi et possédait la plupart de ses maisons. S'il a enregistré un hymne pour les Minnesota Vikings, il a aussi eu l'occasion de voyager et d'habiter ailleurs. Focus sur quelques-unes des maisons emblématiques du musicien, de Paisley Park à sa résidence secondaire dans l'archipel Turques-et-Caïques.

2201 Fifth Avenue South, Minneapolis
Prince est né le 7 juin 1958. À l'époque, sa famille vivait dans un appartement situé au 2201 Fifth Ave, à 10 minutes à pied de l'hôpital Mount Sinai, aujourd'hui fermé. C'est ici que l'artiste a vécu les six premiers mois de la vie. L'immeuble en question comprend 10 logements et trois étages. Construit en 1929, il existe toujours et n'a pas subi de modifications depuis. La famille de Prince déménage au 915 Logan Avenue North en 1959, mais on sait peu de choses sur cette propriété car elle a été depuis démolie puis remplacée par une autre construction.

2620 Eighth Avenue North, Minneapolis
De ses 6 à 12 ans, Prince vit dans une maison comportant trois chambres et deux salles de bains, au 2620 Eighth Avenue North à Minneapolis. Selon les documents déposés au Registre national des lieux historiques, c'est là que Prince apprend à « maîtriser le piano, commence à écrire des chansons et à jouer de la guitare ». Située à 15 minutes à peine de son précédent domicile, la maison a été construite en 1957 et comprend un étage, d'après le site Zillow.

Kiowa Trail, Chanhassen, Minnesota
Prince acquiert sa première propriété après le succès de ses deux premiers albums, For You (1978) et Prince (1979). Il a 22 ans à l'époque. À l'origine, cette maison à deux étages est de couleur crème, mais le musicien décide de la faire repeindre en violet, selon Vogue. Un studio est installé dans la maison et plusieurs morceaux des albums Purple Rain, Controversy et 1999 y sont enregistrés. Prince vit dans cette demeure jusqu'en 1985. Il ne l'a jamais vendue. La maison violette est pourtant démolie en 2003 et en 2017, la succession de Prince vend le terrain pour 700 000 dollars. Selon Southwest News Media, les propriétaires actuels ont l'intention de restaurer le portail du lieu, ce dernier ayant été installé par Prince (il est doté du symbole de paix et d'un cœur). Paisley Park est situé à environ 6 kilomètres de là.

L'architecte Bret Thoeny n'avait alors que 23 ans quand Prince l'invite à concevoir la maison-studio de Paisley Park en 1985. Deux ans plus tard, le bâtiment est terminé. Des panneaux d'aluminium blanc recouvrent sa façade, cette dernière étant ponctuée d'un nombre limité de fenêtres afin de préserver l'intimité de Prince. D'une superficie 5 100 mètres carrées, la propriété comprend des espaces commun, des bureaux, « deux studios d'enregistrement ultramodernes, une scène de 1 100 mètres carrés, une salle de répétition et une salle de spectacle », selon le journal Billboard. Si cette demeure sert surtout d'espace de travail, Prince habite par intermittence dans une chambre au deuxième étage. Il y vit avant sa mort en 2016. Depuis, le lieu a été transformé en musée et en salle de spectacle.

Heather Way, Beverly Hills
Qualifié de « locataire permanent » par le LA Times, Prince a souvent habité à Los Angeles, mais il n'y a acheté une maison qu'en 1992, à Beverly Hills. Elle a été vendue 2,2 millions de dollars en 1997.

Construite en 1989, cette demeure de style italien fait environ 650 mètres carrés et comprend 5 chambres et 7 salles de bains. Bien qu'il soit difficile de dire exactement à quoi ressemblait l'espace lorsque le musicien en était propriétaire, des photos publiées 2014 révèlent une maison grandiose avec des détails spectaculaires, tels qu'un escalier majestueux et un bureau lambrissé avec des rideaux de couleur violette. La demeure a été vendue 2,2 millions de dollars en 1997.

Bridle Path, Toronto, Canada
La deuxième femme de Prince, Manuela Testolini, est originaire de Toronto. Le couple s'est marié entre 2001, date à laquelle il fait l'acquisition d'une maison de 1 300 mètres carrés au Canada. Il l'aurait revendue la maison lors du divorce en 2006. La maison semble assez traditionnelle de l'extérieur mais des photos partagées par Storeys révèlent un intérieur influencé par l'esthétique postmoderne, avec des blocs de verre et des accents chromés. Il est difficile de savoir comment était décoré le lieu quand le couple y habitait, mais on y trouve aujourd'hui dans un salon de coiffure, une salle de sport et un court de tennis. C'est dire que l'espace était grand.

Sierra Alta Way, Beverly Hills
Carlos Boozer, ancienne star de la NBA, a loué sa maison de Beverly Hills à Prince pendant huit mois en 2004 pour 70 000 dollars par mois, comme le rapporte le sportif dans son livre Prince and Boozer. Prince s'est pourtant empressé de redécorer la demeure, et cela sans rien demander au basketteur : il a remplacé les lions de la façade par son célèbre symbole, fait poser de la moquette violette sur les marches de l'entrée et placé un lit de la même couleur en forme de cœur dans la chambre principale. La star de la NBA, très surprise, a alors menacé d'intenter un procès. Prince, cependant, a réussi à se racheter en donnant 500 000 dollars supplémentaires à Carlos Boozer et en lui versant 95 000 dollars par mois pendant une année entière.

77 Beverly Park Lane, Beverly Hills
Prince aimait tellement cette propriété toscane de 2 500 mètres carrés qu'il lui a dédiée une chanson. Le musicien aurait loué cette demeure 200 000 dollars par mois et l'aurait habitée de début 2008 à mi-2009. La propriété dispose d'un home studio où il enregistrait des chansons, dont le morceau qui a pour titre l'adresse de cette maison.

La propriété de l’archipel Turques-et-Caïques
C'est sans doute la seule maison de l'archipel Turques-et-Caïques dont l'allée est violette. Prince a acheté cette propriété en 2011, puis fait l'acquisition de deux parcelles de terrain juste à côté afin de les combiner. Au total, le lieu fait 2 hectares. La maison, elle, dispose d'une vue sur l'océan. Elle a été vendue en 2019 pour 10,8 millions de dollars après être restée quelques années sur le marché sans trouver preneur. Elle est désormais disponible comme location de vacances. Son allée violette emblématique est restée intacte.

La maison de Purple Rain, Minneapolis
Bien que Prince n'y ait jamais vécu, il a acheté la maison du film Purple Rain (1984) en 2015, l'année précédant sa mort. Il a déboursé 117 000 dollars en liquide pour cette propriété de 120 mètres carrés.

Au moment de sa mort, la star possédait plusieurs millions de dollars de biens immobiliers dans le Minnesota.

[Gaspard Elliott]

Sheila E.: ‘We Are the World’ Producers Used Me To Try To Get Prince

29 January 2024
Rolling Stone

Source : https://www.rollingstone.com/music/musi ... 234956256/

The sessions started at Hollywood, California’s A&M Studios the night of Jan. 28, 1985, and didn’t end until well after sunrise the morning of Jan. 29. By that point, it was clear that nothing quite like “We Are the World” could ever happen again. The Greatest Night in Pop, a new documentary on Netflix, brings it all back to vivid life: co-writers Michael Jackson and Lionel Richie joined by Stevie Wonder, Tina Turner, Ray Charles, Bob Dylan, Bruce Springsteen, and an improbably long list of other superstars, all crammed in to one room to record the most overstuffed posse cut in the history of humankind, with Quincy Jones producing.

With the release of the new documentary — and the 39th anniversary of the recording session — we took our own look back at the epochal mega-collab on the new episode of Rolling Stone Music Now, talking to Bao Nguyen, the documentary’s director; longtime Quincy Jones associate Tom Bahler, who arranged the vocals for “We Are the World”; and one of the night’s singers, Sheila E. Some highlights follow; to hear the full episode, go here for the podcast provider of your choice, listen on Apple Podcasts or Spotify, or just press play above.

Sheila E. felt tricked by the song’s producers. In the podcast, she expands on revelations from the documentary, in which she explains that she felt deceived by promises of a solo vocal part that never arrived. Instead, the producers kept pushing her to call Prince, her close collaborator at the time, and get him to come down to the session — which of, course, he never did. “Lionel and Quincy kept saying, ‘Why don’t you call Prince,'” she tells Rolling Stone Music Now. “Everyone took turns trying to get me to call him back and have him come down…. I just thought, wow, they were all my friends. That’s cold-blooded.” (Lionel Richie, one of the producers of the new documentary, didn’t dispute Sheila E.’s account, according to Nguyen.)Bruce Springsteen talked for the documentary after Lionel Richie personally reached out to him. “In a way life was imitating art,” says Nguyen, “because [the original song] took all these artists to call each other up to tell them, like, ‘This is gonna be a hit.'”

When it came to choosing parts for the many singers, Quincy Jones left the choices mostly up to arranger Tom Bahler, but he did have a few definitive ideas of his own. “‘I have two requests,'” Bahler recalls Jones telling him. “‘One is, Lionel was the first one to write this, to begin it, so he should be the first voice we hear. Then, because Michael came in and they finished it together, Michael should sing the first chorus.’ And then, this is his humor, he said, ‘And I think you should bring Diana in for the second half of the first chorus, because some people think they’re the same person.'”

Much of the behind-the-scenes footage of the session had no audio — but the filmmakers were able to painstakingly restore the sound after they learned that Life magazine reporter David Breslin had kept his own lo-fi recordings of it all. “Our archive producer was like, ‘Oh, let me just reach out to this Life magazine journalist and see what he’s got,” says Nguyen. “He’s like, ‘Oh yeah, I’ve got hours and hours of my dictaphone.’ And so we got lucky.”

Why Michael Jackson and Prince hated each other: the feud over We Are The World


29 January 2024
The Telegraph Online
Source : https://www.telegraph.co.uk/music/artis ... ach-other/

An attempted hit and run, violent ping-pong games and a very uncharitable snub … How did 1980s pop’s fiercest, strangest rivalry begin?

The midnight hour was close at hand, and Lionel Richie was turning purple with frustration. It was January 1985 28 and at A&M Recording Studios in Hollywood, the great and the good of American popular music were gathered in a state-of-the-art recording suite. In an adjoining room, Richie was speaking down the line to a reluctant pop genius. “I said, “Prince, we’re all down [here] waiting on you”,” Richie would recall. “I mean, I sat on the phone with him for the longest time.”

Richie desperately wanted Prince to participate in We Are The World, the charity single which aimed to build on the success of Bob Geldof’s Band Aid and raise money for victims of famine in Ethiopia. Just a few hours earlier, the two had rubbed shoulders at the American Music Awards at nearby Shrine Auditorium. As Richie would point out in their subsequent conversation, there was nothing stopping Prince from hopping in a taxi to A&M. It was late – but not too late.

Prince couldn’t bring himself to do it. That was partly because of his natural shyness: the infamously withdrawn and perfectionist star was reluctant to squeeze into a booth with a-listers such as Bob Dylan and Bruce Springsteen.

A bigger problem, though, was We Are The World itself – an avalanche of naff co-written by Richie and Prince’s nemesis, Michael Jackson. The best Prince would do was offer to lay down a solo – provided he could do so on his own. “I don’t need him to f______ play guitar!” retorted We Are The World producer and Jackson collaborator Quincy Jones.

In the Eighties, the Jacko-Prince feud somehow flew under the radar. However, it is front and centre of a new Netflix documentary about the making of We Are The World. The Greatest Night in Pop doesn’t shy away from Prince and his non-involvement in the sessions. Singer Sheila E reveals to Netflix that she was invited because the producers hoped she would encourage Prince, with whom she had recorded extensively, to tag along.

“It was getting late, and I was looking forward to singing one of the verses,” she tells the filmmakers. “But they kept asking, ‘Well, do you think you can get Prince here?’ And I’m like, wow. This is weird. and I just started feeling like I’m being used because they want Prince to show up and the longer they keep me, maybe Prince will show up.”

Prince didn’t like We Are The World, describing it as “horrible”. He had an even bigger dislike of Jackson – a hatred so embittered Prince couldn’t bring himself to express his sympathies after Jackson’s shock death in June 2009, aged just 50.

Their mutual hostility was tied to the burning ambition that drove these two visionaries. They were born two months apart – Prince in June 1958, Jackson that August. Jackson was initially more successful, becoming a pop sensation as preteen frontman of The Jackson Five. However, the power dynamic between the duo shifted in 1984 with the release of Prince’s Purple Rain, a movie and album that won the singer both an Oscar and a Grammy. Jackson, who had ambitions to break into cinema, was left seething.

“The word in Hollywood was that the film, a drama with music, was so riveting, it would make Prince a major movie star,” wrote J. Randy Taraborrelli in Michael Jackson: The Magic, The Madness, The Whole Story. “Michael was deeply disappointed that he had not been able to make a strong impression in films. Being so competitive, he had to see Purple Rain before it was distributed to the public.”

Jackson and Prince had already shared the stage – the only time they would perform together. Their unlikely coming together was at the behest of James Brown. The Godfather of Soul was performing at Beverly Theatre in Hollywood in 1983 when he spotted the two singers in the audience and called them up.

Jackson sang Mr Dynamite with Brown and treated the crowd to his signature dance moves. Then, it was Prince’s turn. “You gotta do something,” said Brown. Prince played guitar, whipped off some of his clothes and then swung on a lamppost stage prop that turned out to be made of Papier-mâché. He flew into the crowd – a public humiliation that seems to have stayed with him. It certainly stayed with Jackson. “He made a fool of himself,” he said. “He was a joke…people were running and screaming. I was so embarrassed.”

Neither of the stars spoke about their animosity in public. But Quincy Jones had few illusions as to the extent of their mutual dislike. This came to a head shortly after We Are The World when, for reasons best known to himself, Jackson decided the title track to his forthcoming Bad album should be a duet with Prince.

Initially, Prince was open to collaboration. However, he hated Jackson’s version and recorded his own demo. He also had a problem with the lyrics.

“The first line of that song is “Your butt is mine,”” said Prince. “Now I said, ‘Who’s gonna sing that to whom? ’Cause you sure ain’t singing it to me. And I sure ain’t singing it to you, so right there we got a problem.’”

Adding to the insult, Prince insisted on calling Jackson “Camille” to his face. “We invited [Prince] over to Michael’s house at Hayvenhurst (a sprawling mansion in Encino, California),” said Quincy Jones “He came in and he had an overcoat on, and he had a big white box labeled “Camille.” He called Michael “Camille.””

Jones continued: “The box had all kinds of stuff – some cufflinks with Tootsie Rolls on them. Michael was scared to death. He thought there was some voodoo in there. I wanted to take it because I knew Michael was gonna throw it away”.

The producer also claimed Prince tried to run Jackson over with his limousine. “He knew,” said Jones of the incident in an interview with GQ. “Michael knows s___. He was there. He said that was his intention.”

“They’re so competitive with each other that neither would give anything up,” an observer to one of the meetings for the Bad sessions told Spin magazine. “They kind of sat there, checking each other out, but said very little. It was a fascinating stalemate between two very powerful dudes.”

Jackson still wanted to use Prince for his benefit. Together with his manager, Frank Dileo, he devised a plan to plant stories of a rivalry between the two singers. Of course, this “fake news” was all too real: Prince was unimpressed when word of Jacko’s antics reached him. He bowed out of Bad – his part in the Martin Scorsese-directed video taken by a young Wesley Snipes. (Prince later told friends that Jackson’s album was only called Bad “because there wasn’t enough room on the sleeve for Pathetic”.)

Bad blood between the two sometimes reached ludicrous heights. One bizarre incident involved Jackson visiting Prince’s studio, where he was recording the soundtrack to his 1986 movie, Under the Cherry Moon. Prince was an obsessive ping-pong player and challenged Jackson to a game.

“Michael drops his paddle and holds his hands up in front of his face so the ball won’t hit him,” remembered sound engineer David Z. “Michael walks out with his bodyguard, and Prince starts strutting around like a rooster. ‘Did you see that? He [Jackson] played like Helen Keller.’”

Privately, Jackson was withering about Prince. In recordings for his 1988 autobiography Moonwalk, he spoke of his rival with open hatred (the tapes were not made public until 2016).

“I don’t like to be compared to Prince at all,” he said. “I have proven myself since I was real little. It’s not fair. He feels like I’m his opponent. I hope he changes because boy, he’s gonna get hurt. He’s the type that might commit suicide or something.” Jackson added that Prince was “so rude, one of rudest people I have ever met… [and] very competitive. He has been very mean and nasty to my family”.

In his later years, Jackson’s dislike grew more intense. According to promoter Randy Philips, when planning his ill-fated comeback in 2009 dates in London, Jackson would talk about Prince and their rivalry.

“Michael said, “… God channels this through me at night. I can’t sleep because I’m so super-charged.” Kenny [Ortega, the show’s director] said, “But Michael, we have to finish. Can’t God take a vacation?” Without missing a beat, Michael said, ‘You don’t understand – if I’m not there to receive these ideas, God might give them to Prince.’”

The feelings were seemingly mutual. Following Jackson’s death, Prince was asked for his thoughts about the passing of a legend. He damned with the faintest of praise (though he did perform Jackson’s Don’t Stop Til You Get Enough on his next tour as tribute).

“I don’t want to talk about it. I’m too close to it,” he told Rolling Stone, “[Jackson] is just one of many who have gone through that door – Amy Winehouse and folks. We’re all connected, right? We’re all brothers and sisters, and the minute we lock that in, we wouldn’t let anybody in our family fall.” Seven years after Jackson’s death, Prince would likewise die suddenly, following an accidental overdose of the opioid fentanyl.

In life and death, they were destined to remain apart. Yet, had things played out differently and Prince joined Jackson on We Are The World, they might have had that shared legacy.

We Are The World is, of course, immensely cheesy. But none of the superstars involved was damaged by the association– not Springsteen, Dylan, Stevie Wonder or Huey Lewis, who filled in on the verse written for Prince by Richie. Prince was never troubled by self-doubt or regret – but you wonder if, late at night and all alone, it crossed his mind that We Are The World was the one that got away.

[lord farell]

2024 -1985 = 39 ans, période pendant laquelle beaucoup de gens oublient beaucoup de choses, et/ou en reconstruisent d'autres...

[lord farell]

Sur France Musique en ce moment même dans Banzaï, un titre du John L Nelson Project :
https://www.radiofrance.fr/francemusique
Il a été présenté en lien avec Percy Mayfield : lui et le père de Prince sont tous les deux nés dans la paroisse de Webster.

[choub]

mail Reçu ce soir :
https://purplerainbroadway.com/?utm_sou ... ement-2024

[Greghost]

mail Reçu ce soir :
https://purplerainbroadway.com/?utm_sou ... ement-2024

Dommage pour le timing encore une fois.
Ok pour l'annonce mais le démarrage l'année prochaine. J'espère que le super deluxe ne subira pas le même sort.

[SIGNO'THETOM]

mail Reçu ce soir :
https://purplerainbroadway.com/?utm_sou ... ement-2024

Ca me donne envie de chialer !
C'est quasiment un Blasphème vis à vis de l'œuvre de l'Artiste...

[lord farell]

Oula ! Un blasphème.. Perso l'idée d'une comédie musicale su Prince me plait bien, par exemple à cause du côté festif.

[Zappa45]

La comédie musicale viendra clôturer l année purple rain qui commence avec la célébration le week end du 20 juin cette année.
Des gens du forum ont ils planifié d y aller d ailleurs ?

[Christopher T.]

C'est pas moi qui le dis,c'est Axel Bauer: https://youtu.be/PN34HMOmaR4?si=CEcX7L9iOgTu5lWd&t=1294

[Christopher T.]

Sur ARTE,le docu "Prince, l'âge d'or" si pas déjà vu: https://www.arte.tv/fr/videos/118220-00 ... -age-d-or/

[Zappa45]

Oula ! Un blasphème.. Perso l'idée d'une comédie musicale su Prince me plait bien, par exemple à cause du côté festif.

Un petit aperçu dans "tous en scène 2 " déjà

[jojo 94]

Nouveau single de Jill Jones le 12/02/2024
https://www.youtube.com/watch?v=_ZNmI9wO75k

le prochain single "Red" sortira le mercredi 6 mars. L'album London Sessions devrait sortir le mardi 16 avril.
voir article ci-dessous
https://www.dunfermlinepress.com/news/2 ... new-album/

[Christopher T.]

Ok tout le monde connait,mais moi qui tombe dessus par hasard...j'aime bien et ça claquait bien en live: https://youtu.be/bbk0DdNkKzM?si=KhAKCqwaxG5FoKto&t=1734

[lord farell]

L'émission Banzzaï sur France Musique se termine aujourd'hui par deux morceaux signés Prince, un live de Wollny & Sauer en 2012 (Nothing Compares 2 U) et une reprise de Girls and Boys par Marcus Miller et Macy Gray.
https://www.radiofrance.fr/francemusique

Le live de 2012 est sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=1gkAFrhJ67o

[lord farell]

Samedi matin dans l'émission France Musique est à vous un auditeur fan de la musique de Prince a proposé un titre de l'album For You. Je vous laisse découvrir sa belle introduction du morceau, c'est à la toute fin de l'émission :
https://www.radiofrance.fr/francemusiqu ... 30-03-2024

[lord farell]

C'est encore moi ! Pour signaler une demi-page de l'ami Fred dans le Jazz Mag d'avril sur la réédition LP de The Vault...Old Friends 4 Sale. Avec aussi dans ce numéro un dossier sur Betty Davis ! Bise à tout le monde.

[Christopher T.]

Bruce Benamran (Chaine YT "e-penser 2.0") explique son pour : https://youtu.be/E282Cls4VEY?si=RRPpVSoj4CSIgyx1&t=1538

[Nevermind2b]

Bruce Benamran (Chaine YT "e-penser 2.0") explique son pour : https://youtu.be/E282Cls4VEY?si=RRPpVSoj4CSIgyx1&t=1538

Plutôt sympa pour l'aspect enthousiaste de la personne, des imprécisions, mais bon !
Par contre Morris Hayes, fils d'Isaac ?
Je n'ai pas trouvé d'info allant en ce sens après une (rapide) recherche sur les internets

[Gaspard Elliott]

Bientôt un film sur Prince par Ryan Coogler | Rolling Stone | 25/03/2024

https://www.rollingstone.fr/bientot-un- ... n-coogler/

Ryan Coogler s’apprête à produire un projet de longue haleine autour de la musique de Prince.
Le réalisateur de Black Panther, Ryan Coogler, est prêt à produire un film musical de type juke-box autour de la musique de Prince.

The Hollywood Reporter a confirmé que le projet en cours d’élaboration depuis longtemps (le film a été initialement annoncé en 2018) a fait un pas en avant avec Coogler à bord, sa société Proximity Media et Universal Pictures s’associant sur le film.

Bryan Edward Hill, qui a écrit pour des comics comme Kilmonger et Ultimate Black Panther, a déjà rédigé une ébauche du scénario. Aucun autre détail concernant le film (titre, réalisateur ou acteurs impliqués) n’a été révélé.

Le travail sur le projet Prince ne commencera probablement pas avant que Coogler ait terminé la production de son prochain film, simplement décrit comme un « film événement » qui le réunira avec l’acteur Michael B. Jordan ; les deux ont déjà fait équipe pour Fruitvale Station, Creed et Black Panther de Coogler. Le prochain film, qui devrait sortir en mars 2025, est le premier du réalisateur depuis Black Panther : Wakanda Forever, sorti en 2022.

Au début de l’année, il a été annoncé que le film Purple Rain de Prince serait adapté en comédie musicale. Branden Jacobs-Jenkins, finaliste du prix Pulitzer, écrira le livre de la comédie musicale et Lileana Blain-Cruz en assurera la mise en scène.

[SIGNO'THETOM]

Bientôt un film sur Prince par Ryan Coogler | Rolling Stone | 25/03/2024

https://www.rollingstone.fr/bientot-un- ... n-coogler/

Ryan Coogler s’apprête à produire un projet de longue haleine autour de la musique de Prince.
Le réalisateur de Black Panther, Ryan Coogler, est prêt à produire un film musical de type juke-box autour de la musique de Prince.

The Hollywood Reporter a confirmé que le projet en cours d’élaboration depuis longtemps (le film a été initialement annoncé en 2018) a fait un pas en avant avec Coogler à bord, sa société Proximity Media et Universal Pictures s’associant sur le film.

Bryan Edward Hill, qui a écrit pour des comics comme Kilmonger et Ultimate Black Panther, a déjà rédigé une ébauche du scénario. Aucun autre détail concernant le film (titre, réalisateur ou acteurs impliqués) n’a été révélé.

Le travail sur le projet Prince ne commencera probablement pas avant que Coogler ait terminé la production de son prochain film, simplement décrit comme un « film événement » qui le réunira avec l’acteur Michael B. Jordan ; les deux ont déjà fait équipe pour Fruitvale Station, Creed et Black Panther de Coogler. Le prochain film, qui devrait sortir en mars 2025, est le premier du réalisateur depuis Black Panther : Wakanda Forever, sorti en 2022.

Au début de l’année, il a été annoncé que le film Purple Rain de Prince serait adapté en comédie musicale. Branden Jacobs-Jenkins, finaliste du prix Pulitzer, écrira le livre de la comédie musicale et Lileana Blain-Cruz en assurera la mise en scène.

Apparemment ce film devrait être une comédie musicale avec la Musique de Prince, à la manière de Mamma Mia avec Abba en bande son... Une idée qui m'attriste personnellement, ce serait un premier dérapage de l'utilisation de son nom à mon avis ...

[Greghost]

Au contraire, je trouve que cela a bien servi la musique d'ABBA.
Reste à voir l'histoire, mais c'est une excellente idée pour garder sa musique vivante.

[Gaspard Elliott]

You can now stay in Prince’s house from ‘Purple Rain’ on AirBnB

The listing of the iconic house is in celebration of the 40th anniversary of film

By
Anagricel Duran
2nd May 2024
NME

https://www.nme.com/news/music/you-can- ... nb-3752837

Prince‘s Minneapolis house, which featured in Purple Rain, will be available to rent as an AirBnB for a year.

Offered as part of AirBnB’s new experience – Icons. As per a press release, Icons is “a new category of extraordinary experiences hosted by the greatest names in music, film, television, art, sports, and more.” The vacation rental site has released the first 11 experiences to be released with Prince’s Purple Rain home listed as one of them.

“In celebration of the 40th Anniversary of the legendary album and film, the newly restored home– located in Minneapolis, Minnesota, his hometown – will be open to the public for the first time, only on AirBnB,” read’s the listing for the legendary musician’s home.

It continued: “Guests will get to explore the home and go crazy for rare and special tracks from Prince’s world in an exclusive studio session.”

“Icons take you inside worlds that only existed in your imagination—until now,” said Brian Chesky, AirBnB co-founder and CEO. “As life becomes increasingly digital, we’re focused on bringing more magic into the real world. With Icons, we’ve created the most extraordinary experiences on Earth.”

Fans of the music legend will be able to request bookings for the Purple Rain house starting from August 1. Visit here to book your stay and to find out more information.

AirBnB Icons are featured in their own category right on the homepage. Most Icons are free, and all are priced under $100USD (£80) per guest. A countdown displays the time until each Icon goes live, and guests can request to book through the app. The lucky guests who are selected will receive a digital golden ticket, and more than 4,000 tickets will be available in 2024.

Released in 1984, Purple Rain is American rock musical drama film scored by and starring Prince as ‘The Kid’ in his acting debut. The film was developed to showcase the musician’s talents. It features various concert sequences, featuring Prince and his band The Revolution. The film was directed by Albert Magnoli, who later became Prince’s manager, from a screenplay by Magnoli and William Blinn.

A synopsis of the film reads: “A victim of his own anger, the Kid is a Minneapolis musician on the rise with his band, the Revolution, escaping a tumultuous home life through music. While trying to avoid making the same mistakes as his truculent father, the Kid navigates the club scene and a rocky relationship with a captivating singer, Apollonia. But another musician, Morris , looks to steal the Kid’s spotlight — and his girl.”

Purple Rain was the only feature film that Prince starred in but did not direct. Prince purchased “The Kid”s home which was used in the film eight months before his passing.

The film’s soundtrack of the same name earned the Number One spot on the US Billboard 200 Charts and came in at Number Seven in the UK Charts. The LP featured two US chart-topping singles, ‘When Doves Cry’ and ‘Let’s Go Crazy’, as well as the number-two hit ‘Purple Rain’.

The soundtrack is certified 13-times Platinum by the Recording Industry Association of America (RIAA) and has sold over 25million copies worldwide.

In other news, Prince’s rare B-side ‘United States Of Division’ has recently been shared to celebrate the 20th anniversary of his 2004 album ‘Musicology’.

[slimongi]

La Celebration...un évènement taillé pour les VIP...tout ceci finira par devenir le pilier de l'activité lié à l'héritage musical Princier... à prix d'or on vous fera écouter en autre les inédits from the Vault...peu d'investissement et de grosses marges... L'Estate finira par arrêter les sorties physique dont les types de distribution sont trop coûteuses et qui rapportent que dalle pour un Artiste comme Prince dont le nom ne suffit pas à vendre en masse contrairement à du MJ ou Elvis Presley...oui tout ceci finira par ce concentrer sur ce type d'évènement oui cela prends clairement ce chemin...quand aux prochaines boxes ...je n'y crois plus ! Business et pragmatisme...le nouveau credo...ce n'est pas les 5000 fans dans le monde que nous sommes prêts à tout acheter en sorties physiques qui parviendra au bateau de L'Estate de rester à flot...je pense que la petite masse des fans que nous sommes ne sont pas un élément essentiel de l'équation finale !

[Tinitir]

La Celebration...un évènement taillé pour les VIP...tout ceci finira par devenir le pilier de l'activité lié à l'héritage musical Princier... à prix d'or on vous fera écouter en autre les inédits from the Vault...peu d'investissement et de grosses marges... L'Estate finira par arrêter les sorties physique dont les types de distribution sont trop coûteuses et qui rapportent que dalle pour un Artiste comme Prince dont le nom ne suffit pas à vendre en masse contrairement à du MJ ou Elvis Presley...oui tout ceci finira par ce concentrer sur ce type d'évènement oui cela prends clairement ce chemin...quand aux prochaines boxes ...je n'y crois plus ! Business et pragmatisme...le nouveau credo...ce n'est pas les 5000 fans dans le monde que nous sommes prêts à tout acheter en sorties physiques qui parviendra au bateau de L'Estate de rester à flot...je pense que la petite masse des fans que nous sommes ne sont pas un élément essentiel de l'équation finale !

Nous verrons bien ce que l'avenir nous réserve.
Mais les sorties deluxe bénéficient toujours d'un très bon accueil par les fans et les médias, ce qui constitue une belle vitrine pour l'Estate dans le cadre de la gestion de l'héritage. Des coffrets imposants dans les rayons, des sorties digitales sur les sites de streaming et iTunes, cela sert peut-être de piqure de rappel aux amateurs de musique pour les inciter à écouter du Prince.
Cela m'étonnerait que des célébrations à Paisley Park 2 fois par an suffisent à être rentable pour l'Estate.
Espérons un NPGMC aussi rempli que le site de Bruce Springsteen (le rêve !) : des centaines de concerts à acheter en format physique ou en digital... Bon, je m'égare, mais on ne sait jamais.

[patoune]

Samedi matin dans l'émission France Musique est à vous un auditeur fan de la musique de Prince a proposé un titre de l'album For You. Je vous laisse découvrir sa belle introduction du morceau, c'est à la toute fin de l'émission :
https://www.radiofrance.fr/francemusiqu ... 30-03-2024

La présentatrice est une amie, elle m'a prévenu qu'elle allait le diffuser d'ailleurs, elle m'envoie un clin d'œil à la fin de la présentation, en me citant avec mes figurines de Beethoven et Prince (celle du Guggenheim Bilbao Museum par Lucie Kaas )

[Ben Grim]

Encore un Top 100, toujours discutable, mais peu de fautes de goût si on fait abstraction de l’ordre.
https://www.rocknfolk.com/news/apple-mu ... mps/346084

On peut surtout se réjouir que l’oeuvre de Prince persiste dans les esprits des experts, ce qui contribue à sa mémoire : 4ème avec Purple Rain et 51ème avec Sign ‘O’ the Times, 2 fois cités, le seul avec les Beatles, Stevie Wonder et… Beyonce !

Ben Grim

[daviddu13]

Radiohead est également cité 2 fpis (ok computer et kid a)

[daviddu13]

et j'ai jamais compris cette adoration de beyonce
je trouve sa musique assez pauvre, mais ça n'engage que moi

[Sam06]

Un article touchant sur son amour de sa ville natale et du Basket!

https://www.basketusa.com/news/722946/o ... es-wolves/

[Diamond Dog]

Podcast avec Andrea Swensson l'autrice du nouveau livre "Prince and Purple rain : 40 years"

https://youtu.be/G7lOP_enpmU?si=1qg-pODx0SC5Uezy

[Gaspard Elliott]

Prince Xperience : Dans la tête du génie / Ersin Leibowitch

Nouvel ouvrage publié chez Hors Collection, paru le 6 juin 2024.

Musicien prodige, artiste complexe et génial... mais un homme seul, insatisfait et finalement fragile : Prince.
L'annonce de sa mort, due à une surdose d'opioïdes, le 21 avril 2016 à l'âge de 57 ans, a sidéré la planète entière, prenant par surprise jusqu'à ses fans les plus assidus.

Jusqu'au bout, le secret a entouré les moindres faits et gestes de ce créateur forcené, obsédé du contrôle – le mot-clé de sa vie et de son impressionnante carrière. Pourtant, en coulisse, le Minneapolis Genius a souvent perdu la maîtrise de son destin, emporté par ses démons, avant de renaître de ses cendres, toujours sauvé par son fabuleux talent.

Du Kid de Purple Rain au performer indépassable des années 2000, des traumas de l'enfance aux bouleversements du statut de mégastar, Ersin Leibowitch met en lumière les multiples visages de cet artiste exceptionnel qui subjugua le monde de la pop pendant plus de trois décennies. Bienvenue dans la Prince Xperience...

Un aperçu sur Google Book : https://books.google.fr/books/about/Pri ... edir_esc=y

Funk-U en a dit un mot : https://funku.fr/prince-xperience-dans- ... -du-genie/

[escape]

Lu dans Ouest France :
https://www.ouest-france.fr/leditiondus ... ca1e7d8ece

[Gaspard Elliott]

Purple problems: What was right and what was wrong with Prince Celebration 2024

By Jon Bream Star Tribune JUNE 26, 2024

Fans loved the musical preview and songs from the vault but were frustrated by the disorganization.

Antone Johnson takes a photo of his fiancee Mona Lisa, right, and Mona’s sister, Myra Russell, center, in front of a Prince mural in downtown

Celebration 2024 had a more daunting task than usual for its sixth posthumous gathering of Prince fans last weekend in the Twin Cities:

How do you celebrate the 40th anniversary of the "Purple Rain" movie and introduce the work-in-progress "Purple Rain" musical while catering to the hard-core fans who want to experience unreleased material from Prince's fabled vault?

Such Purple problems.

In their second year in charge of Celebration, New York-based Londell McMillan and Charles Spicer of Prince Legacy LLC and the Paisley Park staff tried to touch all the bases — including live performances, panel discussions and almost-purifying cruises on Lake Minnetonka — and, despite some disorganization and other hiccups, Celebration 2024 was a praiseworthy reimagining.

Unlike the previous years, I wasn't able to attend all the activities in the five-day event because I had other assignments, including concerts by Morgan Wallen and New Kids on the Block. But I monitored social media accounts and interviewed Celebration-goers, both veterans and newcomers.

Here are some thoughts:

For the first time, many of Celebration's activities were in downtown Minneapolis to acknowledge "Purple Rain." The Revolution revisited First Avenue for two nights with guest vocalist Judith Hill, a Prince protégée from a later era. The State Theatre was the scene of performances by Morris Day and the New Power Generation, a screening of a new hi-def "Purple Rain" movie, and a presentation of the "Purple Rain" musical with creative principals and workshop actors.

Purple fams — Prince didn't like the word fans, short for fanatics — loved watching the newly 4K film with more than 1,000 other devotees. "It was like seeing 'The Rocky Horror Picture Show' again because everyone knew the lines," said longtime Purple believer Marilynn McNair of Atlanta.

Hearing from the book writer, music supervisor and director of the musical — all relatively young but with impressive Broadway credits — allayed fans' fears that the new project is looking to tell Prince's story. No, it's based on the plot of the movie, with the characters more fleshed out. A few musical numbers were performed by a workshop cast and everyone was wowed by the wondrous Rachel Webb as Apollonia.

"RIDICULOUS," Rhonda Nicole, a singer and Celebration vet, declared about Webb on X. "The preview was incredible."

There are no guarantees that Webb will be part of the cast when the musical premieres April 10 at the State Theatre. But you can guarantee that a smartly conceived and well executed musical will expose Prince's music to new audiences.

As for Morris Day's half-hour performance on Saturday night, he seemed dispirited without the Time backing him. "He seemed flat, low-energy," said Celebration rookie Mary Wimmer of Winston-Salem, N.C. And Saturday's incarnation of the NPG, which supported Day, was underwhelming in its set.

Prince never would have tolerated such lackluster performances. "You're fined," I can imagine him saying. "And you're going to rehearse for a few more hours tonight. Go back to Paisley. Now."

When it came to the "Purple Rain" panels, fams were excited to hear from Day, recording engineer Susan Rogers and especially Billy Sparks, who played the owner of First Avenue in the film. The five members of the Revolution thankfully shared different stories than they had at previous Celebrations.

Saturday's 12-hour open-to-the-public Block Party next to the Prince mural on 1st Avenue N. downtown was a hit despite too much rain. I experienced three live versions of "Purple Rain" on that day, including one at midnight as I exited the State Theatre after the Day and NPG show.

Moving into downtown Minneapolis was an intentional step to build for future Celebrations.

"The organizers put a stake in the ground and stepped out of Chanhassen and came into downtown and shared the Prince legacy with the Minneapolis community and hopefully can grow it in the future," McMillan said after Celebration.

Hearing unreleased material is always a highlight — and priority — for VIP ticket holders. Among the 10 pieces played at Paisley Park were demos of "Let's Go Crazy" and "Purple Rain"; a 1977 jazz jam with Prince and André Cymone; "Friction" by Prince's alter ego, Jamie Starr, from an unreleased 1985 album, and a track from the unreleased 2003 album "Calibama."

"That's a great gift they give us," McNair, who was attending her sixth Celebration, said of the peeks into the vault.

Purple followers were excited to view vault footage of a 2004 soundcheck in Reno on the Musicology Tour and a 1985 Miami concert from the Purple Rain Tour, but some complained that the screenings were cut short.

No shoes
A big complaint was that Celebration-goers, whether VIP ($1,350) or general admission ($750), were given limited time to tour Paisley Park. The stunning display of Prince's footwear — unquestionably the most remarkable and ambitious exhibit Paisley has ever presented — has disappointingly been replaced by an uninspired Purple Rain presentation. Bummer!

"VIP ticket holders got a 25-minute rushed tour of Paisley Park that was far less than the lowest tier tour available to the general public during normal business hours," tweeted Donny English, who has attended every Celebration (including the three Prince staged in the early '00s) and posted daily critiques this year.

For Celebration 2024, the activities at Paisley were quite limited compared with previous years. A gospel brunch landed in a tent on the Paisley grounds this year. Liv Warfield — a former Prince associate who oozes passion (even in the current TV commercial for "America's Got Talent") — once again gave two stirring performances on the soundstage on Monday, the same day there were several boat cruises on Lake Minnetonka.

Can we communicate?
Splitting time between Chanhassen and Minneapolis challenged Celebration-goers — who came from England, New Zealand and all over the States — when it came to logistics.

Where do we stay? Do we rent a car? Rideshare? Why aren't the shuttle buses as efficient as previous years?

Schedules indicating the two locations were not distributed until the day before Celebration began. Prince could get away with last-minute announcements because he always delivered something special but this lack of advance information was inexcusable.

"From not really working the city of Minneapolis into this year's theme — this wasn't expressively done in any of the promotion — to not sending email updates to guests who'd already purchased tickets, this was a missed opportunity," said Nicole, who called this her least favorite of the four Celebrations she's attended.

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One other disappointment: Beyond the "Purple Rain" musical that is targeted for Broadway, McMillan didn't announce any new projects — no music releases, no concert footage and no update on the authorized Netflix series on Prince that has been more than four years in the making.

In addition to official Celebration events, there were plenty of other ancillary Princely activities around town, whether organized or not, such as driving by houses in which Prince lived; record shopping at the Electric Fetus; attending a talk by Prince fashion designer Vaughn Terry at a northeast Minneapolis art gallery; partying at the fundraiser Crystal Ball in look-at-me outfits at the Woman's Club, and listening to academic papers and discussions at the "Prince on Film" symposium at the University of Minnesota.

Rating Celebration
We asked a few Celebration-goers to rate their experience, on a scale of 1 to 10.

Scott Morin of Calgary, first Celebration: "I felt like I had found my family when I was at Celebration 2024." Rating: 8.5.

Marilynn McNair of Atlanta, sixth Celebration: "They have work to do. We put our money where Londell's mouth is." Rating: 7.

Rhonda Nicole of Los Angeles, fourth Celebration and she presented a paper at the "Prince on Film" symposium: "Hosting events in downtown Minneapolis was a nice change of pace. It allowed for more downtime between the day and evening activities and offered better dining options than what we've typically had at Paisley Park." Rating: 6.

Donny English of Baltimore, ninth Celebration including three when Prince was alive: "I believe that the fans have a responsibility to maintain the legacy and ensure accountability." Rating 4.

Despite their grumblings, all of them said they plan to attend Celebration 2025.

Source : https://www.startribune.com/prince-cele ... 600376373/

[Greghost]

Ça craint.

[Gaspard Elliott]

Delaware judge refuses to dismiss lawsuit in battle over estate of the late pop icon Prince

Saturday, July 6, 2024

The lawsuit stems from disagreements involving Tyka Nelson, Prince's sister, and five half-siblings.

DELAWARE -- A Delaware judge has refused to dismiss a lawsuit filed by former business advisers to the late pop music icon Prince against two of his siblings and other heirs in a dispute over his estate.

The judge on Friday also agreed with plaintiffs L. Londell McMillan and Charles Spicer Jr. that an agreement purporting to replacing them as managers of a limited liability company established by three siblings was invalid.

Prince died of an accidental fentanyl overdose in 2016. He had no will, and his six siblings inherited equal interests in the estate.

Three of them assigned their combined 50% interest to Prince Legacy LLC. They also granted McMillan and Spicer each a 10% interest in Prince Legacy, along with broad and exclusive management authority.

One sister, Sharon Nelson, later regretted the decision and led an effort to remove McMillan and Spicer as managing members by amending the LLC agreement.

Chancellor Kathaleen St. Jude McCormick ruled that the terms of the initial LLC agreement are unambiguous and that they prohibit the defendants' attempts to amend it. She said the agreement remains in effect and McMillan and Spicer remain as managing members.

"As a matter of contract law, this is the only reasonable interpretation," the judge wrote.

McCormick also ruled that the plaintiffs can pursue a claim that the defendants breached the LLC agreement by acting without authorization to amend it and remove McMillan and Spicer.

The lawsuit stems from disagreements involving Tyka Nelson, Prince's sister, and five half-siblings: Sharon Nelson, Norrine Nelson, John R. Nelson, Omarr Baker and Alfred Jackson.

Tyka, Omarr and Alfred, the three youngest, sold their stake to a music publishing company called Primary Wave Music, LLC, which later assigned its interests to an affiliate, Prince OAT Holdings LLC. Alfred has since died.

The older siblings, Sharon, Norrine and John, assigned 20% of their collective interests to McMillan and Spicer before John died in 2021. His interests passed to a trust overseen by Breanna Nelson, Allen Nelson and Johnny Nicholas Nelson Torres as co-trustees. Breanna and Allen are named as defendants in the lawsuit along with Sharon and Norrine, while Nelson Torres has sided with the plaintiffs.

The lawsuit alleges among other things that Sharon improperly tried to insert herself into management decisions and once demanded that the entire staff of the Paisley Park Museum in Minnesota be replaced. She also accused McMillan and Spicer of fraud and tried to sell her interests in Prince Legacy without the required consent of the other members.

The lawsuit is part of a long and convoluted legal battle involving both the size and the beneficiaries of Prince's estate. In 2022, nearly six years after his death, the Internal Revenue Service and the administrator of the estate agreed to end a court battle and value the estate at roughly $156 million.

https://6abc.com/post/delaware-judge-re ... /15036378/

[Purple Man 1992]

Il n' y a rien à faire, on peut trouver la gestion de McMillan calamiteuse, sans stratégie de valorisation, mais il connait son droit. C'est verrouillé et intouchable.
C'est mort pour les fans. Vraiment.

[SIGNO'THETOM]

Il n' y a rien à faire, on peut trouver la gestion de McMillan calamiteuse, sans stratégie de valorisation, mais il connait son droit. C'est verrouillé et intouchable.
C'est mort pour les fans. Vraiment.

C'est Horrible et inconcevable !

[Greghost]

Il n' y a rien à faire, on peut trouver la gestion de McMillan calamiteuse, sans stratégie de valorisation, mais il connait son droit. C'est verrouillé et intouchable.
C'est mort pour les fans. Vraiment.

On s'attendait à un truc monumental pour les 40 ans de PR.
Et rien.
La D&P était un projet de l'ancienne équipe.

Quel désastre.

C'est très difficile à vivre cette situation.

[fredmagnus]

Il n' y a rien à faire, on peut trouver la gestion de McMillan calamiteuse, sans stratégie de valorisation, mais il connait son droit. C'est verrouillé et intouchable.
C'est mort pour les fans. Vraiment.

Oui, c'est bien résumé.

Les choses auraient pu mieux tourner mais il y a eu une succession de coups du sort (réintroduction des vautours par Sharon, crise sanitaire et changement de réalisateurs qui ont ralenti la sortie du doc, angle sensationnaliste souhaité par Netflix, etc...) qui nous ont amené à l'impasse actuelle.

On en est là !

[SIGNO'THETOM]

Il n' y a rien à faire, on peut trouver la gestion de McMillan calamiteuse, sans stratégie de valorisation, mais il connait son droit. C'est verrouillé et intouchable.
C'est mort pour les fans. Vraiment.

Oui, c'est bien résumé.

Les choses auraient pu mieux tourner mais il y a eu une succession de coups du sort (réintroduction des vautours par Sharon, crise sanitaire et changement de réalisateurs qui ont ralenti la sortie du doc, angle sensationnaliste souhaité par Netflix, etc...) qui nous ont amené à l'impasse actuelle.

On en est là !

Nulle part quoi ! Et sans date de sortie, sans visibilté sur quoi que ce soit !
Aller ! Je m'en vais réécouter le SOTT Deluxe !

[Victor761993]

Vous êtes difficiles, y’a plein de t-shirts et des verres et des housses de couettes et j’en passe.

Au final quel gâchis !

[slimongi]

Vous êtes difficiles, y’a plein de t-shirts et des verres et des housses de couettes et j’en passe.

Au final quel gâchis !

Tant que les fans continueront à acheter ce merchandising de M.... qui marge bien pour tonton Millan sans gueuler et continueront aussi par la même occasion à payer au prix fort les célébrations d'été en trompe l’œil .....au delà du pb des droits avec NETFLIX....on pourra continuer à s'asseoir sur les sorties d'inédits from the Vault !
Les sous générés aussi largement par les retombés des droits back catalogue/droits pubs/BO etc... semblent suffisant pour ce qu'ils s'en tiennent au minimum , le tiroir caisse de l'héritage n"intéresse Millan que à titre personnel , Primary Wave semble totalement absent de leur côté et je suppute qu'ils en ont rien à foutre aussi .....les attentes des fans sont le dernier de leur soucis mais vraiment !

PRINCE IS REALLY DEAD

[Gaspard Elliott]

Le risque pour tout ce petit monde c'est de voir le copyright expirer sur le territoire européen au bout de 50 ans à compter de l'enregistrement de ces inédits, à cause d'une directive européenne de 2011. C'est la clause "use it or leave it". Plusieurs articles, presse et publications spécialisées de juristes en droit de la propriété intellectuelle ont une analyse en ce sens et on a vu par le passé des bizarreries éditoriales concernant Dylan, les Beatles ou les Rolling Stones destinées à contrer cette expiration.
https://www.liberation.fr/musique/2013/ ... nt_878690/
https://www.radiofrance.fr/francecultur ... ncertainty

[Greghost]

quoi qu'on raconte sur le doc Netflix cela n'explique pas ce qui empêche la sortie du first avenue chez Apple depuis toutes ces années ?

[slimongi]

quoi qu'on raconte sur le doc Netflix cela n'explique pas ce qui empêche la sortie du first avenue chez Apple depuis toutes ces années ?

1 mot = l'incompétence

[Greghost]

https://www.francetvinfo.fr/societe/jus ... 26885.html

Les enquêteurs semblent plus efficaces pour M. Perry. Que pour nous.

[Victor761993]

https://www.francetvinfo.fr/societe/jus ... 26885.html

Les enquêteurs semblent plus efficaces pour M. Perry. Que pour nous.

J’ai toujours considéré l’enquête sur le décès de Prince très bâclée, mais je n’en ai jamais trouvé la raison, il doit pourtant y en avoir une ?!

[Greghost]

https://www.francetvinfo.fr/societe/jus ... 26885.html

Les enquêteurs semblent plus efficaces pour M. Perry. Que pour nous.

J’ai toujours considéré l’enquête sur le décès de Prince très bâclée, mais je n’en ai jamais trouvé la raison, il doit pourtant y en avoir une ?!

Je suis bien d'accord et je ne connais pas la raison qui a clôturé l'enquête aussi vite.

[fredmagnus]

Le risque pour tout ce petit monde c'est de voir le copyright expirer sur le territoire européen au bout de 50 ans à compter de l'enregistrement de ces inédits, à cause d'une directive européenne de 2011. C'est la clause "use it or leave it". Plusieurs articles, presse et publications spécialisées de juristes en droit de la propriété intellectuelle ont une analyse en ce sens et on a vu par le passé des bizarreries éditoriales concernant Dylan, les Beatles ou les Rolling Stones destinées à contrer cette expiration.
https://www.liberation.fr/musique/2013/ ... nt_878690/
https://www.radiofrance.fr/francecultur ... ncertainty

Cette directive concerne les œuvres musicales déjà publiées.

Ce n'est pas le cas des inédits du Vault qui ne sont donc pas concernés par ce texte européen.

Nous avons donc encore de longues décennies d'attente devant nous. OUF !

[slimongi]

Le risque pour tout ce petit monde c'est de voir le copyright expirer sur le territoire européen au bout de 50 ans à compter de l'enregistrement de ces inédits, à cause d'une directive européenne de 2011. C'est la clause "use it or leave it". Plusieurs articles, presse et publications spécialisées de juristes en droit de la propriété intellectuelle ont une analyse en ce sens et on a vu par le passé des bizarreries éditoriales concernant Dylan, les Beatles ou les Rolling Stones destinées à contrer cette expiration.
https://www.liberation.fr/musique/2013/ ... nt_878690/
https://www.radiofrance.fr/francecultur ... ncertainty

Cette directive concerne les œuvres musicales déjà publiées.

Ce n'est pas le cas des inédits du Vault qui ne sont donc pas concernés par ce texte européen.

Nous avons donc encore de longues décennies d'attente devant nous. OUF !

Moi je suis soulagé .....il y a l'Estate pour veiller au grains ....double OUF !!!

[Smoke And Mirrors]

Le risque pour tout ce petit monde c'est de voir le copyright expirer sur le territoire européen au bout de 50 ans à compter de l'enregistrement de ces inédits, à cause d'une directive européenne de 2011. C'est la clause "use it or leave it". Plusieurs articles, presse et publications spécialisées de juristes en droit de la propriété intellectuelle ont une analyse en ce sens et on a vu par le passé des bizarreries éditoriales concernant Dylan, les Beatles ou les Rolling Stones destinées à contrer cette expiration.
https://www.liberation.fr/musique/2013/ ... nt_878690/
https://www.radiofrance.fr/francecultur ... ncertainty

Cette directive concerne les œuvres musicales déjà publiées.

Ce n'est pas le cas des inédits du Vault qui ne sont donc pas concernés par ce texte européen.

Nous avons donc encore de longues décennies d'attente devant nous. OUF !

Il doit y avoir un autre texte de loi pour les œuvres non publiées non ? Vu le nombre de boxsets qui sortent au moment des 50 ans avec des tonnes de démos (du style le coffret Conversation Piece de Bowie) et les inédits/live qui sont publiés pendant quelques minutes par les maisons de disques sur les plateformes de streaming (Pink Floyd, Leonard Cohen...).

Réponse dans quelques années, on sera encore à attendre le Purple Rain SDE à ce moment-là à mon avis

[Gaspard Elliott]

Quelques éléments supplémentaires pour apporter de l'eau à mon moulin.

Il s'agit de la directive 2011/77/UE, en vigueur depuis le 1er Novembre 2013 (pour les juristes voici le texte officiel : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/Le ... 005:fr:PDF)
Explication de texte par des avocats spécialisés : https://www.actifscreatifs.com/copyrigh ... n_beatles/

Selon moi il se passera fatalement quelque chose, à court ou à moyen terme (échéance au 31/12/2027 pour les premiers enregistrements connus de 1977 selon Princevault) : sur le vieux continent tous les enregistrements tombent dans le domaine public s’ils restent inédits 50 ans après leur création, on parle donc bien d'inédits et non de titres déjà publiés. C'est pourquoi cette clause a été baptisée « use or lose it ». On en a un exemple cette année encore avec la parution de l'énorme coffret de Dylan 74 sur la tournée Before the flood (27 disques), un énième coffret Ziggy Stardust (un peu en retard celui-là).

Ça c'est pour la partie optimiste. Dans les faits, les détenteurs des droits peuvent tout à fait procéder à une publication a minima : édition ultra limitée destinée uniquement à prolonger le copyright ou mise en ligne confidentielle et temporaire via un compte Youtube, comme ce fut le cas pour 130 inédits des Rolling Stones enregistrés en 69, dont les droits expiraient le 31 décembre 2019 et qui furent mis en ligne par Abkco dans des versions tronquées au son dégueulasse, quelques heures seulement avant d'être retirés. Le label de feu Allen Klein profitait d'un angle mort de cette directive : les détenteurs des droits d'exploitation doivent mettre à disposition du public lesdits enregistrements inédits, mais en quelle quantité et avec quelle qualité ? Et qu'est-ce que cela signifie à l'ère de la musique dématérialisée (la directive de 2011 n'a pas anticipé l'évolution des supports) ?

Le droit US ne connaît pas de dispositions similaires mais cette clause de « use or lose it » est bel et bien prise en compte dans la stratégie commerciale des majors US, qui s'empressent de commercialiser des compilations d'inédits à une centaine d'exemplaires, uniquement sur le marché européen pour protéger leur catalogue et prolonger artificiellement leurs droits d'exploitation de 20 ans (technique devenue courante par exemple avec Bob Dylan).

Pour prolonger la lecture :
https://www.radiofrance.fr/francecultur ... it-7190260
https://www.koha.net/fr/showbizz/201876 ... -viti-1969
https://ultimateclassicrock.com/bob-dyl ... es-record/
https://www.rollingstone.com/music/musi ... 234931709/

[fredmagnus]

Merci beaucoup pour ces précisions et ces articles passionnants :-)

C'est donc une lueur d'espoir dans un ciel bien sombre mais...je ne doute pas que nos amis de l'Estate trouveront un moyen de nous la glisser quelque part ou tout simplement de laisser passer l'échéance et de laisser tomber tout ça dans le domaine public.

J'avoue que je n'imagine pas du tout une pluie d'outakes tomber du ciel comme ça à l'horizon 2028...

[FrEe tHe mUsiC]

Merci beaucoup pour ces précisions et ces articles passionnants :-)

C'est donc une lueur d'espoir dans un ciel bien sombre mais...je ne doute pas que nos amis de l'Estate trouveront un moyen de nous la glisser quelque part ou tout simplement de laisser passer l'échéance et de laisser tomber tout ça dans le domaine public.

J'avoue que je n'imagine pas du tout une pluie d'outakes tomber du ciel comme ça à l'horizon 2028...

Surtout qu'il faudra pouvoir y accéder, domaine public ou pas.

[slimongi]

Merci beaucoup pour ces précisions et ces articles passionnants :-)

C'est donc une lueur d'espoir dans un ciel bien sombre mais...je ne doute pas que nos amis de l'Estate trouveront un moyen de nous la glisser quelque part ou tout simplement de laisser passer l'échéance et de laisser tomber tout ça dans le domaine public.

J'avoue que je n'imagine pas du tout une pluie d'outakes tomber du ciel comme ça à l'horizon 2028...

Vous inquiétez pas Spicer & mc Millan les sortiront les inédits si il y sont obligés sur des clés USB à 2 balles gorgées de morceaux au son pourri et édités ...ils ont l'habitude faut pas s'inquiéter de ce côté là !

[SIGNO'THETOM]

Merci beaucoup pour ces précisions et ces articles passionnants :-)

C'est donc une lueur d'espoir dans un ciel bien sombre mais...je ne doute pas que nos amis de l'Estate trouveront un moyen de nous la glisser quelque part ou tout simplement de laisser passer l'échéance et de laisser tomber tout ça dans le domaine public.

J'avoue que je n'imagine pas du tout une pluie d'outakes tomber du ciel comme ça à l'horizon 2028...

Vous inquiétez pas Spicer & mc Millan les sortiront les inédits si il y sont obligés sur des clés USB à 2 balles gorgées de morceaux au son pourri et édités ...ils ont l'habitude faut pas s'inquiéter de ce côté là !

[Gaspard Elliott]

Une interview de Larry Mestel, boss de Primary Wave, sur leur stratégie de valorisation de catalogue. Spoiler : ça parle bien peu de musique...

https://musically.com/2024/06/03/primar ... g-quickly/

Primary Wave Music Founder & CEO Larry Mestel: “Most of our competitors are only interested in a strategy of buying and then flipping quickly”
by Eamonn Forde
June 3, 2024

Eamonn Forde Meets… – each month, the veteran music business journalist speaks to a senior industry figure about the topics that really matter – and gets the opinions of the people who make the decisions that count.

June 2024: Larry Mestel, founder and CEO of Primary Wave Music. He discusses why buying a catalogue is the easy part, what is behind a slip in the value of second- and third-tier catalogues, why music rights on their own are a damp squib purchase and what patient investment into underserved rights can really deliver.

“The Home Of Legends” is how Primary Wave Music, set up in 2006, wants itself to be understood. It uses the word “iconic” a lot – not about itself, but rather about the calibre of artists it works with. It has stakes in the works of acts like Bob Marley, Smokey Robinson, Burt Bacharach, Prince, James Brown and Whitney Houston.

The Whitney Houston estate deal is perhaps the most illustrative of where Primary Wave sees itself in a competitive rights ownership market. In 2019, it paid $7 million to take a 50% interest in the Houston estate, including not just her music royalties but also, crucially, her name, image and likeness rights. There has already been a hologram tour and the 2022 biopic I Wanna Dance With Somebody, with a Las Vegas slot machine deal coming later this year.

Larry Mestel says that in four years the Houston estate went from being valued at $14 million to a valuation in excess of $100 million.

“What would you rather do?” he asks of someone selling rights in an age of land grabs and skyrocketing multiples. “Sell to a financial institution at a slightly higher price? Or keep a big chunk of the equity and partner with us and then have a value that’s just astronomically bigger down the road?”

Investors missing a trick
Mestel has very precise requirements when taking a stake in catalogues and rights bundles. And he has very firm views on where other rights investors are getting it wrong, missing a trick, or both.

Larry Mestel
What he terms “legendary catalogues” have, he says, always over-indexed in valuation terms as they create their own centre of financial gravity. These apex catalogues exist outside the vagaries of interest rates and macroeconomic forces. He feels, however, less legendary catalogues are rapidly losing their lustre currently.

“The B- and C-level copyrights have certainly come down a bit,” he says, and feels that is because it is far more of an uphill struggle to work them to their full potential. “There’s not a lot you can really do from a marketing, a digital, a promotion and a brand perspective with lower-valued songs or copyrights,” he insists. “They’re naturally going to be more susceptible to market change, to interest rates, to various other factors.”

Buying rights wholesale is a mistake
For Mestel, buying up rights wholesale is a mistake. He says Primary Wave typically buys 50% or 60% of a catalogue because they want to collaborate on their plans with the actual artist (or their estate). “We want the artists as a partner,” he says. “So it’s easier for us to buy than, let’s say, somebody like Hipgnosis or Blackstone who have to overpay because they don’t have an infrastructure.”

He says Primary Wave has a staff count of 95 “who focus almost entirely on creating new revenue streams for our artists”. Buying into recorded or publishing rights should be the starting point here, not the end destination. Primary Wave will want to buy into something more than music copyrights so they can start working the rights in new ways, across multiple platforms.

“We’re one of the few companies that understands what it means to buy name, image and likeness rights and actually how to market and exploit, in a positive way, the overall music and the artist brand because of those rights,” he argues.

He lists all the things they have been able to do with the Whitney Houston estate – the hologram, the biopic, a Mac Cosmetics line – that were only possible because of all the rights they invested in beyond her actual music.

We know how to take the assets and double them over a short period of time; then quadruple them over a longer period of time.

Larry Mestel
“These are major additions to the estate’s income stream,” he says. “Our competitors have synchronisation teams, just like we have a synchronisation team, but that’s not marketing. Most of the industry is fielding calls that are coming in with their sync team. What’s marketing is going out and getting a Mac cosmetic line, or doing a Waterford Crystal line like we did with Luther Vandross, or creating a holiday for Smokey Robinson with American Greetings. That’s marketing.”

The biggest problem, as Mestel sees it, for those aggressively buying catalogues is that due diligence comes after the cheque book wars, not before them. Deals therefore get caught with their wheels spinning in the mud, taking too long to complete or collapsing in inertia.

“We’ve closed 100% of all of the binding letters of intent that we’ve entered into,” he says. “Unlike with our competitors, who I won’t name, most of them begin the process of negotiating price when they sign a letter of intent. We do due diligence upfront so that when we sign a letter of intent, the artist and the lawyers know we’re closing. And we always close. That’s the difference.”

Buying older music that endures
In keeping with its “The Home Of Legends” mantra, Primary Wave is not interested in new music. It only wants music that is 20 years or older (“That’s typically our sweet spot”) because it is proven that it endures. Within this, a quality catalogue that has been undervalued, or left to the weeds, by its owners is what the company is after.

“I’ll give you a perfect example,” says Mestel. “We just closed the Neil Sedaka catalogue. One of the greatest writers of all time – ‘Laughter In The Rain’ and ‘Love Will Keep Us Together’ and all these great, great songs. But he hasn’t had the attention over the last couple of decades. So he’s the perfect type of artist for us.”

He also cites the Sun Records catalogue, which Primary Wave bought in early 2021. He says the open goal was the fact that around 40% of the label’s catalogue had never been digitised.

“It gave us the ability to look at different platforms – technology platforms, social media platforms,” he says. “Digital to me isn’t just streaming. Digital is the entire universe of opportunity, from social media to technology platforms that use music.”

His other major criticism of the aggressive acquisition of rights is that it is, he believes, erroneously premised on the short term.

“Most of our competitors are interested in generating management fees and they’re interested in a strategy that you buy and then you flip quickly,” he says. “We’re in the long-term management and the long-term brand-building of these assets. When you’re in the long-term business, you have to build infrastructure to support it […] I don’t think a lot of our competitors have the wherewithal to get into the business of marketing, branding, digital strategy, because they just don’t have a long-term horizon.”

There is, among its competitors, an impatience and a reluctance to invest that hobbles what they can do with the assets they actually buy. He says it took four years to get the Whitney Houston biopic onto the screen and five years to open the Bob Marley Hope Road immersive experience in Las Vegas.

“These are not the right assets to be in for the short term,” he asserts. “Our partners understand that it takes years to develop these things and to generate these phenomenal additional income streams […] We pay very significant prices for these assets. It’s just we know how to take the assets and double them over a short period of time; and then triple them and quadruple them over a longer period of time.”

Truly iconic catalogues are increasingly hard to come by: most have been sold while the rest are unlikely to ever be sold. Undervalued and underworked catalogues are, however, all around. If they can be resuscitated is another matter entirely. Lazarus does not come back to life every time.

[Tinitir]

Une interview de Larry Mestel, boss de Primary Wave, sur leur stratégie de valorisation de catalogue. Spoiler : ça parle bien peu de musique...

https://musically.com/2024/06/03/primar ... g-quickly/

Effectivement, cela refroidit un peu (beaucoup) les fams comme nous en attente de musiques inédites.
Primary Wave semble axer sa stratégie sur le catalogue déjà connu des artistes dont ils gèrent l'héritage musical, misant sur des musiques qui ont surmonté l'épreuve du temps, d'où des projets "pouvant prendre plusieurs années à se concrétiser", comme "des biopics"... On peut imaginer, à la lecture de l'article, que Primary Wave doit du coup approuver les versions 4K de Purple Rain, la comédie musicale, pour relancer l'intérêt du grand public, plutôt que d'encourager la sortie de coffrets deluxe avec du contenu inédit.
C'est vraiment démoralisant pour ceux qui, comme moi, espéraient que Primary Wave ferait le forcing auprès des 2 affreux de l'Estate pour ouvrir le Vault.

[fredmagnus]

Bon ça y est, c'est acté. Ils en ont strictement rien à foutre du Vault Princier et de sortir de la musique inédite.

Copié-collé du MJ estate.

Cela permet de mesurer à l'avance l'ampleur de notre désarroi dans 10 ans.

[SIGNO'THETOM]

Une interview de Larry Mestel, boss de Primary Wave, sur leur stratégie de valorisation de catalogue. Spoiler : ça parle bien peu de musique...

https://musically.com/2024/06/03/primar ... g-quickly/

Effectivement, cela refroidit un peu (beaucoup) les fams comme nous en attente de musiques inédites.
Primary Wave semble axer sa stratégie sur le catalogue déjà connu des artistes dont ils gèrent l'héritage musical, misant sur des musiques qui ont surmonté l'épreuve du temps, d'où des projets "pouvant prendre plusieurs années à se concrétiser", comme "des biopics"... On peut imaginer, à la lecture de l'article, que Primary Wave doit du coup approuver les versions 4K de Purple Rain, la comédie musicale, pour relancer l'intérêt du grand public, plutôt que d'encourager la sortie de coffrets deluxe avec du contenu inédit.
C'est vraiment démoralisant pour ceux qui, comme moi, espéraient que Primary Wave ferait le forcing auprès des 2 affreux de l'Estate pour ouvrir le Vault.

Le plus triste au final : c'est de voir que tous ces artistes, talentueux ou de génie , ces êtres ou ces âmes soient pillés et utilisés comme de vulgaires produits financiers, sources de rentabilité à long termes ! C'étaient avant tout des êtres humains et de l'Art ! De l'Emotion !
Notre époque ne respecte plus rien ! Et cette course effrénée de bénéfices à tous prix, dans tous les domaines, est pathétique !

[fredmagnus]

Une interview de Larry Mestel, boss de Primary Wave, sur leur stratégie de valorisation de catalogue. Spoiler : ça parle bien peu de musique...

https://musically.com/2024/06/03/primar ... g-quickly/

Effectivement, cela refroidit un peu (beaucoup) les fams comme nous en attente de musiques inédites.
Primary Wave semble axer sa stratégie sur le catalogue déjà connu des artistes dont ils gèrent l'héritage musical, misant sur des musiques qui ont surmonté l'épreuve du temps, d'où des projets "pouvant prendre plusieurs années à se concrétiser", comme "des biopics"... On peut imaginer, à la lecture de l'article, que Primary Wave doit du coup approuver les versions 4K de Purple Rain, la comédie musicale, pour relancer l'intérêt du grand public, plutôt que d'encourager la sortie de coffrets deluxe avec du contenu inédit.
C'est vraiment démoralisant pour ceux qui, comme moi, espéraient que Primary Wave ferait le forcing auprès des 2 affreux de l'Estate pour ouvrir le Vault.

Le plus triste au final : c'est de voir que tous ces artistes, talentueux ou de génie , ces êtres ou ces âmes soient pillés et utilisés comme de vulgaires produits financiers, sources de rentabilité à long termes ! C'étaient avant tout des êtres humains et de l'Art ! De l'Emotion !
Notre époque ne respecte plus rien ! Et cette course effrénée de bénéfices à tous prix, dans tous les domaines, est pathétique !

Je ne sais pas s'ils parviendront à doubler/tripler/quadrupler la valeur du répertoire Princier mais ils parviennent déjà très bien à doubler/tripler/quadrupler notre tristesse et notre frustration.

[Greghost]

Je suis désespéré !

[Tinitir]

Tout cela est d'autant plus navrant que rien n'empêche les 2 débilos et Primary Wave de miser sur les classiques de Prince (en particulier, encore et toujours, Purple Rain) avec des comédies musicales, projections cinémas... et de satisfaire la fanbase en créant un site à la Bruce Springsteen avec plein de concerts à acheter (en téléchargement ou format physique) par exemple. Le 1er projet n'empièterait pas sur l'autre, au contraire, les 2 seraient complémentaires, notamment pour ce qui les intéresse, à savoir l'argent.
Mais non, rien pour les fams à l'heure actuelle, époque de brun...
Sign O The Times.

[slimongi]

Oubliez....Prince est définitivement et symboliquement enterré....restera le souvenir et son back catalogue!

[Tinitir]

Oubliez....Prince est définitivement et symboliquement enterré....restera le souvenir et son back catalogue!

Avec un peu de chance, nous aurons peut-être droit au concert du Rex Club 1993, vu que le coffret Diamonds And Love était déjà dans les starking blocks avant l'arrivée des 2 affreux... L'espoir fait vivre.

[Purple Man 1992]

L'espoir fait vivre.

Très honnêtement je n'y crois plus.
Le fait d'être passé, jusqu'à aujourd'hui, à côté des 40 ans de PR, l'album le plus connu, dont la promotion est donc assez évidente (bon ok, il y a eu la restauration 4K, et il y avait déjà le Deluxe,même si insuffisant), donc s'être "privé" de recettes faciles à obtenir et d'un regain quasi-certain de notoriété, cela grève selon moi la réussite des projets suivants, si tant est que l'Estate ait eu des intentions de ce côté-là, ce dont je doute...

Certes, une version 4K du film est peut-être intéressante commercialement (encore que le film tient surtout grâce à la musique et aux Revolution), mais j'ai du mal à voir l'intérêt d'une comédie musicale, au cycle de vie relativement éphémère (sauf si elle marche façon Mamma Mia, ce dont là-aussi je doute), et destinée à un public très ciblé, je pense. Au moins, un disque ou un coffret, ça tient dans le temps, non ?

J'ai quand même une question... L'équipe précédente qui a sorti les coffrets salués de façon assez unanime, s'y est-elle retrouvée financièrement parlant, ou est-ce que ce fut un échec ? Parce que si ça a creusé un gros trou, on pourrait un peu mieux expliquer l'absence de nouveaux projets...

[Tinitir]

Aucune communication de la part de l'Estate, c'est incompréhensible.
Personne n'a d'informations sur des potentielles sorties envisagées ? Purple Rain SDE est retourné dormir dans le Vault ? Les bras cassés de l'Estate attendent-ils le début des représentations de la comédie musicale pour publier le SDE ?
Car, relancer l'intérêt du grand public pour Prince n'a d'intérêt que pour vendre de la musique. Et entre les revenus tirés d'un coffret SDE et ceux liés à la vente des CD Purple Rain d'origine ou au streaming, il doit quand même y avoir une différence non négligeable ?

[Gaspard Elliott]

Les bras cassés de l'Estate attendent-ils le début des représentations de la comédie musicale pour publier le SDE ?

Il y aura plutôt vraisemblablement un album soundtrack du spectacle, avec le cast interprétant les titres sélectionnés.
Ce sera l'équivalent de ce truc : https://en.wikipedia.org/wiki/MJ_(album)

La comédie musicale MJ a rapporté 200M$ depuis sa création en 2022, ce qui est colossal : https://www.broadwayworld.com/grosses/MJ-THE-MUSICAL
A titre comparatif : https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_h ... roductions

Certains se demandaient quels étaient les chiffres de ventes du coffret D&P : un contributeur du forum Charts in France avance le chiffre de 12 000 exemplaires pour le marché US, sans citer ses sources, c'est sans doute une estimation à partir du positionnement dans les charts et cela comprend aussi les éditions simples, pas seulement les coffrets. https://www.chartsinfrance.net/communau ... /#comments

Doublons ce chiffre pour une estimation mondiale, à 150 euros l'unité (fourchette haute car beaucoup d'acheteurs se sont contentés de l'édition simple) on a un chiffre d'affaires de 3,6M€. En déduisant les coûts de production, impôts sur les bénéfices, frais de marketing, la part des détaillants etc. il reste à peine de quoi payer la facture annuelle d'électricité à Paisley Park.

[Tinitir]

Un article très intéressant (et surprenant) sur le documentaire Netflix :
https://www.nytimes.com/2024/09/08/maga ... ntary.html

[Purple Man 1992]

La comédie musicale MJ a rapporté 200M$ depuis sa création en 2022, ce qui est colossal. [...]

Certains se demandaient quels étaient les chiffres de ventes du coffret D&P : un contributeur du forum Charts in France avance le chiffre de 12 000 exemplaires pour le marché US[...]

Doublons ce chiffre pour une estimation mondiale, à 150 euros l'unité (fourchette haute car beaucoup d'acheteurs se sont contentés de l'édition simple) on a un chiffre d'affaires de 3,6M€. En déduisant les coûts de production, impôts sur les bénéfices, frais de marketing, la part des détaillants etc. il reste à peine de quoi payer la facture annuelle d'électricité à Paisley Park.

Ok, merci beaucoup pour ces informations. Ça explique très probablement la situation actuelle. Je n'aurais jamais pensé qu'une comédie musicale "MJ" puisse marcher à ce point.
J'avais des craintes sur les résultats commerciaux des sorties princières, vu les commentaires ici même lors des sorties de coffret.

[Purple Man 1992]

Un article très intéressant (et surprenant) sur le documentaire Netflix :
https://www.nytimes.com/2024/09/08/maga ... ntary.html

J'ai le sentiment d'un énorme gâchis en lisant cet article. Surtout quand on lit :

"At first, they were excited by the material: hours upon hours of band rehearsals and music videos, all of Prince’s never-before-seen performances, including pristine 16-millimeter film from his tour for the 1981 album “Controversy” and elegiac scenes from one of his final Piano and a Microphone shows in 2016."

Moi, c'est surtout ça qui m'intéresse, bien plus que sa vie personnelle, même si, surtout dans son cas, les deux ne sont pas inséparables.

En tout cas, ça me rappelle une anecdote que j'avais lue sur un blog princier aujourd'hui disparu (NPG Monaco). NPG Monaco raconte que lors d'un concert (D&P ?), il croise une fan qu'il connaît. Quelque temps après, il la recroise, et elle lui raconte que cette nuit-là, après le concert, elle s'est retrouvée à l'hôtel de Prince, et même à son étage... Prince est sorti à un moment, et après un instant de surprise, s'est mis à discuter à bâtons rompus avec elle, assis contre le mur du couloir à la porte de sa chambre...
Ce fut un choc, à tel point qu'elle disait ne souhaiter à aucun Purple Fan ce qui lui était arrivé. L'entrevue a complètement brisé l'image qu'elle s'était faîte de Prince, toute la mystique princière avait disparu, et elle ne pouvait plus le voir que comme quelqu'un de normal, avec ses défauts, ses questionnements, etc... Bref "ça a tout cassé."
Probablement l'effet qu'on aurait éprouvé en voyant ce documentaire.

Mais tout de même, je me répète, quel gâchis.

[topaz]

L'article sur le doc est ce que j'ai lu de plus intelligent et profond sur Prince là, on sent qu'Ezra Edelman y a mis tout son coeur il faut absolument qu'il sorte bordel. Peut être que l'ancienne équipe aurait pu commander une sorte de ""banale"" portrait musical , tout le monde aurait été content à commencer par nous mais pour Prince il faut quelque-chose qui sort justement de l'ordinaire.

[Tinitir]

L'article sur le doc est ce que j'ai lu de plus intelligent et profond sur Prince là, on sent qu'Ezra Edelman y a mis tout son coeur il faut absolument qu'il sorte bordel. Peut être que l'ancienne équipe aurait pu commander une sorte de ""banale"" portrait musical , tout le monde aurait été content à commencer par nous mais pour Prince il faut quelque-chose qui sort justement de l'ordinaire.

Idem.
J'ai trouvé l'article - et ce qu'on peut attendre du documentaire - passionnant, parfois dérangeant, mais aussi émouvant. Comme tu le dis, à artiste extraordinaire, documentaire extra ordinaire. Je craignais une recherche du "sensationnel", mais, eu égard à l'article, il semble que le réalisateur ait choisi de faire un véritable documentaire sur l'homme dans sa complexité, celle-ci expliquant aussi son oeuvre hors norme.

[DandyMoove]

Une heure à lire cet article ; et comprendre au final ce qui un jour de 1983 (clip de "little red corvette" qui passait en boucle sur la bande démo du futur Canal+ qui passait en tv) et encore plus 1984 (la bande annonce de Purple Rain au cinéma) m'a fait vriller en quelques secondes épidermiques...et devenir fan de Prince à vie.

Cette profonde fêlure, ce coeur à vif, cette mis en abime de blessures dans lesquelles on peut parfois se retrouver, s'est au delà de la musique. Ca touche l'âme.

Très émouvant (et excitant) le process de gestation de cette série documentaire, presque une psychanalyse de groupe pour les participants et demain pour les Purple fam...Ce doc sortira un jour s'est certain ; par des voies officielles ou non. Lire cet article est une première marche. Tout le monde is looking for the ladder..Et celle qu'a du porter Prince Roger Nelson toute sa vie était bien haute.

Un article très intéressant (et surprenant) sur le documentaire Netflix :
https://www.nytimes.com/2024/09/08/maga ... ntary.html

[enzo27]

On veut tous des images inédites, des répétitions, des concerts, des aftershows et le tout en vidéo puisqu'on sait que le vault en regorge mais un documentaire se doit d'adopter un angle et de raconter quelque chose. Après avoir lu l'article du NY Times, je veux voir ce doc car tout le reste on le sait déjà.
On ne sait finalement que peu de choses sur ce qui l'a mené à des choix artistiques parfois déroutant, parfois géniaux. Et la réponse ne peut être que dans sa vie personnelle.
Vivement que ça leak...

[slimongi]

L'article sur le doc est ce que j'ai lu de plus intelligent et profond sur Prince là, on sent qu'Ezra Edelman y a mis tout son coeur il faut absolument qu'il sorte bordel. Peut être que l'ancienne équipe aurait pu commander une sorte de ""banale"" portrait musical , tout le monde aurait été content à commencer par nous mais pour Prince il faut quelque-chose qui sort justement de l'ordinaire.

Idem.
J'ai trouvé l'article - et ce qu'on peut attendre du documentaire - passionnant, parfois dérangeant, mais aussi émouvant. Comme tu le dis, à artiste extraordinaire, documentaire extra ordinaire. Je craignais une recherche du "sensationnel", mais, eu égard à l'article, il semble que le réalisateur ait choisi de faire un véritable documentaire sur l'homme dans sa complexité, celle-ci expliquant aussi son oeuvre hors norme.

Moi j'ai envie de voir ce documentaire tel quel , celà restera la vision d'un documentaliste avec un aprioris malgré tout et Prince ne pourra pas se défendre sur les passages qui le mettraient en cause ou en bascule défavorable....et malgré ce j'ai envie de voir ce doc pour voir émerger un peu plus la facette humaine d'un certain Prince Roger Nelson.

[manu3121]

Hâte de voir cela aussi mais pas uniquement pour le documentaire en lui même mais aussi parce que sa diffusion entrainera la libération des "Deluxe" qui, d’âpres ce que j'ai compris, ne sortiront pas, tant que ce doc ne sera pas disponible sur Netflix ...

Ceci étant dit, à la lecture de l'article, du résumé de ce qu'on trouve dans ce doc, je doute qu'il sorte un jour en l'état...

"As of today, there is no indication that the film will ever come out. It has been like watching a monument being swallowed by the sea." clairement, c'est mal embarqué ...

[Ben Grim]

Well… le sujet est complexe et, pour une fois, on peut essayer de comprendre l’Estate (qui est nul par ailleurs).
Il suffit de voir la réaction de QuestLove.
Prince s’est caché toute sa vie, y compris dans sa musique (l’affaire Wally).
A-t-on envie de voir cela ?
Est-ce une bonne idée de regarder les making of d’un film fantastique (Avatar par exemple), de lever le rideau ?
Est-ce que la vie privée de Prince mérite vraiment qu’on s’y intéresse ? Le nombre de biopics de musiciens qui ne parlent pas du tout de musique pour s’attacher/s’attarder sur un trauma lambda soit disant explicatif…

A titre personnel, je dirais oui car j’ai un tempérament analytique, j’aime déconstruire, voir les ficelles, nuancer etc…
Mais je comprends que l’on souhaite conserver la magie, l’illusion, le mystère que les artistes fabriquent si difficilement et dont le monde manque tellement.
Que restera-t-il ?

(je ne me suis pas remis du documentaire sur Amy Winehouse)

Ben Grim

[Gaspard Elliott]

Hé bien ça n'a pas traîné : la presse américaine, relayant cet excellent article du NY Times, applique la désormais prévisible grille de lecture post MeToo et reformule son contenu en "Unreleased Documentary Accusing Musician of Abuse".

https://www.hollywoodreporter.com/news/ ... 235996322/
https://eu.usatoday.com/story/entertain ... 141557007/

Le témoignage de Jill Jones, c'est de l'or en barre pour les journalistes et leur croisade contre l'infâââââme suppôt du patriarcat icône phallocrate de la pop music. Nous devrions logiquement voir ressurgir le vieux dossier Sinead O'Connor et le grooming de Mayté pour étoffer un peu plus l'image du pervers narcissique cogneur de phâmes. Voire même fleurir des articles nous invitant à réévaluer la côté "problématique" de ses lyrics et à porter un regard déconstruit sur ses clips sexistes.

Pour reprendre une citation de Bergman dans Scènes de la vie conjugale, "on peut dire ce qu'on veut à propos de qui on veut, on aura toujours raison". Les avocats étaient bien conscients des propos potentiellement explosifs de Jones et Melvoin et notre ami oscarisé aurait été bien inspiré de respecter à la lettre le cahier des charges initial : nous monter une hagiographie promotionnelle de sons et d'images, plutôt que le bruit et la fureur du secret et de l'intime. Il avait les clés du Vault, on lui a donné de l'or, il en a extrait de la boue.